Intervention des militants du courant FRONT UNIQUE
On nous communique :
HMI du 11 mars 2021: Collège Françoise Giroud de
Vendres.
Le « Grenelle de l’éducation » a livré ses «
conclusions » soumises à Blanquer. Ces conclusions dessinent une attaque d’une
ampleur inouïe de notre statut :
- généralisation du recrutement des
professeurs par les chefs d’établissements
- liquidation de la progression à
l’ancienneté remplacée par un avancement au « mérite ».
- extension du temps
de travail exigible aux enseignants (intégration aux obligations de services, en
plus de l’horaire obligatoire devant les élèves, d’un temps de travail en
équipe, d’un temps de formation continue obligatoire, de crédits d’heures de
remplacements sous forme d’astreinte).
C’est la mort programmée du statut!
C’est pourquoi, les enseignants réunis en HMI le 11 mars au collège
Françoise Giroud de Vendres, s’adressent aux organisations syndicales :
-
Pour qu’elles se prononcent dans l’unité pour le rejet des « conclusions » du
Grenelle de l’éducation.
- Pour qu’elles déclarent immédiatement refuser de
prendre part à toute discussion avec le gouvernement sur la base de ces
conclusions.
La destruction de métier d’enseignant, ça ne se discute pas, ça
se combat.
Adopté à l’unanimité des 20 enseignants présents
On nous communique :
Retrait pur et simple de la loi Rilhac sur la direction d’école !
La proposition de loi Rilhac sur la direction d'école a été examinée et votée au
Sénat mercredi 10 mars. Dans sa version adoptée le 24 juin 2020 à l'Assemblée
nationale, en son article 1er,
figurait la phrase « il
[le directeur] n’exerce pas d’autorité hiérarchique sur les enseignants de son
école »
qui pouvait laisser penser que le directeur restait un collègue vis à vis de ses
adjoints.
C’est cela que les sénateurs, en collaboration avec le ministre Blanquer, ont
clairement remis en cause. Ils ont d’abord supprimé la phrase en question et ils
ont ajouté : « Il
dispose d’une autorité fonctionnelle permettant le bon fonctionnement de l’école
et la réalisation des missions qui lui sont confiées. »
C’est donc bien une autorité qui serait octroyée aux directeurs sur ses
adjoints, et le Dasen définirait les domaines dans lesquels elle s’exercerait.
Ces dispositions correspondent parfaitement aux
conclusions du Grenelle organisé par Blanquer.
Celles-ci préconisaient de donner aux directeurs « un
véritable statut leur conférant autorité décisionnelle et fonctionnelle »
et proposaient « que
le directeur ait la possibilité de valoriser par une évaluation positive »
les professeurs des écoles sous forme d'un « double
regard de l'inspecteur et du directeur »
pour l'évaluation dans le PPCR.
La volonté est bien de placer le directeur comme supérieur hiérarchique des
enseignants et de bouleverser le fonctionnement des écoles.
Le directeur doit rester un collègue et ne pas devenir un supérieur hiérarchique
!
Ni "emploi fonctionnel", ni "délégation de compétence", ni "autorité
fonctionnelle" !
Retrait pur et simple de la loi Rilhac qui doit être examinée à l’Assemblée
nationale en 2ème lecture !
-----------------------
Nous, enseignants de l'école élémentaire de Saint Gervais d’Auvergne, nous
prononçons pour le retrait pur et simple de la loi Rilhac, et demandons à la
CGT’Education, à Sud Education, au Snudi-FO et plus particulièrement au
secrétariat général du SNUipp-FSU, premier syndicat du primaire
de
reprendre à son compte cette position et d’engager, dans les plus brefs délais
et dans l’unité, la mobilisation pour obtenir gain de cause.
Adopté à l’unanimité le 12 mars 2021
On nous communique
:
HMI du 11 février
2021: Collège Paul Eluard Port de Bouc
Le « Grenelle de l’éducation
» a livré ses « conclusions » soumises à Blanquer. Ces conclusions dessinent une
attaque d’une ampleur inouïe de
notre statut :
- recrutement des professeurs par les
chefs d’établissements
- liquidation de la progression à l’ancienneté
- extension à l’infini
du temps de travail exigible aux enseignants (intégration aux obligations
de services, en plus de l’horaire
obligatoire devant les élèves, d’un
temps de travail en équipe, d’un
temps de formation continue obligatoire, de crédits d’heures
de remplacements sous forme d’astreinte).
C’est
la mort programmée du statut!
C’est
pourquoi, les enseignants réunisen HMI le 11 février au collège Paul Eluard de
Port de Bouc, s’adressent aux
organisations syndicales :
- Pour qu’elles se prononcent dans
l’unité pour le rejet des « conclusions » du Grenelle de l’éducation.
- Pour qu’elles déclarent immédiatement
refuser de prendre part à toute discussion avec le gouvernement sur celles-ci.
La destruction de métier d’enseignant,
ça ne se discute pas, ça se combat.
A l’unanimité des présents (16 )
On
nous communique :
Adresse aux
organisations syndicales
Les
enseignants réunis sur l’HMI du 4 février 2021 au lycée Virlogeux de Riom (63)
s’adressent aux organisations syndicales :
- pour
qu’elles se prononcent dans l’unité pour le rejet des conclusions du Grenelle de
l’éducation ;
- pour
qu’elles déclarent immédiatement refuser de prendre part à toute discussion avec
le gouvernement sur celles-ci.
unanimité
des 23 présents
Motion
adoptée en Heure d'Information syndicale collège de Tavan (84)
Adresse à la direction
du SNES
Fin août, Blanquer a
annoncé la tenue d’un « Grenelle des professeurs ».
Pour le gouvernement, il
s’agit, après toutes les contre-réformes déjà réalisées contre
l’enseignement public, de porter de nouveaux coups contre les statuts des
enseignants : règles de rémunération et de nomination, obligations de
service etc. Il s’agit purement et simplement de liquider ce qui reste du
statut des enseignants.
Le 5 octobre est prévue
une réunion au Ministère sur la « revalorisa&on des rémunérations des
enseignants et assimilés » : le SNES ne doit pas s’y rendre.
Les enseignants du
collège Tavan, réunis en HIS le vendredi 2 octobre 2020, s’adressent à la
direction du SNES :
Ne participez pas à la
destrucion de nos statuts, ne participez pas au « Grenelle des professeurs
».
Pour : 9 - Contre : 0 -
Abstention : 0
Non à la signature du protocole
LPPR
La section SNCS Grenoble
polygone, réunie le 3 septembre 2020, se prononce contre la signature par
notre syndicat du protocole « Projet de loi de programmation pour la recherche (2021-2030) - Accord relatif
à l’amélioration des rémunérations et des carrières
».
En effet, faisant fi des propositions préalables
puis de l’opposition de l’ensemble de la communauté scientifique, le
gouvernement maintient intégralement son projet de LPPR. Il demande aux
syndicats des personnels de l’ESR de cautionner ce texte avant le vote de
la LPPR en procédure accélérée à
l’assemblée nationale le 17 septembre.
Pour quelques miettes, le gouvernement nous
demande d’avaliser un régime indemnitaire arbitraire, le dispositif des
tenure-tracks,
les CDI de mission scientifique ainsi qu’une dotation renforcée de l’ANR au dépend
d’un financement récurrent. Il nous
demande donc d’entériner l'individualisation des rémunérations et la mise en
place de statuts multiples, toujours plus précaires, dans l’ESR, c’est-à-dire de
renier ce qui fonde le combat syndical contre la précarité et pour
l’amélioration des droits collectifs.
Il n’est pas envisageable pour nous
que notre syndicat signe un tel texte.
Motion adoptée à l'unanimité par le conseil
syndical du SNUipp34, réuni à Montpellier le 2 mars 2020
Le conseil
syndical, vient d'apprendre que la direction de FO avait décidé de sortir de la
Conférence dite de financement des retraites. Il est possible que la direction
de la CGT fasse de même.
Le conseil
syndical se prononce pour que la direction du SNUipp et celle de la FSU se
retirent, sans délai, des concertations avec le ministère de l’Éducation
anticipant la mise en œuvre de la réforme des retraites dont nous exigeons le
retrait.
Texte de l’Assemblée Générale du campus
CNRS de Grenoble
Avec son
projet de loi de retraites par points, le gouvernement confirme sa volonté d’en
finir avec les régimes de retraites, le régime général, celui de la fonction
publique, et tous les régimes spéciaux.
Il veut diminuer
massivement le niveau des pensions et des retraites, nous faire travailler plus
et plus longtemps.
Avec sa « Conférence
sur l’équilibre financier », le gouvernement cherche à faire endosser par les
syndicats cette politique de liquidation de nos retraites.
L’AG, réunie le 16 janvier 2020,
s’adresse aux directions des organisations syndicales qui nous représentent pour
leur dire :
N’y allez pas !
L’objectif doit rester le retrait pur et
simple de ce projet de loi !
Adopté à
l’unanimité des 40 présents, le 16 janvier 2020
Motion
adoptée au lycée Jean-Baptiste Dumas à Alès le 9 janvier 2020
Les
enseignants du lycée Jean-Baptiste Dumas d'Alès réunis le jeudi 9 janvier avant
la manifestation unitaire contre le projet gouvernemental proposent que dans
tous les secteurs soit reprise cette adresse aux directions nationales des
organisations syndicales :
Nous nous
adressons aux directions des organisations syndicales qui nous représentent.
Pour
rassembler la force qui s’est encore manifestée aujourd’hui le 9 janvier, pour
frapper vite et fort avant que les secteurs les plus mobilisés jusque-là
s’épuisent, et pour faire plier le gouvernement, nous vous appelons à :
- Cesser
immédiatement de participer aux concertations gouvernementales dont le cadre est
l’application de la réforme des retraites
- Appeler et
organiser dans les plus brefs délais une manifestation nationale à Paris, au
siège du pouvoir, sur le mot d’ordre : retrait pur et simple de la réforme.
Motion votée en heure de vie syndicale
des personnels du collège Jeanne D’Arc de Clermont Ferrand en HMI le
15/11/19
Les personnels du collège Jeanne D’Arc de Clermont
Ferrand réunis en heure mensuelle d’information syndicale le 15/11/19 se
prononcent pour le retrait du projet de réforme de retraites du
gouvernement Macron, Philippe, Delevoye, qui vise à supprimer le code
des pensions au profit d’un système universel à points, aboutissant à
une baisse du montant des pensions, sans par ailleurs en garantir le
montant.
Ils demandent que l’ensemble des directions syndicales appelant à la
grève le 5 décembre 2019 se prononcent pour un retrait de ce projet de
réforme des retraites.
Ils demandent que l’ensemble des directions syndicales se retirent de la
concertation basée sur le projet actuel présenté par le gouvernement.
Ils demandent que cessent les discussions salariales qui s’articule avec
le projet des retraites et visant à augmenter le temps de travail des
enseignants pour augmenter leurs salaires, au profit de discussions
basées sur une augmentation de la valeur du point d’indice.
VOTANTS : 34
POUR : 34
CONTRE : 0
ABSTENTION : 0
Ne Prennent pas Part au Vote : 0
Motion
des enseignants du lycée Georges de La Tour, METZ, réunis en heure
d’information syndicale le 15 novembre 2019
Les
enseignants du lycée Georges de La Tour, METZ, réunis en heure
d’information syndicale le 15 novembre 2019 se prononcent pour le
retrait du projet de réforme des retraites du gouvernement
Macron-Philippe-Delevoye dont l’objectif est de liquider le code des
pensions et de baisser toutes les pensions et retraites par le biais
d’un système par points.
Ils s’adressent aux directions
des organisations syndicales qui appellent au 5 décembre :
- Prononcez-vous pour le retrait pur et simple du projet de
contre-réforme des retraites MACRON PHILIPPE DELEVOYE.
- Rompez toutes les concertations avec le gouvernement sur ce projet.
Dans
l’enseignement, le gouvernement lie la concertation sur la
revalorisation salariale (par le mérite) à sa contre-réforme des
retraites : « On va se revoir avec les
syndicats sur l’articulation réforme des retraites, rémunération et
définition du métier enseignant » (JM Blanquer, le 23 octobre à
l’assemblée nationale).
Les
enseignants s’adressent aux directions du SNES, FSU, CGT, Solidaires
pour qu’elles rompent les concertations sur la « revalorisation des
enseignants » qui s’inscrit totalement dans le cadre de la réforme des
retraites. La Fédération FO n’y participe pas.
11
Pour
0
contre
2
abstentions
1 ne
prend pas part au vote
MOTION
des enseignants réunis au lycée Virlogeux en HMI, le 14 novembre 2019
Les enseignants réunis au lycée Virlogeux en HMI, le 14
novembre, se prononcent pour le retrait pur et simple de la réforme des
retraites que prépare le gouvernement, et pour le maintien du code des
pensions.
Ils s’adressent aux directions des organisations
syndicales, fédérations de l’enseignement et confédérations, pour
qu’elles reprennent cette revendication.
En conséquence, il ne peut être question de discuter de
la manière de mettre en œuvre cette réforme.
Ils s’adressent donc aux fédérations de l’enseignement
pour qu’elles rompent la discussion sur la soi-disant « revalorisation »
dans le cadre de la réforme des retraites.
Unanimité des 11 votants
Motion
des enseignants de la cité scolaire Blaise Pascal (Clermont-Ferrand), le
8 novembre 2019
Les enseignants de la cité scolaire BP réunis en HMI
le 8 novembre 2019 s’adressent aux directions des organisations
syndicales qui appellent au 5 décembre :
Prononcez-vous pour le retrait pur et simple du
projet de contre réforme des retraites MACRON PHILIPPE DELEVOYE.
Rompez toutes les concertations avec le gouvernement
sur ce projet.
Dans l’enseignement, le gouvernement lie une
prétendue revalorisation salariale à sa contre réforme des
retraites. La Fédération FO n’y participe pas. Nous nous adressons
aux fédérations de fonctionnaires CGT FSU Solidaires pour qu’elles
fassent de même : Ne participez pas la concertation.
16 pour, 1 contre, 1 abstention
Motion
des enseignant(e)s du collège de Vendres (Hérault) réunis en heure
syndicale (Adoptée par 11 Pour et 1 Abstention)
Les enseignants du collège Françoise Giroud, réunis en heure
d’information syndicale le 7 novembre 2019 se prononcent pour le retrait
du projet de réforme des retraites du gouvernement
Macron-Philippe-Delevoye dont l’objectif est de liquider le code des
pensions et de baisser toutes les pensions et retraites par le biais
d’un système par points.
Ils s’adressent aux directions des fédérations syndicales de la Fonction
Publique (en particulier la FSU) pour qu’elles reprennent clairement le
mot d’ordre de retrait et rompent toutes les concertations sur le projet
du gouvernement.
Ils s’adressent en particulier aux directions des syndicats enseignants
(SNES en tête) pour qu’elles rompent les concertations sur le projet de
« revalorisation des enseignants » qui s’inscrit dans le cadre de la
réforme des retraites.
Extraits
de l’adresse au Snes des enseignants du collège Paul Eluard à Port de
Bouc réunis en HMI le 8 octobre 2019
Après l’analyse détaillée des conséquences que la réforme aurait pour
les enseignants cette adresse conclut :
« Ce
projet n’est pas acceptable. C’est pourquoi nous demandons à la
direction du SNES :
De se
prononcer clairement pour le retrait du projet de réforme des retraites
De
refuser toute concertation sur ce projet de réforme, et en particulier
celle dans le cadre de la prétendue « revalorisation salariale » évoquée
par J.M. Blanquer ».
(Pour : 15,
Contre 0, Abs : 1, NPPV : 0)
On
nous communique:
Motion adoptée :
Adresse au Snes des enseignants du collège Paul Eluard à Port
de Bouc réunis en HMI le 8 octobre 2019
Adresse au SNES
sur la réforme des retraites
Les enseignants du collège Paul Eluard à Port de Bouc réunis
en HMI le 8 octobre 2019, ont pris connaissance du projet de réforme des
retraites et de la guerre déclarait contre les enseignants dont le discours
d’Emmanuel Macron le 3 octobre illustre parfaitement la volonté de dégrader
davantage la situation des enseignants.
« Le
pacte social implicite que l'on fait depuis des décennies c'est de dire "on
ne vous paye pas très bien, votre carrière est assez plate mais vous avez
des vacances et vous partez à la retraite avec un système mieux calculé que
beaucoup d'autres... Ce pacte ne correspond plus à la réalité et à ce qui
est souhaitable. Le passage au nouveau système (de retraite) pour le corps
enseignant ne peut aller qu'avec une transformation de la carrière. Il
faudra repenser la carrière dans toutes ses composantes"(…)"Il faut repenser
la carrière. Il faut arriver à ce que la carrière progresse davantage. Comme
on paye mieux on change le temps de travail (des enseignants) pour
accompagner les jeunes différemment. On regarde les vacances. Et on valorise
la carrière de directeur. On intègre qu'à des moments de la carrière on ne
soit plus devant élèves". ( cité dans l’Expresso du Café Pédagogique le
7/10)
La réforme sur les
retraites impliquerait entre autres :
-
la fin du calcul de la retraite sur la base des six derniers mois de salaire
et donc la diminution du montant des retraites.
-
La fin de toute garantie de revenu pour les retraités, puisque la valeur du
point est « flexible ».
-
L’augmentation du nombre d’annuités pour avoir une retraite à taux plein
-
La disparition du code des pensions au profit du système de retraite par
points, c’est-à-dire la fin de toute garantie du niveau des pensions pour
les retraités, le gouvernement pouvant faire varier la valeur du point à
volonté
Ce projet n’est
pas acceptable. C’est pourquoi nous demandons à la direction du SNES :
-
De se prononcer clairement pour le retrait du projet de réforme des
retraites
-
De refuser toute concertation sur ce projet de réforme, et en particulier
celle dans le cadre de la prétendue « revalorisation salariale » évoquée par
J.M. Blanquer.
Pour 15
Contre 0
Abs : 1
NPPV : 0
Adresse
au snes des enseignants du collège tavan (Avignon) réunis en HMI le 27
septembre 2019
Adresse au SNES sur la réforme des retraites
Les enseignants du collège Tavan, réunis
en H.I.S. le 27.09.2019, ont pris connaissance du projet de réforme des
retraites qui impliquerait :
-
L’augmentation du nombre d’annuités pour avoir
une retraite à taux plein
-
Une diminution du montant des retraites
-
La disparition du code des pensions au profit
du système de retraite par points, c’est-à-dire la fin de toute garantie du
niveau des pensions pour les retraités, le gouvernement pouvant faire varier
la valeur du point à volonté
Ce projet n’est pas acceptable. C’est pourquoi nous
demandons à la direction du SNES :
-
De formuler l’exigence de retrait du projet de
réforme des retraites
-
De refuser toute concertation sur ce projet de
réforme, et en particulier celle sur la prétendue « revalorisation
salariale » évoquée par J.M. Blanquer
POUR :
10
CONTRE : 0
ABST :0
Refus de vote : 0
Motion
des enseignants du lycée Sidoine Apollinaire, réunis le 19/09/2019 lors
d’une heure d’information syndicale
« Les
enseignants du lycée Sidoine Apollinaire, réunis le 19/09/2019 lors d’une
heure d’information syndicale, demandent à notre direction syndicale SNES ,
le retrait pur et simple du projet de la réforme de la retraite en rompant
immédiatement les discussions sur la prétendue revalorisation salariale »
20 votants
17 :pour
1 : contre
2 : abstentions
Motion du Conseil syndical du SNUIPP 63,
adoptée le 30 avril 2019
Le projet de loi Blanquer,
projet qui anticipe le projet de loi Fonction publique, va être discuté et
apparemment amendé au sénat dans les jours qui viennent. Il sera donc à
nouveau discuté à l’Assemblée nationale. Le projet de loi Fonction publique
sera lui discuté en commissions les 2 et 3 mai 2019.
Pour le SNUipp, ces deux projets de lois sont destructeurs tant pour l’école
que pour la fonction publique et ses statuts :
ils ne sont ni amendables, ni négociables.
Aussi, le conseil syndical du SNUipp-FSU 63 réuni le mardi 30 avril 2019 se
prononce pour :
- le retrait pur et simple
des projets de loi Blanquer et Fonction publique ;
- la fin de toutes
discussions avec le gouvernement sur ces projets (Loi Blanquer et loi
Fonction Publique),
- que le Conseil national
reprennent ces positions,
Pour 11 Contre 0 Abstention 0
NPPV 0
élément dissocié
- pour que le SNUipp-FSU et
la FSU s’adressent aux organisations et confédérations syndicales afin
d’organiser une grève accompagnée d’une manifestation centrale à Paris la
plus unitaire possible, en semaine, en direction de l’Assemblée nationale au
moment du vote.
Pour 8 Contre 0 Abstentions 3
NPPV 0
La motion dans son
intégralité devrait être soumise au vote du CN.
Motion
adoptée par le
Bureau de la section FSU-BnF réuni le 03
avril 2019
Après avoir liquidé le statut des cheminots, le gouvernement Macron-Philippe
entend en finir avec celui des fonctionnaires. L'arrêter impose de
l'affronter !
Le
Bureau de la section FSU-BnF réuni le 03 avril 2019 a pris connaissance du
projet de “loi de transformation de la Fonction
publique »
et considère qu'il s'agit d'une attaque sans précédent
contre la fonction publique, les fonctionnaires et les services publics et
les syndicats.
Avec ce projet de loi FP le gouvernement
veut à la fois donner tout pouvoir à la hiérarchie concernant nos carrières
et généraliser les recrutements de contractuels.
Pour ce faire, il liquide les prérogatives
des élus du personnel en CAP, en particulier leur contrôle des promotions et
mutations.
Il généralise le salaire au mérite autrement
dit à la performance, instaurant la mise en concurrence des agents et même
des services avec les primes collectives.
Il permet la généralisation du recours aux contractuels, y
compris sur des postes de direction, en multipliant les dérogations au
recrutement au statut.
Il créé en particulier un nouveau CDD dit « contrat de
projet » qui pourra être rompu à tout moment avec une durée maximum de 6
ans.
Il instaure une procédure de rupture conventionnelle pour les
agents en CDI qui pourra être « expérimentée » pendant 5 ans pour les
fonctionnaires. C’est ici le moyen de pousser les personnels à quitter la
Fonction publique au moment où 1200000 postes doivent être supprimés et des
missions externalisées ou abandonnées.
Le projet de de loi de transformation de la fonction publique
n’est ni amendable, ni négociable. Il doit être retiré. Il en va de l’avenir
du maintien des services publics, de nos garanties statutaires et de nos
emplois.
Seule la mobilisation des personnels dans l’unité permettra
de faire reculer le gouvernement !
Pour mener ce combat de manière efficace, la responsabilité
des directions nationales des syndicats de la fonction publique est
décisive. En effet, à l’offensive gouvernementale contre l’ensemble des
fonctionnaires et leur statut, il faut opposer une riposte au niveau de
toute la Fonction publique.
C'est
pourquoi la section FSU-BnF décide de s’adresser à la direction nationale de
la FSU pour lui demander :
-de
se prononcer pour le retrait pur et simple du projet de loi et donc de
refuser toute concertation dans ce cadre.
-de
s’adresser aux autres fédérations de fonctionnaires pour qu'elles fassent de
même.
Une telle prise de position enverrait le signal aux
fonctionnaires que l’heure n’est pas au dialogue social avec le gouvernement
sur le terrain de ses contre-réformes mais à l’affrontement avec lui. Cet
affrontement ne peut pas reposer sur la tactique des journées d’action
isolées et décentralisées, comme ce fut le cas en 2003, 2010, 2016 et
2017 pour autant de défaites à la clé.
La responsabilité des fédérations de fonctionnaires et des
syndicats nationaux est au contraire de dresser de manière centralisée la
force des millions de fonctionnaires contre le gouvernement et son projet de
loi en s'engageant immédiatement dans la préparation d'une
manifestation massive de toute la Fonction publique à l'Assemblée Nationale
à l'ouverture de la discussion parlementaire sur ce projet de loi pour
tenter d’obtenir son retrait
Au cas où une telle manifestation ne suffirait pas à
faire plier le gouvernement, il n’y aurait pas d’autre recours que la grève
jusqu’au retrait du projet de loi. C’est ce que la direction de la FSU mais
aussi celles des autres fédérations de fonctionnaires ont la responsabilité
de préparer.
Motion adoptée le 14
février 2019 par l'école de St Gervais d'Auvergne (63)
A l’heure où le gouvernement limite
nos libertés, les organisations syndicales doivent agir !
En effet, la loi « anti casseurs »
adoptée récemment limite le droit de manifester.
La loi Blanquer dite de « l’école de
la confiance » vise à limiter non seulement la liberté d’expression des
fonctionnaires de l’éducation nationale (article 1 adopté le 11février
2019), mais aussi vise à supprimer la liberté pédagogique des
enseignants. Ces lois s’inscrivent totalement dans tous les chantiers
mis en branle par le gouvernement Macron / Philippe et notamment le
projet de loi Fonction Publique qui revient à porter un coup décisif
contre le statut :
- Recrutement sur contrat,
- Salaire au mérite,
- Liquidation du rôle des
commissions paritaires,
- Plan massif de suppression de
postes et de "reconversion" des fonctionnaires chassés de la FP.
- Etc. …
Seul un réel combat contre le
gouvernement permettra de l’arrêter !Aussi les enseignants et personnels
AESH de l’école élémentaire de Saint Gervais d’Auvergne s’adressent à
l’ensemble des organisations syndicales et notamment la FSU pour qu’elle
rompe toutes les négociations en cours avec le gouvernement et pour
qu’elle engage le combat réel.
Dès à présent, les enseignants et
personnels AESH de l’école élémentaire de St Gervais d’Auvergne
demandent au SNUipp-FSU 63 de convoquer, dans les plus brefs délais, une
assemblée générale départementale des instituteurs et professeurs des
écoles afin d’organiser le combat pour obtenir le retrait pur et simple
de ces lois et projets de loi et pour infliger une défaite au
gouvernement Macron Philippe Blanquer Darmanin.
Adopté à l’unanimité le 14 février
2019.
CA du SNCS-FSU
La motion suivante a recueilli la majorité des voix
de la CA du SNCS-FSU (vendredi 25 janvier 2019) :
« Pour le retrait du projet
de loi contre le droit de manifester, Contre la répression policière,
Manifestation à l’Assemblée nationale pour
empêcher le vote du projet de loi
La CA du SNCS-FSU se prononce pour l'arrêt
immédiat de la répression policière et des poursuites engagées contre
les manifestants.
Le gouvernement entend profiter de la situation pour
soumettre à l'Assemblée nationale, le 29 janvier, un projet de loi dite
"anti casseurs", attaque en règle contre le droit de manifestation.
La CA du SNCS-FSU se prononce pour le retrait pur et simple de ce projet
de loi.
Elle s’adresse à la direction de
la FSU pour qu’elle organise avec l'ensemble des
organisations syndicales et celles attachées à la défense des libertés
démocratiques, une manifestation à l'Assemblée nationale, le 29 janvier,
pour le retrait de ce projet de loi. »
[10 voix Pour, 9 Contre et 4 abstentions]
Malgré ce résultat, le secrétaire général de notre
syndicat a refusé que le SNCS fasse sienne cette position. Il a justifié
sa décision par le fait que la motion n’avait qu’une majorité relative
et non pas la majorité absolue.
Pour lui, le SNCS doit s’en tenir à la position de
la motion "action" du CDFN de la FSU réuni le 23 janvier:
"La FSU dénonce, dans un cadre unitaire initié par la
LDH, le projet de loi «anti-casseurs» en cours qui porterait atteinte à
la liberté de manifester pourtant garantie constitutionnellement. La
FSU demande une commission d’enquête parlementaire sur les violences
policières exercées lors de ces manifestations".
Le soir même, la FSU était amenée à amender sa position
dans un communiqué commun avec la LDH et la CGT demandant
" le retrait de cette proposition de loi".
Cependant, face à un gouvernement qui, fidèle à son
habitude, veut frapper vite et fort pour l'empêcher de déployer son
arsenal répressif et lui faire ravaler son projet de loi qui vise à
interdire toutes manifestations contre son déluge d'attaques contre la
population laborieuse et la jeunesse, il faut le combattre.
N'est-ce pas la responsabilité des
directions de nos syndicats d'organiser un réel combat pour exiger le
retrait de ce projet de loi liberticide ?
N'est-ce pas leur responsabilité
d'appeler à une grande manifestation unitaire, là où cette loi doit être
adoptée et au moment où elle sera discutée : à l’Assemblée Nationale?
Tant qu'il est encore temps, faisons
remonter cette exigence auprès des directions de nos syndicats.
Lors de cette CA, Front Unique a aussi soumis ces 2
autres motions :
Pour le retrait pur et simple du projet de loi de
démolition de la fonction publique
Le gouvernement est bien déterminé à faire aboutir sa
contre-réforme de la Fonction publique.
Il veut :
-
Attaquer le statut de la fonction publique dans toutes
ses dimensions ;
-
Substituer les recrutements sous contrat à ceux sous
statut ;
-
instaurer le salaire au « mérite » ;
-
liquider de fait les Commissions Paritaires ;
-
Accroître le pouvoir des supérieurs hiérarchiques ;
-
Pousser les agents à quitter la fonction publique à
travers des réorganisations et des suppressions de services avec un
objectif de 120 000 suppressions de postes.
C’est donc une attaque historique que le gouvernement
veut porter contre le statut des fonctionnaires mais aussi contre les
organisations syndicales.
Le CA du SNCS-FSU exige le retrait pur et simple de
ce projet de « réforme ».
Elle s’adresse à la direction de la FSU
-
pour qu’elle cesse immédiatement toute participation aux
concertations qui préparent son adoption ;
-
pour qu’elle prenne l’initiative d’organiser avec les
autres fédérations syndicales de fonctionnaires une puissante
manifestation des fonctionnaires à l’Assemblée nationale, au moment de
l’examen de la loi, pour son retrait.
Pour : 7 ; Contre : 13 ; Abs : 2
Non à la hausse des frais d’inscription pour les étudiants étrangers !
Boycott de la concertation de Vidal qui a pour
objectif de faire entériner cette hausse
Le gouvernement a décidé d’augmenter, de manière
exponentielle, les frais d’inscription l’université d’abord pour les
étudiants étrangers hors UE. Cette mesure scandaleuse fait partie d’un
plan cyniquement appelé « Bienvenue en France ». La ministre de
l’Enseignement supérieur organise une concertation sur ce plan pour
faire entériner cette hausse.
La CA du SNCS est fermement décidé à combattre
jusqu’au pour le retrait de cette mesure c’est pourquoi elle se prononce
contre la participation à cette concertation
Elle appelle toutes les organisations syndicales de
l’ESR à ne pas y participer.
Pour : 6 ; Contre : 11 ; Abs : 6
Lettre
ouverte d'une syndiqu�e du SNES du coll�ge Tavan d'Avignon (84).
5 autres
coll�gues syndiqu�s de l'�tablissement ont d�cid� de s'y associer.
Avignon, le 10.10.2018
Lettre
ouverte � la direction du SNES et de la FSU
Syndiqu�e au SNES depuis 2010, je pense avoir besoin
aujourd’hui plus que jamais d’�tre d�fendue par mon syndicat. Or, malgr�
mes cotisations mensuelles, je n’ai pas actuellement le sentiment que
vous d�fendez notre m�tier de professeur. C’est la raison pour laquelle
je vous �cris.
En effet, depuis un an, les attaques port�es par le
gouvernement Macron contre notre m�tier et notre statut sont des plus
graves :
- Rapport de la Cour des Comptes d’octobre dernier �
G�rer les enseignants autrement �, qui pr�conisait de nouvelles
obligations de service et un nouveau syst�me d’�valuation et de
recrutement des enseignants par le chef d’�tablissement
- Budget 2019 qui pr�voit 2650 suppressions de postes
d’enseignants dans le secondaire
- Instauration du salaire au m�rite dans la Fonction
Publique, contenue dans le plan gouvernemental � Comit� Action Publique
22 �
Pour ma part, et comme beaucoup de mes coll�gues :
- Je ne veux pas �tre pay�e au � m�rite �.
- Je ne veux pas �tre recrut�e par mon chef
d’�tablissement.
- Je ne veux pas de l’augmentation de mon temps de
travail, ni de son annualisation.
- Je suis choqu�e par la d�gradation des conditions de
travail de mes coll�gues et d’apprentissage pour les �l�ves, induite par
la mise en place de la r�forme du lyc�e, qui, au nom de la �
mutualisation des enseignements de sp�cialit� � l’�chelle d’un r�seau �,
multiplierait les compl�ments de service pour les enseignants et
obligerait les lyc�ens � subir le t�l�-enseignement ou � se d�placer
dans un autre lyc�e pour suivre la sp�cialit� de leur choix.
Tous ces projets ne sont pas acceptables. C’est pourquoi
je voudrais entendre mon syndicat, le SNES, et la f�d�ration � laquelle
il est affili�, la FSU, demander leur RETRAIT.
Au lieu de �a, je lis dans POUR du mois de septembre 2018
: � Les discussions sur la Fonction Publique reprennent d�s septembre
entre gouvernement et fonctionnaires ( ?) en vue de l’�laboration d’un
projet de loi au 1er semestre 2019. �
Mais je ne me suis pas syndiqu�e pour �a.
Pour moi le r�le du syndicat n’est pas de � discuter �
avec le gouvernement en vue d’�laborer un projet de loi qui pr�voit la
destruction de mon m�tier et de mon statut. Son r�le, c’est au contraire
de DEFENDRE notre m�tier, notre statut et les int�r�ts collectifs de
notre profession.
Sally Torkington
On nous
communique:
Motion du coll�ge Fran�oise Giroud, Vendres (34) adress�e aux directions
des f�d�rations de fonctionnaires
Les enseignants du coll�ge Fran�oise Giroud, r�unis
en heure syndicale le 20 mars 2018 ont
pris connaissance de la contre-r�forme de la Fonction
publique du gouvernement Macron
Philippe Darmanin.
Ils consid�rent que cette contre-r�forme vise non
seulement � supprimer 120 000 postes,
mais surtout � liquider le statut de la Fonction
publique.
Ils se prononcent donc pour le retrait du projet de
contre-r�forme de la Fonction publique.
En cons�quence, ils s’adressent aux directions des
f�d�rations de fonctionnaires (en
particulier la FSU et la CGT) pour qu’elles exigent
le retrait de ce projet de contre-r�forme et
pour qu'elle rejettent toute concertation visant �
accompagner sa mise en oeuvre.
Unanimit� des 18 pr�sents.
Motion des
enseignants du lyc�e JB Dumas (Al�s)
Les enseignants du lyc�e JB Dumas
r�unis en heure syndicale le 20 mars 2018 en pr�sence de repr�sentants
des parents d’�l�ve et d’�l�ves s’adressent � leurs coll�gues et aux
directions des organisations syndicales :
Le projet de r�forme du bac et
celle de l’organisation du lyc�e ne sont ni discutables ni amendables.
Contrairement � ce que pr�tend Le
Ministre de l’E. N. M. Blanquer nous rejetons la transformation du Bac
en dipl�me maison et la r�forme du lyc�e qui l’accompagne.
Assez de temps a �t� perdu dans
des concertations o� tout est fix� d’avance.
Nous demandons aux directions de
nos organisations syndicales :
- De se prononcer clairement pour
leur retrait.
- De boycotter le CSE du 21 mars
ou les textes de la r�forme du bac vont �tre soumis.
- D’organiser la mobilisation pour
faire reculer le gouvernement en organisant une conf�rence
nationale de repr�sentants mandat�s des �tablissements qui pourrait avec
les organisations syndicales centraliser et organiser la mobilisation
pour faire reculer le gouvernement.
Motion de la CGT-BnF
A la position de l'intersyndicale nationale CFDT, CGT, FO, CFE-CGC,
CFTC, UNSA, et FSU du 6 d�cembre 2018 en protection du
gouvernement Macron-Philippe
Il faut opposer : -pas de "dialogue social" avec ce gouvernement
-unit� des organisations syndicales contre le gouvernement
et sa politique r�actionnaire
La CGT-BnF a pris connaissance de la d�claration intersyndicale
nationale CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, UNSA, et FSU du 6 d�cembre
2018.
R�pondant � l�appel au calme et � la responsabilit� lanc� la
veille par Edouard Philippe, cette d�claration est une main tendue au
gouvernement alors que sa politique au service des int�r�ts des patrons et des
plus riches est rejet�e non seulement par les � Gilets jaunes � mais aussi par
la grande majorit� des travailleurs et de la jeunesse. Les signataires de la
d�claration remercient le gouvernement � d�ouvrir les portes du dialogue � et
l�implorent de les reconna�tre comme des interlocuteurs responsables.
Circonstance aggravante, la d�claration prend le parti de d�noncer : � toute
forme de violence dans l�expression des revendications � tout en passant sous
silence de mani�re scandaleuse la r�pression polici�re contre les manifestants,
en particulier les lyc�ens.
Au contraire, la CGT- BnF consid�re que la responsabilit� des
syndicats est :
-de condamner avec la plus grande fermet� la violence d��tat
et les arrestations pr�ventives.
-d�organiser dans l�unit� le combat pour la satisfaction des revendications des
travailleurs et non pas d�aider le gouvernement � reconqu�rir sa l�gitimit� en
participant au dialogue social avec lui.
Elle rappelle que la m�thode du dialogue social a �t� jusqu��
pr�sent l�arme utilis�e par le gouvernement pour faciliter la mise en �uvre de
ses contre-r�formes : ordonnances Macron contre le code du travail, loi Vidal
g�n�ralisant la s�lection � l�entr�e de l�universit�, liquidation du statut des
cheminots...etc... Chacune de ces victoires pour le gouvernement a �t� pr�c�d�e
d�une intense p�riode de concertation avec les syndicats.
C�est sur cette m�thode que s�appuient ses victoires. C�est sur
cette m�thode que reposent nos d�faites. De plus en plus de travailleurs
r�alisent aujourd�hui que leurs luttes se heurtent au mur du dialogue social.
Il est donc de la plus haute importance que les dirigeants des
f�d�rations et conf�d�rations syndicales CGT, FO, FSU, SUD� en tirent les le�ons
car le gouvernement a d�sormais le double objectif de s�attaquer frontalement au
statut des fonctionnaires par le biais du Programme Action Publique 2022
et de d�truire le r�gime g�n�ral des retraites, les r�gimes sp�ciaux et le code
des pensions de la Fonction publique au profit d�un syst�me individualis� par
points.
A son niveau, � la BnF, l�intersyndicale BnF CGT-FSU-SUD a tir�
les le�ons de la m�thode du dialogue social : elle a refus�, en d�pit des
invitations pressantes de la direction de l��tablissement, de participer aux
r�unions de concertation sur la mise en �uvre de la r�forme du Service public,
consid�rant que le cadre impos� ne � proposait � qu'une remise en cause des
conditions de travail des agents.
Ce qui vaut pour les conditions de travail des agents de la BnF,
vaut a fortiori pour les garanties statutaires et le code des pensions de
millions de fonctionnaires. La remise en cause de nos
conditions d�existence et de nos acquis ne se discute pas, elle se combat dans
l�unit� !
Dans ce combat, la responsabilit� des directions nationales des
syndicats est majeure. C�est pourquoi la CGT-BnF d�cide de s'adresser � celles
de la FERC-CGT et de la conf�d�ration CGT pour leur demander :
- qu�elles rompent leurs participations aux concertations,
pr�vues notamment dans le cadre de la mise en �uvre PAP 2022 et de la
contre-r�forme des retraites
- qu�elles se prononcent pour le retrait pur et simple de PAP
2022 et le projet de contre-r�forme des retraites
- et en cons�quence, qu�elles organisent le combat dans l�unit�
sur la base de nos revendications.
Une telle prise de position enverrait le signal aux
fonctionnaires que l�heure n�est pas au dialogue social avec le gouvernement sur
le terrain de ses contre-r�formes mais � l�affrontement avec lui. Un
affrontement qui ne peut plus reposer sur la tactique des journ�es d�action
isol�es, comme ce fut le cas en 2003, 2010, 2016 et 2017 pour autant de
d�faites � la cl�, mais sur la mobilisation jusqu�au retrait de PAP 2022 et
l�abandon du projet de contre-r�forme des retraites.
Motion des
professeurs du Lyc�e Georges De La Tour de Metz (Moselle)
le 12 mars 2018
Les professeurs
du Lyc�e Georges De La Tour de Metz (Moselle) r�unis pour pr�parer la
journ�e de gr�ve du 22 mars 2018 s’adressent aux directions nationales
des organisations syndicales pour :
- Qu’elles rejettent
les conclusions de CAP 2022
- Qu’elles refusent de
participer aux groupes de travail qui vont mettre en musique les futures
r�formes de la Fonction publique qui en d�coulent et dont l’objectif
clairement annonc� est la suppression de 120 000 postes, de liquider le
statut de la fonction publique et la privatisation de pans entiers de
services publics.
Adopt� le 12
Mars 2018
14 Pour, 0
contre et 2 abstentions
Motion des
enseignants du coll�ge/lyc�e Blaise Pascal (Clermont-Ferrand) r�unis en
HMI le 05 03 2018
Les enseignants du
coll�ge/lyc�eBlaise Pascal r�unis en HMI le 05 03 2018 ont pris
connaissance de la contre r�forme de la Fonction publique
du gouvernement Macron Philippe Darmanin .
Ils s’adressent aux directions des organisations syndicales pour
qu’elles se prononcent pour le retrait du projet.
En cons�quence, ils s’adressent � ces m�mes directions syndicales pour
qu’elles refusent de participer aux concertations visant � sa mise en
place.
Unanimit� des 18 pr�sents.
Motion
adopt�e � l'unanimit� (36 pr�sents) par les
enseignants du lyc�e
Sidoine Apollinaire (Clermont-Ferrand) r�unis en
heure d’information syndicale le 30 janvier 2018
Les
enseignants du lyc�e Sidoine Apollinaire r�unis en heure d’information
syndicale le 30 janvier 2018 constatent que le rapport MATHIOT remis au
gouvernement a pour objectifs principaux :
-
Liquidation du bac comme dipl�me
national (contr�le continu pesant 40 % dans la note finale) ;
-
Baisse des heures par la modularisation
(au total le volume d’enseignement devrait atteindre 25h hebdomadaires
soit 3h de moins par rapport au minium actuel en dehors des options) ;
-
Annualisation des services par la
semestrialisation (la combinaison des modules qui changent d’un
semestre � l’autre et dont le nombre d’heures n’est pas �quivalent
entraine de facto l’annualisation des services ;
-
Accroissement de l’autonomie des
�tablissements (en les mettant en concurrence et en donnant un vrai
r�le au Conseil p�dagogique qui serait ouvert aux parents d’�l�ves) ;
-
Suppression de postes d’enseignants et
diminution nette des salaires (par l’effet de la r�duction des
horaires, de la suppression des heures suppl�mentaires et de
l’annualisation des services).
C’est
pourquoi les enseignants, face � un tel rapport :
-
Appellent les directions syndicales,
et en premier lieu celle du SNES � rejeter clairement le rapport Mathiot
dans sa totalit� ;
-
Demandent � ces m�mes directions
syndicales de rompre la concertation qui ne vise qu’� associer les
syndicats � la r�forme du bac et du lyc�e en d�sarmant les coll�gues.
Prise de position
du
CS du SNUipp-FSU 63
Le
12 d�cembre 2017, le Maire de Clermont-Ferrand annonce officiellement le
maintien � 4,5 jours de classe apr�s avoir consult� les associations de
parents d'�l�ve et les directeurs et directrices d'�coles ;
Le
21 d�cembre 2017, la communaut� urbaine du Grand Reims annonce acter le
retour � 4 jours apr�s avoir consult� les familles…
Cette liste non exhaustive montre les cons�quences n�fastes des
diff�rentes r�formes des rythmes scolaires de ces derni�res ann�es.
La
question centrale n'est pas de se positionner pour un rythme � 4 jours
ou un rythme � 4,5 jours ou de veiller � ce que les diff�rents d�crets
soient respect�s.
Ce
que mettent en �vidence ces quelques exemples est que ces diff�rents
d�crets permettent � chaque municipalit� de choisir son rythme et ainsi
d'imposer aux enseignants leurs horaires de travail.
Le
d�cret Blanquer renforce la main mise des collectivit�s locales sur
l'enseignement primaire au d�triment d'un v�ritable cadrage national,
poursuivant ainsi une politique initi�e d�s 2008 par Xavier DARCOS
.
Il
est aujourd'hui, et plus que jamais important de r�affirmer notre
position. Le SNUipp-FSU 63 se prononce :
-
pour la fin des APC et la fin de la mise sous la tutelle des
collectivit�s territoriales des enseignants du primaire,
-
pour un v�ritable cadrage national de
l'enseignement primaire,
-
pour que le SNUipp-FSU exige le retrait des d�crets Blanquer, Hamon,
Peillon.
Le CS du SNUipp-FSU 63 d�cide de communiquer cette prise de
position � tous les syndiqu�s, � l'ensemble des �coles primaires du
d�partement et lors du prochain conseil national.
Motion des professeurs du coll�ge Les Ormeaux
� Fontenay aux roses (92) le 5 octobre
Les professeurs du coll�ge Les Ormeaux � Fontenay aux roses
(92), r�unis en heure d’information syndicale le 5/10/2017, constatent
qu’ils sont confront�s � un gouvernement qui applique clairement une
politique contre la fonction publique, les salari�s, les retrait�s et la
jeunesse. En attestent les mesures annonc�es : jour de carence, augmentation
de la CSG, suppression de postes, contre-r�forme du code du travail,
s�lection � l’entr�e � l’universit�.
L’ensemble des f�d�rations de fonctionnaires appelle � la
gr�ve le 10 octobre contre cette politique mais les professeurs du coll�ge
consid�rent que les revendications doivent �tre clairement formul�es :
-
Retrait du jour de carence
-
Aucune augmentation de la CSG
-
Aucune suppression de poste
-
Aucune modification des statuts de la Fonction Publique.
Ils appellent donc les f�d�rations de fonctionnaires et en
premier lieu la FSU � reprendre clairement ces revendications et �
n’accepter aucune rencontre avec le gouvernement tant qu’elles n’auront pas
�t� satisfaites c’est � dire :
-
Pas de participation au pseudo rendez-vous salarial alors que
la valeur du point d’indice est gel�e.
-
Pas de participation au Forum de l’Action Publique qui veut
d�finir les missions � privatiser pour pouvoir supprimer 120 000 postes.
Motion adopt�e � l’unanimit� des 13 pr�sents.
Motion des enseignants du lyc�e Sidoine
Apollinaire (Clermont-Ferrand) le 3 octobre
Les
fonctionnaires et parmi eux les personnels du lyc�e Sidoine Apollinaire
r�unis en heure d’information syndicale le 3 octobre 2017 constatent qu’ils
sont confront�s � un gouvernement clairement anti fonction-publique et
anti-salariat en g�n�ral. Les mesures annonc�es en attestent (jour de
carence, CSG, postes supprim�es, privatisation des services publics, remise
en cause du statut, nouvelles modalit�s de recrutement…).
Ils
constatent �galement que l’ensemble des f�d�rations syndicales des
fonctionnaires appelle � la gr�ve le 10 octobre 2017 mais consid�rent que
l’unit� ne peut se faire que sur les revendications suivantes :
-
Aucune
suppression de postes ;
-
Retrait du jour
de carence ;
-
Aucune baisse
de la r�mun�ration par l’augmentation de la CSG et d�gel de l’accord PPCR ;
-
Aucune remise
en cause du syst�me de r�mun�ration indiciaire ;
-
Contre
l’introduction d’un r�gime de retraite par points ;
-
Aucune atteinte
� l’existence des services publics et au statut de la fonction publique.
Ils
appellent les f�d�rations syndicales de fonctionnaires � ne pas se rendre
aux concertations gouvernementales en particulier au forum sur les services
publics qui vise � mettre en œuvre l’offensive du gouvernement contre la
fonction publique.
Vote � l’unanimit� des pr�sents : 31
voix
Motion sur le recrutement des enseignants par
les chefs d’�tablissement
adopt�e � l'unanimit� des 15 pr�sents au
coll�ge Tavan
(Montfavet, 84) le 22 septembre
Les
enseignants du coll�ge Alphonse Tavan, r�unis en Heure d’Information
Syndicale le vendredi 22 Septembre � l’initiative de la section SNES, ont
pris connaissance des propos tenus cet �t� par le Ministre de l’Education
Nationale J.M. Blanquer dans un num�ro du Nouvel Observateur qui titrait :
� Ecole, le grand m�nage �.
Ils
consid�rent que ces propos constituent une d�claration de guerre faite aux
professeurs de l’Enseignement Public :
�Mon objectif est simple : des �tablissements avec des
�quipes unies, partageant un projet �ducatif fort. Dans ce cadre, oui, il
est logique que le chef d’�tablissement ait un r�le � jouer en mati�re de
recrutement. Cela se pratique d’ailleurs dans les lyc�es fran�ais �
l’�tranger et participe � leur rayonnement. Les professeurs auraient tout �
gagner � ces �volutions. �
-
C’est la liquidation pure et simple du concours
donnant droit � un poste.
-
C’est le renforcement de l’autonomie des
�tablissements en accordant tout pouvoir aux chefs d’�tablissements en
mati�re de recrutement.
-
C’est la liquidation de toutes r�gles de
mutation.
-
C’est aussi une attaque majeure contre
l’organisation syndicale.
Pour parvenir � ses fins, J.M.
Blanquer explique �galement dans l’article du Nouvel Observateur la
m�thode qu’il compte appliquer : celle du dialogue social :
� On va en discuter sereinement dans les mois � venir (…) Je pense
surtout que le dialogue permettra de faire �merger les solutions les plus
pertinentes (…) Il faut en discuter dans le cadre de larges concertations. �
En cons�quence, les enseignants su Coll�ge Tavan s’adressent
� la Direction nationale du SNES :
-
Prononcez-vous clairement pour la d�fense
inconditionnelle du statut des enseignants et rejetez les propos du
Ministre.
-
Ne participez pas aux discussions qui
s’ouvriront sur ce sujet.
On nous communique:
Un tract du
SNASUB - FSU de l'Acad�mie de Clermont:
Droit des salari�s du Public et du Priv�, tout doit
dispara�tre !
Voil� les projets de Macron-Philippe !
L’ensemble des salari�s, du priv� comme du public, des
jeunes, des retrait�s ou des ch�meurs de ce
pays, sont confront�s � des mesures ou projets qui s’ils
devaient �tre mises en application
constitueraient un recul majeur pour les droits de tous. La
section acad�mique du SNASUB-FSU de
Clermont juge
indispensable d’informer et d'alerter chacun pour que dans l’unit� nous nous
opposions � cette politique au service exclusif du patronat et de la
finance.
lire le tract
Motion adopt�e par le bureau de la section FSU-BnF le 25 avril 2017
Le Bureau de la
section FSU-BnF, r�uni le 25 avril 2017, constate que le second tour des
pr�sidentielles met face � face deux candidats, qui au-del� de leurs
diff�rences, ont pour point commun d’�tre des ennemis des salari�s, ch�meurs,
retrait�s, jeunes et de leurs droits :
- La fille Le Pen,
chef d’un parti x�nophobe, raciste, nationaliste et au discours ouvertement
anti-syndical
- Le banquier Macron
dont le programme r�actionnaire comporte, entre autres, la suppression de 120
000 postes de fonctionnaires, la poursuite du d�mant�lement du statut de la
Fonction publique et du code du travail, menac� par l’extension du champ
d’application des � n�gociations d’entreprises �, c'est-�-dire une aggravation
de la loi El Khomri.
Dans ces
conditions, le Bureau de la section FSU-BnF se prononce pour :
-Pas une voix pour
Le Pen ; pas une voix pour Macron.
Il s’adresse � la
direction du SNASUB pour qu’elle d�fende cette position au sein de la FSU.
4 voix pour, 1 abstention, 1 contre
Nous avons d�cid� de faire
connaitre, apr�s avoir recueilli l�accord du camarade, la r�action de
Pierre Jallot, secr�taire de S1 au coll�ge de Passy, �lu au S2 de Haute Savoie
sur la liste "pour un syndicalisme combatif" � la suite de sa participation au
stage organis� par la section acad�mique du SNES de Grenoble sur le d�cret PPCR
et la r�forme de l��valuation
Embrouilles et comptes d�apothicaire
Je suis
extr�mement d��u du stage syndical que j�ai suivi (ou subi) ce jeudi 8 d�cembre
2016 � Grenoble. Un repr�sentant national est venu nous expliquer en toute
transparence les vertus du PPCR et des nouvelles mesures sur les carri�res.
Il a
commenc� son expos� l�nifiant en nous expliquant que ces mesures �taient une
avanc�e � historique �, une victoire syndicale �clatante. Le tout � mettre au
compte des talents de n�gociateurs et du rapport de force que le SNES a su cr�er
au minist�re. Nous sommes d�fendus par des guerriers, �a fait chaud au c�ur !
J��tais
alors plein d�espoir. Puis il a commenc� � d�tailler ces avanc�es historiques et
mon malaise n�a cess� de cro�tre.
Victoire
n�1 : Le point d�indice va �tre revaloris� de 2 fois 0.6% !!! C�est moi ou �a
fait pas beaucoup ? Apr�s v�rification, c�est en effet une des plus petites
augmentations de l�histoire (c�est peut-�tre �a le c�t� � historique �). En
plus, la valeur du point d�indice va baisser les ann�es suivantes�
Victoire
n�2 : On va ajouter des points d�indices � tous les �chelons !!! Chouette� Mais
en fait une grande partie de cette augmentation sera le transfert prime/points,
qui comme son nom l�indique est un simple transfert, donc sans effet sur la
fiche de paye. Hum hum�
Victoire
n�3 : La Hors Classe devient l�aboutissement normal de la carri�re !!! Donc cela
veut dire que tout prof ayant fait une carri�re compl�te aura automatiquement la
HC. Le dirigeant national explique que non, le passage n�est pas automatique
mais soumis � une appr�ciation de l�inspecteur et du chef d��tablissement. Ah.
Bon. Tant pis, alors. Mais je ne comprends pas tr�s bien ce qu�il a voulu dire
quand il a parl� � d�aboutissement normal �� Il ne serait pas en train de
chercher � m�embrouiller, celui-l� ?
Victoire
n�4 : L�acc�l�ration de la carri�re !!! L� c�est devenu un peu technique, et pas
�vident � suivre. En gros, il faudra moins d�ann�es pour parcourir la totalit�
de la carri�re, c�est-�-dire pour arriver au dernier �chelon de la HC. La
d�monstration est un peu laborieuse, et la diff�rence n�est pas tr�s importante,
mais c�est toujours �a de pris� C�est une avanc�e historique, apr�s tout, ne
faisons pas la fine bouche ! Un petit souci cependant : cette comparaison de
dur�e est faite avec ceux qui passaient toujours � l�anciennet� auparavant, soit
13% des profs. Pour les autres (87% tout de m�me), l�acc�l�ration n�est pas
d�montr�e. Il y a m�me un ralentissement pour ceux qui avan�aient au grand
choix� La d�monstration qui se voulait �clatante perd de sa superbe et ressemble
finalement � une manipulation assez malhonn�te.
Bon Bon Bon�
pas terrible tout �a� mais �a fait combien au bout ? En moyenne 320� nets par an
� partir de l�an prochain. Pour les ann�es suivantes, le gain est encore plus
mirobolant, mais il para�t qu�il y a des �lections entre-temps�
320� par an
c�est 26.67� par mois, pour ceux qui auraient la flemme de calculer.
� Historique � qu�ils disent !
L� on se
moque de nous.
D�autant que
nous avons aussi gagn� la fin de la biadmissibilit� et l�arriv�e d�une nouvelle
�valuation.
Evaluation
dont l��minent dirigeant national ne souhaitait visiblement pas d�battre.
Evaluation
qui repose sur des crit�res de plus en plus �loign�s de la p�dagogie et
arbitraires.
Evaluation
qui renforce le pouvoir du chef d��tablissement et l�autorit� qu�il a sur nous.
Evaluation
qui est coupl�e � une politique � d�accompagnement � dont le but est
essentiellement d�expliciter ce que la hi�rarchie attend de nous.
Evaluation
qui vise � nous transformer en de simples ex�cutants.
Evaluation
qui remet en cause l�id�e que je me fais de mon m�tier, de mon r�le, de ma
libert�, de ma valeur.
Evaluation
qui me fait peur.
Evaluation
que les dirigeants du SNES se pr�parent � voter�
Je suis
�c�ur�. Les dirigeants du syndicat nous expliqueront que c�est � nous de cr�er
le rapport de force sur le terrain, de ne pas nous laisser faire. Ils donnent un
b�ton � la hi�rarchie et apr�s ils nous disent que nous devons faire attention �
bien nous d�fendre !!! C�est une blague ?
Mais les
malhonn�tes ne sont pas les dirigeants du SNES, mais ceux de la CGT et surtout
de FO� trait�s de � menteurs � et de � conservateurs �, et � qui le repr�sentant
du S4 a adress� une vibrante et solennelle � mise en garde �. Les dirigeants du
SNES semblent se tourner vers de nouveaux alli�s, le SGEN et l�UNSA (oui, les
syndicats jaunes).
Alors je ne
sais pas qui sont les menteurs�
Que l�on ne
compte pas sur moi pour faire la promotion � mes coll�gues de cette � avanc�e
historique �. Je vais plut�t me faire tout petit en esp�rant que personne ne se
rappelle que j�ai �t� � ce stage syndical et me demande ce que j�y ai appris�
Si je
n��tais pas �lu au bureau d�partemental de Haute Savoie du SNES et soutenu par
des camarades de grande valeur, j�aurais arr�t� de militer pour le SNES en
rentrant de ce stage r�voltant. Mais ceux qui nous ont �lus comptent sur nous
pour d�fendre un syndicalisme beaucoup plus combatif et pour d�noncer les
d�rives inqui�tantes de cette p�riode.
Pierre
Jallot, S1 clg de Passy (74)
Motion aux directions syndicales des
enseignants du coll�ge Les Ormeaux (92) r�unis en HIS le 06.12.2016
Le CTM o� doit �tre adopt� le projet de d�cret sur l��valuation des
enseignants aura lieu le 7 d�cembre.
Les enseignants du coll�ge Les Ormeaux (92) r�unis en HIS le 06.12.2016
consid�rent que ce projet de d�cret a pour objectif la mise au pas des
enseignants, conduirait � la perte de leur libert� p�dagogique et constituerait
une nouvelle attaque contre leur statut, les enseignants n��tant plus �valu�s
sur leur aptitude � transmettre un contenu disciplinaire.
C�est pourquoi ils s�adressent aux directions syndicales SNES, FO, CGT, SUD :
- Prononcez-vous pour le retrait du projet de d�cret sur l��valuation des
enseignants.
- Ne participez pas au CTM du 7 d�cembre.
Adopt�e � l�unanimit� des 25 pr�sents
Motion des enseignants du lyc�e jb dumas r�unis
en heure syndicale le 24 novembre
Le CTM o� doit �tre adopt� le projet de d�cret sur l��valuation des
enseignants aura lieu le 5 d�cembre.
Nous consid�rons que ce projet de d�cret a pour objectif la mise au pas des
enseignants :
- qu�il donne un droit de regard au chef d��tablissement et de jugement en
mati�re p�dagogique
- qu�il conduirait � la perte de leur libert� p�dagogique
- qu�il constituerait une nouvelle attaque contre leur statut, les
enseignants n��tant plus �valu�s sur leur aptitude � transmettre un contenu
disciplinaire.
- qu�il pr�pare le recrutement des enseignants par les chefs d��tablissement
C�est pourquoi ils s�adressent aux directions syndicales SNES, FO, CGT, SUD
:
Prononcez-vous pour le retrait du projet de d�cret sur l��valuation des
enseignants.
Ne participez pas au CTM du 5 d�cembre
Motion des
enseignants du coll�ge Tavan r�unis
en HIS le 18.11.2016
Le CTM o� doit
�tre adopt� le projet de d�cret sur l��valuation des enseignants aura lieu
le 5 d�cembre.
Les
enseignants du coll�ge Tavan r�unis en HIS le 18.11.2016 consid�rent que
ce projet de d�cret a pour objectif la mise au pas des enseignants,
conduirait � la perte de leur libert� p�dagogique et constituerait une
nouvelle attaque contre leur statut, les enseignants n��tant plus �valu�s
sur leur aptitude � transmettre un contenu disciplinaire.
C�est pourquoi
ils s�adressent aux directions syndicales SNES, FO, CGT, SUD :
-
Prononcez-vous
pour le retrait du projet de d�cret sur l��valuation des enseignants.
-
Ne participez
pas au CTM du 5 d�cembre.
Motion de la Section SNES du lyc�e Sidoine
Apollinaire (63)
Les syndiqu�s de la section SNES du lyc�e Sidoine Apollinaire
(63) r�unis le 15 novembre 2016, demandent � la direction nationale du
syndicat SNES-FSU :
-
de prendre une position claire sur le projet de r�forme de
l��valuation ;
et
-
de ne pas si�ger au CTM qui a pour objet d�adopter le projet
de d�cret de r�forme de l��valuation.
Motion adopt�e par 6 pour, 4 contre et 1 abstention.
Texte sign� par 30 enseignants du lyc�e
Georges De La Tour de METZ
Les
enseignants du Lyc�e Georges De La Tour de METZ ont pris connaissance du
projet de r�forme de l��valuation des enseignants, qui s�inscrit dans le
cadre de l�accord PPCR (Parcours Professionnels, Carri�res et R�mun�rations)
impos� par le gouvernement malgr� la non-signature des organisations
syndicales.
Ils
constatent que ce projet de r�forme tel que le r�v�le le p�riodique
� Acteurs publics � livre les enseignants au pouvoir discr�tionnaire des
chefs d��tablissement, substituant � l�appr�ciation de la qualit� de
l�enseignement disciplinaire et au respect des obligations de service
(notation p�dagogique et administrative) un jugement arbitraire visant �
appr�cier les enseignants selon leur degr� de soumission aux injonctions
minist�rielles et leur conformit� une � �thique � officielle :
� Nous valoriserons
mieux les enseignants qui s�engagent le plus. Je veux qu�on passe d�une
gestion technocratique � une v�ritable � gestion des ressources humaines �,
avait pr�venu la ministre de l�Education nationale, Najat Vallaud-Belkacem,
en pr�sentant les grandes lignes de sa r�forme le 30 mai.
Il reviendrait ainsi
aux principal de coll�ge ou au proviseur de lyc�e de juger du niveau de
� coop�ration au sein d�une �quipe � et de la � contribution � l�action de
la communaut� �ducative � de chaque enseignant, mais aussi de juger de son
action � en �ducateur responsable et selon les principes �thiques ��
(Extrait d�Acteurs publics du 26 ao�t 2016, citant lui-m�me une note de la
ministre aux recteurs du 23 ao�t).
Ils
constatent que depuis des mois et sur ces bases une concertation a lieu
entre le minist�re et les repr�sentants des organisations syndicales.
Ils s�adressent aux
dirigeants des organisations syndicales concern�es (syndicats enseignants de
la FSU-SNES, SNUIPP, SNEP, SNUEP- syndicats FO de l�enseignement, CGT, SUD)
pour :
-Qu�ils prennent position
pour le retrait de ce projet de r�forme de l��valuation
-Qu�ils boycottent le
Comit� Technique Minist�riel, derni�re �tape avant la parution du d�cret
Nous publions ci-dessous la motion pr�sent�e
par le courant Emancipation � la
CA du SNES de l'Acad�mie d'Aix-Marseille le 20 juin 2016
Motion �mancipation : contre le projet de
r�forme de l��valuation des enseignants, contre la participation aux groupes
de travail
Le
conseil syndical du SNES Aix-Marseille a pris connaissance du projet dit de � modernisation
et revalorisation de la carri�re des personnels enseignants, d��ducation et
d�orientation-psychologue �, qui transpose le protocole fonction publique
PPCR.
Le SNES Aix-Marseille
rel�ve
que le projet minist�riel contient des mesures salariales et
une r�forme de l��valuation
des enseignants,
formant un ensemble coh�rent visant � mettre en �uvre un � v�ritable outil de
politique de ressources humaines � dans l��ducation nationale.
Il constate
le caract�re mod�r� de la � revalorisation � salariale (en regard des pertes
subies depuis 2010), son �talement dans le temps (d�ici 2020 !),
l�individualisation des r�mun�rations qu�elle pr�pare (un troisi�me grade
r�serv� � une petite minorit�, li� aux � fonctions � exerc�es), les incertitudes
concernant l�acc�s de tous � la hors-classe (aucune garantie d�aller au bout des
�chelons, allongement des carri�res �).
Il consid�re surtout que
le projet de r�forme de l��valuation des enseignants constitue une nouvelle
attaque contre le statut.
Qu�on en juge :
-
Introduction des
entretiens professionnels,
avec des � rendez-vous de carri�re � et une �valuation � r�guli�re �.
Volont� claire de
donner un r�le important aux chefs d��tablissement dans le � pilotage
p�dagogique � de l��valuation.
-
Substitution � la notation actuelle (qui est encadr�e) d�une �valuation de � proximit� �
mesurant la mise en �uvre des r�formes
(� expliciter le sens des
r�formes, participer � leur appropriation et contribuer ainsi � leur
appropriation au plus pr�s des personnels et des �l�ves �).
Et s�appuyant sur � les
comp�tences professionnelles attendues des m�tiers du professorat et de
l��ducation (arr�t� du 1er Juillet 2013) et sur les activit�s
conduites, les missions exerc�es ou les responsabilit�s prises par les
enseignants �
pour le faire.
Il s�agit l� de la reprise
des principaux axes du projet Ch�tel sur l��valuation, massivement rejet� par
les enseignants et les organisations syndicales, notamment le SNES en 2011.
Ce projet s�inscrit
clairement dans le cadre de la mise en �uvre de la r�forme du coll�ge, et
au-del� des diff�rentes mesures de la � refondation � combattues par les
professeurs ; Il traduit l�objectif minist�riel d�adapter le statut afin de
pouvoir les appliquer compl�tement.
Il consiste � aller vers une
�valuation fond�e non plus sur un enseignement disciplinaire mais sur diverses
� missions �, que le gouvernement entend imposer co�te que co�te aux
professeurs. Ce qui ne peut mener qu�� l�arbitraire, � la restriction de la
libert� p�dagogique et � la division.
Le SNES Aix-Marseille rejette l��valuation p�dagogique
par les chefs d��tablissements, il rejette une �valuation bas�e sur le
r�f�rentiel des comp�tences et la mise en �uvre des reformes. Il consid�re que
ces orientations sont inacceptables, que ce projet ne peut constituer une base
de discussion, qu�il doit �tre retir�
Il demande � la direction nationale du SNES de r�aliser
l�unit� sur ces revendications contre ce projet r�gressif, et de ne pas
participer aux groupes de travail lanc�s par le gouvernement � partir du 28 Juin
et tout au long du mois de juillet (pendant les vacances !), � commencer par
celui sur l��valuation des enseignants. Et de s�adresser en ce sens aux autres
syndicat
Une telle d�cision porterait un coup aux projets du
minist�re et ouvrirait la voie � la mobilisation unitaire pour faire reculer le
gouvernement, et au-del� � la remise en cause de sa politique scolaire.
2 pour, 3 abstentions, 17 contre
Motion du
conseil syndical du SNUipp-FSU 63, r�uni le 26 avril 2016
Le conseil syndical du SNUipp-FSU 63,
r�uni le 26 avril 2016
- se prononce pour le retrait pur et simple du projet de loi El Kohmri,
- se prononce pour l'organisation, dans les plus brefs d�lais, d'une
manifestation centrale � Paris en direction de l'assembl�e Nationale afin
d'en obtenir le retrait ;
- appelle le secr�tariat national du SNUipp-FSU � reprendre cette position
et � �uvrer au sein de la FSU pour r�aliser l'unit� des organisations et
conf�d�rations syndicales pour une manifestation centrale � l'assembl�e
nationale ;
- appelle le secr�tariat national du SNUipp-FSU � �uvrer au sein de la FSU
pour poursuivre l'action jusqu'� l'obtention du retrait du projet de loi.
Motion sur l��tat
d�urgence adopt�e au coll�ge Les Ormeaux (92) le 28 janvier 2016
Le 3 f�vrier doit s'ouvrir le d�bat � l'Assembl�e Nationale sur le
projet de r�forme constitutionnelle.
En d�fense des libert�s d�mocratiques, contre l�Etat policier, les professeurs
du coll�ge Les Ormeaux (92), r�unis en heure d�information syndicale, demandent
� la direction nationale du SNES et au congr�s de la FSU, qui se tient � partir
du 1er f�vrier :
d�appeler � une manifestation centrale et nationale � l�Assembl�e Nationale lors
du d�bat parlementaire pour imposer :
- le refus de la prolongation de l��tat d�urgence
- sa lev�e imm�diate
- le retrait du projet de r�forme constitutionnelle
- le retrait du projet de loi p�nale
et de s�adresser aux dirigeants des autres organisations syndicales pour que se
r�alise un front uni pour appeler � cette manifestation."
A Fontenay aux roses le 28/01/2016
16 Pour 1 Abstention
Acad�mie de Marseille : une adresse � la
direction nationale du SNES pour qu�elle appelle au boycott effectif de toutes
les �formations� � la contre r�forme des coll�ges (appel �manant de militants de
diverses tendances parmi lesquels des militants du courant �Front Unique�)
Pour un appel intersyndical national �
boycotter TOUTE s�ance de formation/formatage, en vue d'obtenir l'abrogation
de la r�forme du coll�ge 2016.
L�opposition des enseignants � la r�forme du coll�ge se poursuit. Elle se
manifeste notamment autour de la question des � formations-formatages � � la
r�forme.
Partout,
le minist�re �prouve des difficult�s � trouver des � formateurs-relais �.
Les formations pr�vues pendant les vacances � Aix-Marseille ont entra�n� un
tel rejet dans les �tablissements et aupr�s des syndicats (notamment le
SNES) que le rectorat a pris la d�cision de les annuler.
Dans un communiqu� cons�cutif � la manifestation nationale du
10 Octobre, l�intersyndicale d�crit �une ambiance traduisant la
d�termination collective � gagner l�abrogation de la r�forme du coll�ge�.
Et � appelle les coll�gues � organiser le refus collectif de s�impliquer
dans les formations-formatages propos�es pendant les cong�s d�Automne comme
� la rentr�e�.
Chacun
souscrit � un tel objectif. Mais le minist�re entend imposer cinq � huit
journ�es de formation � tous les enseignants. Une journ�e compl�te est ainsi
pr�vue dans l�acad�mie d�Aix-Marseille le Mercredi 18 Novembre.
Pour venir
� bout des r�sistances, mettre en place la r�forme et les
� formations-formatages � qui lui sont n�cessaires, le gouvernement compte
s�appuyer sur le tout coh�rent (coll�ge, programmes, �valuation�) auquel il
est parvenu. Il ne masque plus le r�le du conseil p�dagogique et des
nouveaux d�crets statutaires dans cet objectif.
Dans de
telles conditions, tout doit �tre entrepris pour ne pas laisser les
coll�gues isol�s, �tablissement par �tablissement, face aux pressions de
l�administration pour refuser les formations.
Combattre pour l�abrogation de la r�forme du coll�ge implique de bloquer ces
� formations-formatages �. C�est pourquoi, il est n�cessaire que
l�intersyndicale appelle clairement et NATIONALEMENT au boycott de TOUTES
les formations ou r�unions, �obligatoires� ou �sur la base du volontariat�,
du moment qu'elles visent � la mise en place de cette r�forme.
Premiers signataires :
Armelle Rioualen-Chevassu (Coll�ge Massenet, Marseille, SNES)
Delphine Roussely (S1 Coll�ge Alphonse Tavan, Avignon, SNES)
Eric
Aba (Coll�ge Andr� Malraux, Marseille, SNES)
Nathalie Chaize (Coll�ge Paul Eluard, Port-de-Bouc, SNES)
S�bastien Massonnat (Coll�ge Fr�d�ric Mistral, Avignon, SNES)
Laurent Chambon (Coll�ge Henri Wallon, Marseille, SNES)
Motion
adopt�e en heure d�information syndicale au coll�ge Georges Brassens de Narbonne
le MARDI 13 OCTOBRE 2015
� Pour
combattre r�ellement pour l�abrogation de la r�forme des coll�ges, il est urgent
que les directions nationales de l�intersyndicale, en particulier celle du SNES,
appellent au boycott de toutes les formations, r�unions � obligatoires � ou sur
la base du volontariat, sur temps scolaire ou pendant les cong�s, visant � la
mise en place de cette r�forme. �
ADOPTEE par
13 voix pour, 3 contre et 2 abstentions
Motion adopt�e au Coll�ge
Paul Eluard � Port de Bouc (13110) en Heure d�information syndicale le 6 octobre
2015 � l�unanimit�.
� Face au rejet massif des formations
pr�vues pendant les vacances exprim� par les enseignants, et face � l�appel du
SNES acad�mique Aix-Marseille au boycott de ces formations, le rectorat
d�Aix-Marseille a pris la d�cision de les annuler.
Il est donc urgent et possible, afin de
combattre r�ellement pour l�abrogation de la r�forme des coll�ges, que la
direction nationale du SNES appelle au boycott national de toutes les
formations, r�unions, �obligatoires� ou �sur la base du volontariat�, sur temps
scolaire ou pendant les cong�s, visant � la mise en place de cette r�forme. �
Nombre de pr�sents : 26
Pour : 26 Contre : 0
NPPPV : 0 Abs : 0
Motion adopt�e � l'unanimit� par les enseignants
du Coll�ge Alphonse Tavan (Montfavet, 84) le lundi 18 mai 2015
Les enseignants du Coll�ge Alphonse Tavan (Montfavet, 84) r�unis � l�initiative
de la section SNES en Heure d�Information Syndicale le lundi 18 mai 2015, apr�s
avoir analys� et d�battu du contenu du projet de r�forme du coll�ge pr�sent� par
le minist�re de l'Education Nationale constatent :
Dans la suite de la liquidation des d�crets statutaires et du nouveau d�cret
indemnitaire, ce projet de r�forme du coll�ge n'est acceptable ni
globalement ni dans le d�tail.
S�rs que cette appr�ciation est celle de l'�crasante majorit� de la profession
nous demandons aux organisations syndicales, et en premier lieu au SNES :
-qu'elles exigent le retrait pur et simple de ce projet.
Par ailleurs, la responsabilit� des organisations syndicales, et en premier lieu
du SNES, est de :
-
-convoquer des
assembl�es (acad�miques, nationales) de d�l�gu�s des enseignants des
�tablissements concern�s, avec les organisations syndicales.
-
-appeler � une manifestation
centrale de tous les enseignants du secondaire au Minist�re de l�Education
Nationale � Paris pour exiger le retrait du projet de r�forme du coll�ge.
Motion
adopt�e � l�HMI du coll�ge Les Ormeaux (92) du 12 mai 2015 (30 pr�sents)
Les enseignants du Coll�ge Les Ormeaux r�unis en HMI le mardi 12 mai, apr�s
avoir analys� et d�battu du contenu du projet de r�forme des coll�ges �
l'initiative du minist�re de l'Education Nationale, constatent (� l�unanimit�
des pr�sents) qu�� la suite du nouveau d�cret sur les obligations r�glementaires
de service qui soumet les enseignants � la tutelle p�dagogique du chef
d��tablissement et du conseil p�dagogique et multiplie les instances (conseil
�cole-coll�ge, de cycle�) et donc les r�unions, ce projet de r�forme du
coll�ge n'est acceptable ni globalement ni dans le d�tail.
En effet, la mise en place des enseignements pratiques interdisciplinaires
(EPI) :
-
poursuit la dislocation de l�Enseignement public en renvoyant au niveau local
les modalit�s de regroupement et de recrutement des �l�ves, la d�finition de la
p�riode de travail, le nombre de th�mes travaill�s : autant de coll�ges, autant
de dispositifs.
-
accro�t consid�rablement la charge de travail des enseignants et
vraisemblablement leur temps de pr�sence dans l��tablissement et ce alors que
leurs salaires sont bloqu�s depuis 5 ans !
-
supprime des disciplines comme les langues anciennes ou des dispositifs comme
les classes europ�ennes au profit de travaux pratiques sur des th�mes pour
certains contestables : sant�, s�curit�, d�veloppement durable, monde �conomique
et professionnel, citoyennet� avec en prime le retour de la morale dans les
programmes.
Et cela sans moyens, apr�s des ann�es de suppressions de postes et de DHG en
baisse. Ils craignent d�ailleurs que les moyens compl�mentaires annonc�s
disparaissent progressivement comme ont disparu les heures d�IDD d�j�
ponctionn�es sur les disciplines�
S�rs que cette appr�ciation est celle de l'�crasante majorit� de la profession,
nous exigeons des organisations syndicales, en premier lieu du SNES :
- Qu'elles exigent le retrait de ce projet.
- Qu'elles convoquent des assembl�es (d�partementales, acad�miques,
nationales) de d�l�gu�s des enseignants des �tablissements concern�s avec les
organisations syndicales, pour d�cider de l'action pour imposer au minist�re de
retirer sa r�forme.
Nous d�cidons de faire conna�tre cette r�solution le plus largement possible
aux coll�gues des autres �tablissements, nous les invitons � nous faire
conna�tre leur position.
Motion adopt�e � l�HMI du coll�ge Jeanne d�Arc
(Clermont-Ferrand) du 2 avril 2015 (33 pr�sents)
Les
enseignants (� l�unanimit� des 33 pr�sents) du Coll�ge Jeanne d'Arc r�unis en
HMI le jeudi 2 avril, apr�s avoir analys� et d�battu du contenu du projet
r�forme des coll�ges � l'initiative du minist�re de l'Education Nationale
constatent :
Dans la
suite de la liquidation des d�crets statutaires, des suppressions de moyens
contenues dans les DHG, du nouveau d�cret indemnitaire, ce projet de
r�forme du coll�ge n'est acceptable ni globalement ni dans le d�tail.
S�rs que
cette appr�ciation est celle de l'�crasante majorit� de la profession nous
exigeons des organisations syndicales en premier lieu du SNES :
- Qu'elles
exigent le retrait de ce projet.
- Qu'elles
convoquent des assembl�es (acad�miques, nationales) de d�l�gu�s des
enseignants des �tablissements concern�s (avec les organisations syndicales),
pour d�cider de l'action pour imposer au minist�re de retirer sa r�forme.
Nous
d�cidons de faire conna�tre cette r�solution le plus largement possible aux
coll�gues des autres �tablissements, nous les invitons � nous faire conna�tre
leur position.
Motion des enseignants du
lyc�e Sidoine Apollinaire (Clermont-Ferrand)
Les enseignants du lyc�e Sidoine Apollinaire r�unis en heure mensuelle
d�information le 24 f�vrier 2015 s�adressent aux directions syndicales et
notamment � la direction du SNES
-
Pour qu�elles se retirent des n�gociations sur le projet de la circulaire
d�application
et
-
Pour qu�elles se prononcent pour l�abrogation du d�cret d�ao�t 2014 qui a
mis fin au statut des enseignants tel qu�il �tait pr�vu par les d�crets de
50.
Nombre de voix pour : 21
Nombre de voix contre : 1
Nombre d�abstentions : 2
Motion du Lyc�e Georges de la Tour Nancy,
Les enseignants
r�unis en HMI le 29 janvier 2015, demandent � leurs directions syndicales :
- qu'elles se prononcent pour le retrait pur et simple du projet de d�cret
indemnitaire
- qu'elles
exigent le r�tablissement des heures de d�charge statutaire et de toutes les
indemnit�s ant�rieures
- qu'elles refusent de discuter de l'application concr�te de ce projet de d�cret
indemnitaire.
Adopt� �
l'unanimit� des 15 pr�sents avec les responsables SNES, FO, CGT
D�claration adopt� en HMI du Coll�ge Michelet de
V�nissieux (69) (20 pr�sents), janvier 2015
D�claration des enseignants du coll�ge Jules
Michelet de V�nissieux sur le projet de d�cret instituant les � indemnit�s pour
l'exercice de missions particuli�res �
Les enseignants du coll�ge Jules Michelet de V�nissieux r�unis en Heure
d'Information Syndicale le 22 janvier 2015 ont pris connaissance du projet de
d�cret instituant les IMP et le jugent inacceptable.
Nous d�clarons avoir bien compris ce que ce projet signifie :
� la liquidation du salaire diff�r� associ� aux HSA et HSE remplac�es par cette
IMP, donc une perte de salaire pour les enseignants et la volont� politique de
faire des �conomies sur le dos de la S�curit� Sociale et du syst�me de retraites
par r�partition.
� Le passage du paiement � l'heure de travail au paiement � la mission porte en
lui-m�me le risque que les enseignants ne soient plus r�mun�r�s pour les heures
pr�par�es et effectu�es mais seulement si l'�valuateur estime cette mission
remplie, avec toutes les incertitudes que cela repr�sente
� une incertitude quant � la r�gularit� des montants de notre r�mun�ration car
une indemnit� se supprime plus facilement que du salaire, comme ont pu le
constater les coll�gues dont les �tablissements sortiront de la carte de
l'enseignement prioritaire l'an prochain.
A cela il faut ajouter l'impr�cision immense qui accompagne ce projet de d�cret.
Aucun cadrage national, aucun taux de r�mun�ration de r�f�rence pour les
diff�rentes missions existantes aujourd'hui et donc incapacit� � savoir si les
missions effectu�es actuellement seront pay�es de la m�me mani�re demain.
Cette impr�cision nous fait craindre le pire en cette p�riode de restriction
budg�taire caract�ris�e par la huiti�me ann�e cons�cutive du gel du point
d'indice.
Nous nous adressons � la direction du SNES pour qu'elle se prononce contre la
logique indemnitaire et qu'elle exige le retrait de ce projet de d�cret.
Motion adopt�e en Heure mensuelle
d�information- Lyc�e Sidoine Apollinaire, Clermont-Ferrand, le 14
octobre 2014
Les enseignants du lyc�e Sidoine Apollinaire constatent que le d�cret du
20 ao�t 2014 abroge les garanties statutaires fix�es principalement par
les d�crets de 1950 et modifie en profondeur le m�tier d�enseignement.
Qu�on en juge, ce texte entraine :
-
un alourdissement de la charge de travail des enseignants du second
degr� par la multiplication des t�ches
-
une diminution des salaires par une liquidation des heures de d�charge ;
-
une augmentation des pouvoirs du chef d��tablissement par la tutelle des
conseils d�administration ;
-
une red�finition du m�tier d�enseignant par l��clatement du cadre
statutaire.
Il est n�cessaire et possible d�agir car ce d�cret n�entre en
application qu�� la rentr�e 2015.
C�est pourquoi les enseignants, r�unis en HMI le 14 octobre
2014, s�adressent � la direction du SNES pour qu�elle se prononce pour
l�abrogation du d�cret du 20 ao�t 2014 qui r�git les obligations de
service des enseignants du second degr�.
Motion vot�e � l�unanimit� des pr�sents, soit 13 voix.
Motion des enseignants du coll�ge
Tavan, Avignon
Les enseignants du coll�ge Tavan r�unis en Heure
d�Information Syndicale � l�initiative de la section SNES le mardi 30
septembre 2014 ont pris connaissance du projet de socle commun pr�sent�
dans l�US n�744 (p.3) et le suppl�ment de 16 pages � ce m�me US.
L�objectif du gouvernement � travers ce projet
est d�en finir avec toute appr�ciation r�elle du niveau de l��l�ve dans
une mati�re pr�cise, et avec les
contenus disciplinaires,
auxquels nous sommes pourtant particuli�rement attach�s.
Il s�agit d�une remise en cause de notre m�tier
comme transmission des connaissances : la scolarit� obligatoire aurait
d�sormais pour fonction de � construire avec [les �l�ves] les
connaissances et comp�tences indissociables qui leur permettront (�) de
s�ins�rer dans la soci�t� dans laquelle ils vivront, de participer,
comme citoyens, � son �volution, d�obtenir les dipl�mes qui leur
ouvriront la porte de l�emploi et d�acqu�rir ainsi une culture commune �
Cette offensive contre notre m�tier s�inscrit
clairement dans le cadre du nouveau d�cret r�glementant les obligations
de service des enseignants, qui devrait entrer en vigueur en septembre
2015.
C�est pourquoi les enseignants du coll�ge Tavan
s�adressent � la direction du SNES pour qu�elle :
-
-se prononce clairement contre ce nouveau projet de socle commun,
- -
appelle au boycott national des demi-journ�es banalis�es de
consultation sur le socle,
- - demande
l�abrogation du nouveau d�cret r�gissant les obligations de service des
enseignants.
22 Pour et 2 Abstentions
Texte adopt� en HMI au coll�ge Gabriel
P�ri d'Aubervilliers le 1er avril
Les enseignants du coll�ge Gabriel P�ri d�Aubervilliers, r�unis en heure
d�information syndicale ce mardi 1er avril, sont scandalis�s
par l�avis favorable accord� par le Comit� Technique Minist�riel du 27
mars � la publication du projet de d�cret Peillon, projet dirig� contre
nos garanties statutaires, avec la participation des directions
syndicales nationales.
I
ls se prononcent :
- Contre l'abrogation des d�crets de
1950.
- Pour le retrait du projet de d�cret
peillon
Ils s�adressent aux organisations
syndicales enseignantes (SNES, FO, SUD, CGT) pour qu�elles r�alisent
l�unit� sur ces mots d�ordre et organisent la mobilisation n�cessaire
pour obtenir le retrait de ce projet."
Unanimit� des 17 pr�sents moins deux
abstentions
Adresse des enseignants du lyc�e Blaise Pascal
(Clermont-Ferrand) le 28 mars 2014
Adresse aux directions des organisations
syndicales de l'enseignment public.
Prononcez-vous pour le retrait du projet de
d�cret abrogeant les d�crets de 1950 (article 10 du projet).
13 pour, 1 Contre, 2
Abstentions
Position du Snes Faidherbe au 25 mars
Prise de position des syndiqu�s Snes Faidherbe au 25 mars
Nous avons pris connaissance du projet de
d�cret visant � refondre le statut des enseignants et visant notamment �
abroger les d�crets de 1950. Ce projet de d�cret reprend les projets
pr�c�dents en essayant de les maquiller mais il reste fondamentalement le
m�me.
Avec ce d�cret, les enseignants auront
obligation de r�aliser un � service d'enseignement � correspondant � un
temps de pr�sence devant �l�ves de 15/18h maximum par semaine ainsi que des
� missions li�es �.
Ces � missions li�es � correspondent � une
liste de t�ches que le chef d'�tablissement pourra contr�ler et
comptabiliser : pr�paration, aide, suivi, �valuation des �l�ves,
orientation, relations avec les parents, travaux en �quipes (associ�s
vraisemblablement � des d�cisions locales).
Ces � missions li�es � pourront permettre au
chef d'�tablissement d'augmenter la charge de travail des enseignants au
d�triment des temps de pr�paration et de correction ; d'instaurer une
division de travail des enseignants (avec des enseignants sp�cialis�s dans
la pr�paration des cours, d'autres dans l'�valuation, d'autres dans
l'orientation,...). Le pouvoir accru des chefs d'�tablissement et des CA
risque de r�duire drastiquement la libert� p�dagogique.
De plus, ces missions pourront �tre r�parties
de fa�on modulable sur l'ann�e scolaire. En effet, � service
d'enseignement � et � missions li�es � devront �tre r�alis�es � dans le
cadre de la r�glementation applicable � l'ensemble des fonctionnaire en
mati�re de temps de travail � (1607h/an), et � sur l'ensemble de l'ann�e
scolaire �.
A ces deux types d'activit�s s'ajoutent des
missions � particuli�res �, � volontaires �, qui instaureront de fait une
hi�rarchie entre les enseignants.
Cette d�finition du m�tier en missions
entra�ne une d�naturation profonde de notre profession et nous ne pouvons
l'accepter.
En outre, la suppression de nombre de
d�charges, l'instauration de pond�rations ouvre la voie � une perte de
salaire et � une augmentation du nombre d'�l�ves/classe (au-del� de 35).
Tous les agr�g�s sont concern�s par les
� missions li�es � et donc, la majorit� des enseignants en CPGE. Dans ce
projet, le sort des enseignants de CPGE n'est pas tranch�. Le gouvernement
cherche � isoler les enseignants qui se sont mobilis�s en novembre-d�cembre
pour mieux les �touffer. Les directions syndicales ne doivent pas accepter
cette division.
Il y a peu, F. Rolet, R. Hubert, D. Robin
appelaient au boycott d'un CTM (1), expliquant que seul un vote d�favorable
unanime ou le boycott pourrait contraindre le ministre � convoquer un
nouveau CTM. C'�tait en mars 2012, � propos d'une r�forme sur l'�valuation
des enseignants.
Ils avaient raison d'utiliser le boycott d'un CTM comme outil syndical.
Quelques votes NON n'emp�cheront pas le gouvernement de publier aussit�t son
projet. Les directions syndicales ne doivent pas accepter la concertation
avec le gouvernement sur la base de ce projet.
Toutes les directions syndicales qui d�fendent les enseignants
doivent informer imm�diatement des dangers de ce projet, mobiliser de fa�on
unitaire pour le retrait de ce projet et par cons�quent cesser imm�diatement
les concertations, � commencer par le refus de se rendre au CTM du 27 mars :
une telle position permettrait de retarder quelque peu la publication des
d�crets et ouvrirait surtout la voie � la mobilisation.
C'est pourquoi, nous
appelons notre direction syndicale, le SNES :
-
� se prononcer clairement pour le
retrait imm�diat du projet Peillon de refonte des statuts
-
� rompre imm�diatement les
concertations sur ce projet et, notamment, � refuser de se rendre au
Comit� Technique Minist�riel du 27 mars,
-
� informer massivement sur la
r�alit� de ce projet et mobiliser imm�diatement pour obtenir le retrait
d�finitif du projet Peillon
Le Snes Faidherbe
Motion pr�sent�e par les enseignants du
coll�ge Tavan sur le projet de d�cret Peillon (th�me 2)
Les enseignants du coll�ge Tavan r�unis en Heure
d�Information Syndicale le 11 mars 2014 ont pris connaissance de la version
d�finitive du projet de r��criture des d�crets de 1950, publi�e par le
Minist�re le 10 f�vrier 2014. Ils la jugent inacceptable :
-
L�enseignement deviendrait � une mission parmi d�autres �, tandis que
la liste des missions d�finies localement, par le Conseil P�dagogique ou le
Conseil d�Administration, pourrait s�allonger � l�infini.
-
La libert� p�dagogique des enseignants s�exercerait � dans le cadre
du projet d��tablissement �, ce qui signifierait qu�elle n�existerait plus,
les enseignants se trouvant alors soumis au projet d��tablissement au lieu
d�avoir seulement � respecter les programmes nationaux.
Ces modifications portent une attaque majeure contre
notre m�tier d�enseignant, qui comporte un temps incompressible de
pr�paration et de correction.
Nous demandons donc au congr�s acad�mique du SNES
Aix-Marseille de se prononcer pour :
-
La d�fense inconditionnelle des d�crets de 1950
-
Le boycott du CTM du 27 mars o� le projet de d�cret Peillon doit �tre
pr�sent� avant sa promulgation
Les
enseignants de la cit� scolaire Blaise Pascal de Clermont Fd r�unis en
Assembl�e g�n�rale le 13 d�cembre 2013
s�adressent aux directions nationales de
leurs syndicats pour qu�elles se prononcent :
- Pour la d�fense inconditionnelle du statut.
- Pour le retrait d�finitif du projet du
ministre Peillon.
-Pour le retrait imm�diat des concertations
sur le m�tier d�enseignant.
31 pour 0 contre 4 abstentions 3 NPPV
Les enseignants r�unis sur l'heure d'information
syndicale au lyc�e Virlogeux, Riom (63), le 12/12,
ayant pris
connaissance du projet de refonte de leur statut se d�clarent totalement oppos�s
au projet Peillon.
-Nous n'acceptons
pas l'augmentation du temps de travail et la baisse des salaires que
repr�sentent la suppression des d�charges statutaires ;
-Nous refusons
l'augmentation de la charge de travail que r�pr�sente la "red�finition" du
m�tier ;
-Nous refusons
toute tentative d'annualisation de nos services.
Dans ces
conditions nous nous adressons aux directions syndicales, et tout
particuli�rement � celle du SNES, pour qu'elles se prononcent contre le projet
de modification statutaire de Peillon.
Nous nous
adressons aux directions syndicales, tout particuli�rement celle du SNES, pour
qu'elles se prononcent pour la d�fense des d�crets de 1950, qui d�finissent
notre temps de travail en maxima d'enseignement hebdomadaire.
Nous nous
adressons aux directions syndicales, tout particuli�rement celle du SNES, pour
qu'elles rompent la discussion avec le gouvernement !
Au cas o� le
gouvernement persisterait dans son projet, alors les directions syndicales
doivent pr�parer une manifestation de toute la profession au minist�re.
Adopt� � l'unanimit� des 16 pr�sents.
Motion des enseignants du lyc�e JB DUMAS (Ales) le 5 d�cembre
Une discussion est engag�e entre gouvernement et directions syndicales depuis le
18 novembre 2013 pour modifier en profondeur les statuts des enseignants, en
particulier ceux du second degr�.
Si les textes pr�sent�s par le gouvernement ont �t� modifi�s pour quelques
formulations l�objectif reste le m�me :
Les enseignants du lyc�e JB DUMAS (Ales) consid�rent que c�est une attaque
brutale contre les garanties statutaires fix�es principalement par les d�crets
de 1950.
Ces projets impliquent :
- Diminution des salaires
par une liquidation des heures de d�charge et/ou alourdissement des charges de
travail ;
- Des risques
d�annualisation des services, les horaires hebdomadaires deviennent des
r�f�rences et non plus des maxima de services ;
- Red�finition du m�tier
d�enseignant par l��clatement du cadre statutaire ;
- Mise sous tutelle des
hi�rarchies locales (conseils d�administration et des conseils p�dagogiques).
Cette red�finition du statut des enseignants du secondaire constitue les
bases de la remise en cause de notre statut de fonctionnaire d��tat.
Ces mesures en d�gradant encore nos conditions de travail vont aussi �
l�encontre de l�int�r�t des �l�ves qui ont d�j� subit, en particulier pour les
plus faibles comme le r�v�le PISA, les contres r�formes des ann�es pass�es.
C�est pourquoi les enseignants, r�unis en HMI le 5 d�cembre 2013,
s�adressent aux directions des organisations syndicales de l�enseignement (SNES,
FO, CGT) pour qu�elles :
- sortent imm�diatement du groupe de travail pr�parant la destruction du
m�tier d�enseignant ;
- se prononcent pour la d�fense inconditionnelle de nos statuts et des
d�crets de 50 ;
- et sur ses bases lancent un appel � la mobilisation des
enseignants en avan�ant les r�elles revendication des enseignants.
Adopt� par les 40 pr�sents.
On nous communique:
El�ments de discussion entre enseignants d'une liste de discussion disciplinaire
dans le Gard
"D�cid�ment ces n�gociations sur la r�forme du statut nous
livre
d'enthousiasmantes joyeuset�s. Apr�s la p�tition sur la revalorisation
financi�re, mon �bahissement maxillaire a �t� activement entretenu par
l'article du bas de la page 4 de l'US n�736, sign� Xavier Marand, et
intitul� "D�crets de 1950 : la panac�e ?"
Ce texte aurait �t� �crit par un membre du gouvernement qu'il n'y aurait
pas � y changer une ligne.
Quoi que l'on pense des d�crets de 50, pour le moment, ils nous
apportent plus de protections que d'inconv�nients. Il n'est besoin, pour
preuve, que de rappeler avec quelle fr�n�sie les gouvernements
pr�c�dents de droite envisageaient de les cisailler. Si, dans une
n�gociation habile, le SNES envisage de les r�am�nager, il faudra que ce
soit � notre avantage et que nous obtenions en �change non seulement
beaucoup, mais aussi le plus possible, et pour cela que nous fassions
bien comprendre que l'abandon du moindre alin�a sera un immense
sacrifice et une terrible souffrance.
Que penser d'un n�gociateur qui par voie de presse, s'adresse � ses
"troupes" pour les convaincre que finalement, ces d�crets ne sont pas si
avantageux (cqfd : les perdre ne sera pas un si grand mal) ?
Soit qu'il est le pire des n�gociateur et le gouvernement se frotte les
mains.
Soit qu'il ne n�gocie pas sur ce point avec le gouvernement, mais avec
ses syndiqu�s, � qui il essaie de faire avaler la couleuvre et qu'il
devient donc de fait le comparse du gouvernement.
Comme de bien entendu, l'article est de mauvaise foi. Pour quelques
arr�ts contraires de tribunal administratifs, combien de reculs, sur le
terrain, de nos chefs devant la circulaire pr�cisant que pour des
raisons de s�curit�, les heures de TP n'�taient pas concern�es par la
majoration pour effectifs faibles ?
On d�passe m�me largement la mauvaise foi quand il est question des
"enseignants qui sont contraints de participer � tous les conseils de
classe dans lesquels ils ont ne serait-ce qu'un �l�ve". Mensonge : cela
rel�ve des r�formes Jospin et n'a rien � voir avec les d�crets de 50.
Exag�ration : je n'ai jamais vu cette contrainte s'exercer � ce point et
jusqu'ici la plupart des chefs d'�tablissement ont appliqu� le status
quo d'avant Jospin (quoique dor�navant, aid�s par de tels
"syndicalistes" ...). C'est tellement grossier que cela donne vraiment
l'impression d'�tre pris pour des imb�ciles, comme rarement dans la
presse syndicale.
J'attends donc la suite avec impatience et �merveillement.
SN"
"Je suis enti�rement d'accord avec toi. Et �a me met en
col�re de penser que "mon" syndicat pourait devenir une courroie de
transmission d'une r�forme avenir catastrophique pour nos conditions de
travail(pour nous, �tres humains) et d'enseignement(pour les �l�ves)."
Les enseignants du coll�ge les Ormeaux (92) r�unis en heure d�information
syndicale consid�rent que la discussion
ouverte par le gouvernement sur le m�tier d�enseignant a pour objectif de
d�truire les d�crets de 1950, c�est-�-dire d�attaquer les garanties statutaires
pour diminuer les salaires, �largir les obligations de service et subordonner
les enseignants aux CA et conseils p�dagogiques.
Il s�agit en fait de faire payer
aux enseignants les �conomies de 15 milliards par an sur les d�penses
budg�taires.
Participer � cette concertation
c�est donc participer � la destruction des statuts des enseignants.
C�est pourquoi, ils se prononcent
pour la d�fense inconditionnelle des d�crets de 1950 et pour le retrait du
projet Peillon.
En cons�quence, ils demandent que
la direction de la FSU et celle du SNES en particulier sortent imm�diatement des
groupes de travail et organisent le combat pour d�fendre les statuts.
Le 10/12/2013
Adopt�e � l�unanimit� des
pr�sents (28)
Les personnels
enseignants du LYCEE JULIETTE RECAMIER LYON 2e r�unis en AG le jeudi 5
d�cembre
sont oppos�s au projet Peillon qui remet en cause le
d�cret de 1950 et refusent la perspective de travailler plus pour gagner moins.
L�Assembl�e G�n�rale :
� Appelle tous les enseignants � faire gr�ve lundi 9 d�cembre 2013
� Exige le retrait du projet Peillon en l��tat,
� Appelle � l�unit� du mouvement pour obtenir le retrait de ce projet qui vise �
diviser les personnels.
L�Assembl�e G�n�rale s�adresse aux directions syndicales pour leur demander :
� De rompre les n�gociations sur la base du projet Peillon.
� D�appeler � une gr�ve nationale unitaire pour le retrait de ce projet.
Les enseignants du coll�ge Tavan, Avignon,
r�unis en Heure d�Information Syndicale le 05.12.13
ont pris connaissance du contenu du document minist�riel
pr�sent� dans le cadre de la concertation sur les missions et les statuts des
enseignants (GT6 : � enseignants du second degr� �), dat� du 02.12.13.
Ils consid�rent que ce document contient une attaque
frontale contre le statut d�enseignant du second degr�. En effet :
Le fait que certaines � missions � soient �
pr�sent�es en CA sur proposition du Conseil P�dagogique � et � donnent lieu �
une lettre de mission du chef d��tablissement � permettrait une mise
sous tutelle des enseignants par rapport au CA, au Conseil P�dagogique
et au chef d��tablissement, qui pourraient � l�infini imposer de nouvelles
t�ches aux coll�gues sans r�f�rence disciplinaire (cf : � toute
responsabilit� propos�e par le Conseil P�dagogique et arr�t�e par le
chef d��tablissement �).
Un tel projet doit �tre rejet� purement et simplement. Il
ne peut pas �tre n�goci�.
Par cons�quent nous nous adressons � la direction nationale
du SNES :
-
- Prononcez-vous pour la d�fense de la qualification des enseignants,
li�e � l�enseignement d�une discipline
-
- D�fendez inconditionnellement nos statuts et les d�crets de 50
-
- Rompez la concertation sur la liquidation de notre statut.
18 pour, 1 abstention
Heure mensuelle d�information- Lyc�e Sidoine Apollinaire, Clermont-Ferrand,
le 5/12/13.
Une discussion est engag�e entre gouvernement et directions syndicales depuis le
18 novembre 2013 pour modifier en profondeur le statut des enseignants, en
particulier ceux du second degr�.
Les enseignants du lyc�e Sidoine Apollinaire consid�rent que c�est une attaque
brutale contre les garanties statutaires fix�es principalement par les d�crets
de 1950.
Qu�on en juge :
-
Diminution des salaires par une liquidation des heures de d�charge et/ou
alourdissement des charges de travail ;
-
Annualisation des services par r�f�rence au statut des enseignants-chercheurs
qui est annualis� ;
-
Red�finition du m�tier d�enseignant par l��clatement du cadre statutaire ;
-
Remise en cause de notre statut de fonctionnaire d��tat par la tutelle des
conseils d�administration et des conseils p�dagogiques ;
Cette red�finition du statut des enseignants du secondaire constitue les
bases de la remise en cause de notre statut de fonctionnaire d��tat.
C�est pourquoi les enseignants, r�unis en HMI le 5 d�cembre 2013,
s�adressent aux directions des organisations syndicales de l�enseignement (SNES,
FO, CGT) pour qu�elles :
- sortent imm�diatement du groupe de travail pr�parant la destruction du
m�tier d�enseignant ;
- se prononcent pour la d�fense inconditionnelle de nos statuts et des
d�crets de 50 ;
- et sur ses bases lancent un appel � la mobilisation des
enseignants.
Vot� � l�unanimit� des pr�sents, soit :
POUR :
16, CONTRE : 0, ABST : 0 NPPV : 0
Les enseignants de la cit� scolaire Blaise
Pascal, Clermont-Ferrand, r�unis en HMI le 3 12 2013
consid�rent le projet du gouvernement sur les d�crets de 50, discut� dans
la �n�gociation� comme une v�ritable agression.
- c�est l�annualisation des services sur le mod�le de la situation de
l�enseignement sup�rieur
- la diminution des salaires et/ou l�alourdissement des charges de travail (
suppression pond�ration effectifs en CPGE, suppression de la 1�re chaire)
- la mise sous tutelle des enseignants par rapport au Conseil
d�administration et au Conseil p�dagogique qui pourra � l�infini imposer de
nouvelles t�ches aux coll�gues, sans r�f�rences disciplinaires.
Un tel projet doit �tre rejet� purement et simplement. Il ne peut pas �tre
�n�goci�
Par cons�quent nous nous adressons aux directions de nos syndicats ( SNES,
FO, SNALC, CGT etc.).
- D�fendez le maintien des savoirs disciplinaires de l'�cole de la
R�publique.
- D�fendez inconditionnellement nos statuts et les d�crets de 50
- Rompez la concertation sur la liquidation de notre statut.
Pour 29 Contre 0 Abs 4 NPPV 1
On nous communique
Lettre de la section du SNES du lyc�e L�on Blum (Cr�teil, 94) (29 novembre)
Nous avons pris connaissance des projets de modification du statut des
enseignants du second degr�. Nous en avons longuement discut�, entre coll�gues
du SNES et en AG informelle avec des coll�gues de l��tablissement. Une nouvelle
assembl�e g�n�rale est pr�vue la semaine prochaine.
Nous sommes scandalis�s du contenu de ce projet qui constitue une attaque sans
pr�c�dent contre nos statuts et notre libert� p�dagogique.
Ce
projet :
pose les premi�res pierres d�une annualisation du temps de travail des
enseignants ;
rend obligatoire certaines missions que l�on acceptait de faire contre
r�mun�ration (conseils de classes, DST), r�mun�ration qui dispara�t dans le
projet (ex : ISOE), ce qui conduit � une baisse des salaires ;
ajoute de nouvelles missions obligatoires en dehors des heures d�enseignement.
Ce
projet vise donc � augmenter notre temps de travail en diminuant notre salaire :
on ne peut accepter ni l�un ni l�autre !
Comment, sur cette base, le SNES peut-il participer � ces discussions ? Beaucoup
d�entre nous ne se sentent plus repr�sent�s dans les positions d�fendues par la
direction du SNES.
Ce projet n�est ni n�gociable ni amendable. C�est pourquoi nous souhaitons donc
que le SNES demande le retrait de ce projet et par cons�quent quitte la table
des n�gociations.
On nous communique
D�claration du lyc�e Champollion
� tous les coll�gues de tous les �tablissements,
� toutes les organisations syndicales (
SNES-FSU,
SNFOLC, CGT,
Sud-Education, SGEN, UNSA, SNALC)
et � toutes les associations
L�assembl�e g�n�rale du lyc�e Champollion r�unie le 4 d�cembre
(70 coll�gues du
secondaire et Cpge, syndiqu�s et non syndiqu�s), � l�initiative
des syndicats (SNES, FO,
SGEN), a adopt� les positions suivantes, toutes vot�es �
l�unanimit�.
L�assembl�e g�n�rale :
- appelle � la
mobilisation dans l�unit� de toutes
les cat�gories de personnels de
l��ducation nationale
(primaire, secondaire, CPGE, BTS, CPE,�) pour le
retrait du projet
de d�cret Peillon sur les statuts et
sans n�gociation. Elle
demande aux directions
syndicales d�
appeler �
la gr�ve nationale unitaire de
tous les personnels de
l��ducation
(primaire,
secondaire, post-bac) pour le retrait du
projet sans condition.
Nous r�affirmons ainsi les positions adopt�es en assembl�e
g�n�rale le 26 novembre.
L�assembl�e g�n�rale refuse ce projet de d�cret qui veut
red�finir les statuts de tous les
personnels, actuellement d�finis dans les d�crets de 1950 par
des maxima
hebdomadaires d�heures d�enseignement disciplinaire. Elle refuse
ce projet de d�cret qui
conduit � l�annualisation par l�introduction de missions dans
les obligations de service. Ce
projet est pour nous non n�gociable ; l�assembl�e g�n�rale en
demande le retrait sans
condition. L�assembl�e g�n�rale s�oppose � la territorialisation
de l��ducation nationale
(loi d�orientation et programmation de refondation de l��cole
adopt�e en juillet 2013,
d�cret sur les rythmes scolaires, d�cret sur les statuts).
-
demande aux directions
syndicales de cesser imm�diatement
toutes les discussions
avec le minist�re sur ce projet, qu�elles soient officielles ou
officieuses.
-
demande aux directions
syndicales acad�miques et nationales d�informer
tr�s
rapidement les coll�gues, notamment du secondaire, sur la
r�alit� du projet de d�cret qui
d�truit les statuts de tous les personnels, du primaire au
post-bac
- appelle � la
gr�ve
nationale unitaire de tous les
personnels de l��ducation nationale le
lundi 9 d�cembre
.
L�assembl�e a vot� la gr�ve de tous les personnels du lyc�e (secondaire
et cpge) le 9 d�cembre.
- adopte le principe d�une
gr�ve nationale
unitaire reconductible de tous
les personnels
de l��ducation nationale
(primaire, secondaire, post-bac).
-
lance un appel �
tous les �tablissements pour qu�ils constituent en assembl�e g�n�rale
des
comit�s de
mobilisation, pour former une
coordination nationale des repr�sentants
�lus en assembl�e g�n�rale et des repr�sentants syndicaux,
afin d�obtenir le retrait du
projet de d�cret sur les statuts et sans n�gociation.
- d�cide de
diffuser
massivement cette motion � tous les coll�gues des autres
�tablissements. Nous diffusons en m�me temps une lettre d�information aux
familles.
2 articles du
bulletin du SNUIPP 34
Stage formation syndicale du
12 novembre 2013
Mardi 12 novembre, ce
stage a r�uni une cinquantaine de coll�gues.
Nous avons d'abord retrac� l'historique depuis le d�cret Darcos de 2008 (sign� �
l'�poque par les seuls SE-UNSA et SGEN-CFDT) qui a ent�rin� le passage aux 4
jours avec la suppression du samedi matin.
De nombreux �changes ont eu lieu sur la mise en place calamiteuse des nouveaux
rythmes scolaires, � savoir des enseignants d�poss�d�s de leur classe d�s 16
heures, des enfants fatigu�s d�s le jeudi matin, des intervenants recrut�s � la
va vite et surtout la prise de conscience pour tous les enseignants du danger et
de la porte ouverte � la municipalisation des �coles.
Les
dysfonctionnements engendr�s par cette r�forme sont majeurs :
- Accentuation des in�galit�s territoriales
- Remise en cause de toutes les garanties
statutaires pour les personnels
- D�gradation sans pr�c�dent des conditions
d�apprentissage pour les �l�ves et des conditions de travail des enseignants
- Fatigue accrue des �l�ves et des personnels
- Qualit� d�accueil d�grad�e au regard de la
baisse du taux d�encadrement des activit�s p�riscolaires et du manque de
moyens allou�s
Dans un contexte o�
n�ont pas �t� restitu�s les 77 000 postes supprim�s (notamment les RASED) sous
le gouvernement pr�c�dent, o� les effectifs par classe ne cessent d�augmenter,
o� la qualit� d�accueil des enfants est en constante d�gradation et o� les
salaires des fonctionnaires sont toujours gel�s, c�est une v�ritable provocation
d�envisager une matin�e suppl�mentaire travaill�e pour une demi-heure en moins
par jour dans le meilleur des cas.
C�est pourquoi, le
SNUIpp-FSU 34 est pour l'abrogation
pure et simple du d�cret de janvier 2013 sur les nouveaux rythmes scolaires.
Comit�
de suivi d�partemental "Rythmes scolaires" du 13 novembre
Depuis l'ann�e derni�re, nous
assistons aux r�unions du Comit� de suivi "Rythmes scolaires", nous constatons
qu'aucune des communes en difficult� dans la mise en place de ces rythmes n'est
repr�sent�e, ni les organisations syndicales des personnels territoriaux
(ATSEM).
Au bout d'une heure de pr�sentation par l'administration des conclusions tr�s
positives d'application de la r�forme en l'�tat et des modalit�s de sa
g�n�ralisation � toutes les �coles, le SNUIPP FSU a d�cid� de quitter cette
instance, pr�f�rant �couter les revendications port�es par les coll�gues sur le
terrain plut�t que les pr�conisations minist�rielles.
Notre organisation syndicale, forte de la parole des coll�gues r�unis le 12,
refuse de participer � cette mascarade ; il est � craindre que l'administration
s'appuie sur la participation de certaines organisations syndicales � ce comit�
pour pr�tendre qu'elle a consult� la profession.
Bonjour � tous
Je vous adresse ci-dessous le mail que je viens d'adresser � l'instant aux �lus
de la CAN, suite aux diff�rents messages faisant �tat d'une mobilisation en
cours � l'Universit� de Toulon contre la participation des agents et de leurs
syndicats � des groupes de travail aboutissant � d�finir de nouveaux cadres
statutaires, substituant � la notion de qualifications, correspondant � un
grade, celle de comp�tence.
Cordialement
Eric Panthou
Pour Front Unique
Bonjour
Ce que rapportent les
camarades sur ce qui se
passe � Toulon est
�videmment du plus grand
int�r�t, tout comme ce que
nous apprend Catherine
Lancha sur ce qu'a fait le
Snasub � Lyon 3,
c'est-�-dire refuser de
si�ger dans les groupes de
travail charg� de d�finir la
part F de la PFR. Ceci
concerne l'ensemble des
personnels, qu'ils soient du
Sup ou non.
Mais au-del� du soutien
imm�diat qui doit �tre
apport� par la direction
nationale du Snasub a de
telles initiatives, il est
indispensable que la
bataille engag�e localement
soit �galement engag�e au
niveau national.
La Pr�sident de Toulon veut
remettre en cause les
statuts, veut d�velopper
l'individualisation des
carri�res et des salaires.
Mais n'est ce pas exactement
ce que les gouvernements
successifs depuis des ann�es
essaient de faire ?
Et n'utilisent ils pas
exactement la m�me m�thode ?
La mise en place de
concertations, groupes de
travail pour aboutir sinon �
des accords, au moins � des
longues discussions qui au
final auront l�gitim� la
n�cessit� d'une
contre-r�forme, combien m�me
certains syndicats ne
signeraient pas les dits
accords.
Un exemple ? Soyons concret.
Voil� ce qui a �t� discut�
lors de notre dernier
congr�s, � Loctudy
Les d�l�gu�s Front
Unique ont soumis � la
motion revendicative
l'amendement suivant :
Partie 3, � int�grer
ligne 12, colonne de
droite page 8.
(R�f�rence :
Convergences n�178, mars
2012)
�
Le Snasub consid�re que
le R�pertoire
Interminist�riel des
M�tiers (RIME) et sa
d�clinaison au niveau du
Minist�re de l��ducation
Nationale et du
Minist�re de
l'Enseignement Sup�rieur
et de la Recherche, le
R�f�rentiel des
emplois-types, dans le
cadre de la R.G.P.P.,
aboutissent � substituer
la notion de comp�tences
� celle de
qualifications
correspondant � un grade
obtenu par concours,
examen ou promotion.
Il se prononce contre
leur mise en place et
contre toute
participation � la
r�daction des fiches
m�tiers ou projets
similaires �
La direction du Snasub,
�lue � l'issue du
congr�s, a demand� un
vote disjoint en
opposant la version
int�grale de notre
amendement � une version
priv�e de la derni�re
phrase. (r�sultat du
vote :12 voix pour
l'amendement dans son
int�gralit�, 75 pour la
premi�re phrase
uniquement.
Notons que cette
question du R�f�rentiel
m�tier �tait totalement
absente du projet de
motion revendicative !
Il est positif que cela
ait �t� introduit.
Mais comment peut-on
d�noncer les effets
n�fastes d'un tel
R�f�rentiel (exactement
ce qui se passe �
Toulon) et accepter de
participer aux groupes
minist�riels charg�s de
r�diger les dites fiches
m�tiers qui
aboutiront � valider le
fait qu'au nom des
comp�tences acquises, un
C fera du travail
relevant statutairement
des B, et idem pour les
B avec les A, ou les A
avec les A+ !
Rappelons aussi que lors
du congr�s, un camarade
responsable du secteur
Biblioth�que, qui avait
assist� comme
observateur au groupe de
travail r�digeant ces
fiches-m�tiers, a
insist� sur l'extr�me
nocivit� de ces fiches
qui font dispara�tre le
terme de corps au profit
de celui de �
comp�tences �, ouvrant
la voie �
l'externalisation, en
particulier pour les
magasiniers.
Il a parfaitement raison
!
Voil� pourquoi il faut
rejeter ces concertations,
� Toulon ou ailleurs au
niveau local, mais surtout �
Paris, au Minist�re !
Aujourd'hui, l'attaque
contre les statuts passent
par la concertation
sur � les parcours
professionnels, les
carri�res, les r�mun�rations
�. La ministre Lebranchu, en
accord avec l'ensemble des
directions syndicales, a
d�cid� d'ouvrir une
n�gociation sur ce th�me.
la pr�tendue revalorisation
de la cat�gorie C est con�ue
dans l�esprit du
gouvernement comme une rampe
de lancement vers la remise
en cause du statut de la
Fonction publique : Derri�re
cette volont� de b�tir une
nouvelle � architecture
statutaire �, se cache en
r�alit� une volont� de
d�truire tout ce qui se
constitue l�armature m�me du
statut de la fonction
publique : les cat�gories,
les corps et les grilles.
Exag�ration ?
A
cet �gard, l��pisode suivant
relay� sur le site internet
d�information localtis.info
est tr�s significatif :
�Nous avons aussi �voqu�
avec les repr�sentants
syndicaux l�id�e de
supprimer purement et
simplement les cat�gories A,
B et C pour b�tir un autre
syst�me, a confi�
Jean-Fran�ois Verdier,
directeur g�n�ral de
l�administration et de la
fonction publique. En
pr�cisant que ce ne sont pas
des pistes pour le court
terme, mais pour l�avenir,
ayant constat� que les
repr�sentants syndicaux � ne
sont pas sortis de la salle
�lorsque ces id�es ont �t�
sugg�r�es, l�entourage de la
ministre de la fonction
publique pourrait lancer
d�autres pistes de r�formes
profondes dans les semaines
qui viennent. �
Voil� � quoi aboutit la
participation des
repr�sentants syndicaux
aux c�t�s du
gouvernement dans ce
type de n�gociations:
loin de constituer un
cadre pour � porter les
revendications � comme
le r�p�tent � l'envi les
d�fenseurs du dialogue
social, cela constitue
pour lui un
encouragement � pousser
plus avant son
entreprise de
d�mant�lement du statut
de la Fonction publique.
.
Continuer � participer �
la n�gociation �
parcours professionnels,
carri�res, r�mun�rations
� est antagonique � la
d�fense du statut de la
Fonction publique.
Dans ces conditions, la
responsabilit� de la
direction du SNASUB est
de se prononcer pour la
rupture d'une telle
n�gociation et de
combattre au sein de la
FSU pour que la
direction f�d�rale
adopte la m�me position.
Telle est la position
qu'ont d�fendu les
repr�sentants Front
Unique � la CAN la
semaine derni�re. Force
est de constater que la
direction a appel� �
voter contre cette
proposition !
Le combat des coll�gues
de Toulon doit �tre
soutenu par le syndicat.
Celui-ci doit reprendre
leur mot d'ordre. Aucune
participation � la mise
en place du
d�mant�lement de nos
statuts !
Eric Panthou
pour Front Unique
De :
mailto:bonneau.beatrice@free.fr
mailto:bonneau.beatrice@free.fr
� :
snasub-bib
mailto:snasub-bib@snasub.fr;
snasub-sup@snasub.fr
Envoy� le :
Mercredi 25
septembre 2013 8h57
Objet :
[snasub-sup]
Mobilisation �
l'Universit� de
Toulon
A
l'universit�
de
Toulon,
Le DGS,
Olivier
Chourrot,
a d�cid�
de
mettre
en place
localement
une
commission
de
caract�risation
des
postes
BIATSS
(cf.
document
joint) .
Objectif
:
faire
valider,
par les
personnels
eux
m�me,
pour
2014, la
mise en
place
d'une
politique
locale
d'individualisation
des
primes
et des
carri�res,
au
m�pris
des
statuts
nationaux, en
court-circuitant
les
organisations
syndicales
qui s'y
�taient
oppos�es
au
printemps
dernier.
Mal lui
en a
pris.
L'intersyndicale
(Solidaires,
FSU,
CGT) et
les
personnels
n'ont
pas
tard� �
r�agir
et se
mobilisent.
MOTION
DES
PERSONNELS
DE
BIBLIOTHEQUES
DE
L�UNIVERSIT�
DE
TOULON
Service
commun
des
biblioth�ques
de
l�UTLN
Ce
vendredi
20
septembre
2013,
les
personnels
de
biblioth�ques
de
l�UTLN
se sont
r�unis �
propos
de la
commission
de
caract�risation
des
postes
BIATSS
qui doit
se tenir
le lundi
23
septembre.
La
majorit�
des
personnels
ainsi
r�unis
d�cident
de ne
pas
participer
aux
commissions,
groupes
de
travail
et
autres
r�unions
non-statutaires
que
l'administration
est en
train de
mettre
en
place.
Ces
groupes
participent
au
d�mant�lement
du
statut
d�agent
de la
fonction
publique.
Les
personnels
de
biblioth�ques
de
l�UTLN
s�opposent
� toute
forme
d�individualisation
des
carri�res
et des
primes.
Un
service
public
de
qualit�
ne peut
�tre
assur�
sans la
p�rennit�
de
l�emploi
et la
garantie
d�une
�galit�
de
traitement
pour
tous.
COMMUNIQUE
DE
L'INTERSYNDICALE
(SOLIDAIRES,
FSU, CGT) DE
L'UNIVERSITE
DE TOULON
au sujet de
la cotation
des postes
et des
modalit�s de
sa mise en
place.
Dans un
message �
destination
des
personnels
BIATSS
titulaires �
propos de la
�
caract�risation
des postes
BIATSS �, le
directeur
g�n�ral des
services
informe la
communaut�
universitaire
de la mise
en place de
groupes de
travail �
m�tier �. Ce
message
invite les
personnels �
se porter
volontaires
pour
participer �
ces groupes.
L'Intersyndicale
(Solidaires,
FSU, CGT) de
l'universit�
de Toulon
appelle au
contraire
les
personnels �
boycotter
toutes les
commissions,
groupes de
travail et
autres
r�unions
non-statutaires
que
l'administration
est en train
de mettre en
place dans
l'objectif
de faire
accepter sa
politique de
� cotation �
des postes
de BIATSS et
de
modification
des primes
qui devrait
s'en suivre
d�s janvier
2014.
Ces groupes
de travail,
non-statutaires,
reposent sur
l'id�e
anti-d�mocratique
et
anti-syndicale
que des
personnes, �
titre
individuel
(pr�tendu �
volontariat
�), seraient
repr�sentatives
d?une
cat�gorie de
personnels,
et
pourraient,
sans avoir
�t� �lues ou
mandat�es
par les
personnels
eux-m�mes,
servir les
int�r�ts de
tous et
toutes.
Ces groupes
reposent
aussi sur le
principe de
faire
participer
les
personnels
eux-m�mes au
d�mant�lement
de leurs
acquis
statutaires
et de ceux
de leurs
coll�gues,
en
cautionnant
des m�thodes
de �
management �
dont ils et
elles sont
les premiers
� souffrir
(pression au
rendement,
concurrence
avec les
coll�gues,
client�lisme
etc.).
L?Intersyndicale
consid�re
que la
cotation des
postes en
g�n�ral, et
en
particulier
la cotation
� maison �
n'a d'autre
but que de
casser les
statuts
nationaux.
En effet, la
cotation
vise �
profiler les
postes et
consiste
ainsi �
dissocier la
qualification
des agents
et l'emploi
occup�,
remettant en
cause les
acquis
statutaires
li�s � leur
grade et
donc
attach�s �
leur
personne.
Elle vise �
comparer et
diviser les
agents d'un
m�me corps
et remet en
cause le
droit au
mouvement
dans un m�me
corps.
Enfin,
l'Intersyndicale
rappelle son
opposition �
toute forme
d'individualisation
des
carri�res et
des primes.
Elle
rappelle son
opposition �
la politique
indemnitaire
mise en
place �
l'universit�
de Toulon,
en
particulier
aux primes
n�goci�es de
gr� � gr�
sans passage
en Comit�
technique
d'�tablissement
public
(CTEP),
comme
l'exige
pourtant la
loi.
Elle
continue
d'oeuvrer
dans les
instances de
l?�tablissement
pour obtenir
une
v�ritable
transparence
dans
l?harmonisation
et
l?attribution
des primes.
Elle demande
l'application
du fameux
�taux 5�,
c'est-�-dire
l'�galit�
avec les
coll�gues
des
universit�s
voisines et
des lyc�es
et coll�ges.
Sur ces
questions,
l?intersyndicale
organise une
heure
d'information
syndicale
de 11h30 �
12h30
le Jeudi 26
septembre
2013
Amphi OUEST
de l'IUT
(En venant
du CROUS ou
de la DSIUN,
traverser le
hall du b�t
A de l'IUT
L'amphi est
� droite
avant de
descendre
les
escaliers
menant � la
LMDE)
Elle invite
tous les
personnels �
y
participer,
comme c'est
leur droit.
A suivre...
B�atrice
Bonneau
Motion de la
section SNES du
lyc�e S. Apollinaire (Clermont-Ferrand)
La section SNES de S. Apollinaire s�adresse aux directions nationales du SNES et
de la FSU
afin qu�elles se prononcent clairement pour le retrait pur et simple du projet
de loi gouvernemental
sur les retraites.
Elle leur demande de s�adresser aux directions nationales de la CGT, FO pour
qu�elles fassent de m�me, l�unit� sur ces bases �tant la condition de toute
mobilisation et combat efficaces
Vot� � l�unanimit� des 8 pr�sents
le 6-9-13
Tract du SNCS FSU Grenoble, novembre
2012
50 000 pr�caires dans l'Enseignement
Sup�rieur et la Recherche, 10 000 au CNRS (pour 25 000 titulaires)*:
Loi Sauvadet : r�sorption de la pr�carit� ou
r�forme du statut des personnels ?
Une augmentation
alarmante de la pr�carit� dans l'Enseignement Sup�rieur et la Recherche.
Le tract en
format .pdf
Boycottez le CTM du 8 mars
sur l��valuation des enseignants.
Le gouvernement n�a pas renonc� � faire passer son d�cret
sur l��valuation des enseignants. Il entend le pr�senter au Comit� Technique
Minist�riel du 8 mars.
Ce projet est rejet� par l�ensemble de la profession. Les
organisations syndicales se sont prononc�es pour son retrait et ont jusqu��
pr�sent refus� de le n�gocier.
C�est
pourquoi nous, signataires, nous adressons � la direction de nos
organisations syndicales et leur demandons :
Boycottez le CTM du 8 mars sur l��valuation des enseignants.
Cette p�tition a �t� sign�e en quelques jours par :
30 enseignants au lyc�e Virlogeux (RIOM, 63)
20 coll�gues au lyc�e Sidoine Apollinaire (Clermont-Fd)
14 enseignants au lyc�e Blaise Pascal (Clermont-Fd)
15 enseignants au au coll�ge Les Ormeaux � Fontenay aux roses
Adresse � la direction du SNES des personnels
d�enseignement et d��ducation du coll�ge Tavan (84), 23 signatures.
Les personnels d�enseignement et d��ducation
du coll�ge Tavan (84) ci-dessous signataires ont pris connaissance du nouveau
calendrier mis en place par le gouvernement pour faire adopter son projet de
r�forme de l��valuation des enseignants :
-
Le gouvernement pr�voit d�sormais trois s�ries de n�gociations : la premi�re
pour � discuter des propositions alternatives des organisations syndicales �, la
deuxi�me pour � faire �merger une proposition n�goci�e � et enfin la
troisi�me, � une r�union multilat�rale au 1er trimestre 2012,
pr�paratoire au CTM qui aura � d�lib�rer sur les textes �.
-
Le contenu de la r�forme, lui, n�a pas chang� : il s�agit toujours, comme
l�indique la Lettre Flash du SNES du 3 d�cembre, de � placer le chef
d��tablissement comme seul �valuateur des enseignants �.
-
� Aucune n�gociation n�est possible sur la base d�un texte qui instaure le chef
d��tablissement comme seul �valuateur des enseignants et CPE �, poursuit la
Lettre Flash.
Consid�rant que ce projet de
r�forme n�est pas n�gociable et qu�il faut en obtenir le retrait, et puisque la
n�gociation est pr�sent�e par le minist�re comme � pr�paratoire � au CTM o� doit
�tre adopt� le projet de r�forme, les personnels signataires reprennent la
motion adopt�e � l�unanimit� au coll�ge Les Ormeaux de Fontenay aux
Roses :
Motion
Les enseignants du coll�ge Les Ormeaux � Fontenay aux roses (92) r�unis en
Heure d�Information Syndicale le 06 d�cembre 2011 ont pris connaissance des
projets de d�cret et d�arr�t� r�formant l��valuation des enseignants.
Ces projets constituent une attaque majeure contre le statut et les salaires
des enseignants. Ils ne contiennent rien qui soit � n�gocier.
C�est pourquoi ils s�adressent � tous les syndicats, et en premier lieu � la
direction du SNES :
Retrait pur et simple du projet
Ne participez � aucune n�gociation avec le minist�re.
Motion des
enseignants du coll�ge Les Ormeaux � Fontenay aux roses (92)
Les enseignants du coll�ge Les Ormeaux � Fontenay aux roses
(92) r�unis en Heure d�Information Syndicale le 06 d�cembre 2011 ont pris
connaissance des projets de d�cret et d�arr�t� r�formant l��valuation des
enseignants.
Ces projets constituent une attaque majeure contre le
statut et les salaires des enseignants. Ils ne contiennent rien qui soit �
n�gocier.
C�est pourquoi ils s�adressent � tous les syndicats, et en
premier lieu � la direction du SNES :
Retrait pur et
simple du projet
Ne participez �
aucune n�gociation avec le minist�re.
Adopt�e � l�unanimit� des 25 pr�sents.
Motion du coll�ge Jean Jaur�s de Montreuil (93)
� L�ensemble des professeurs du
coll�ge Jean-Jaur�s de Montreuil (93) avec leurs sections syndicales SNES, FO �
� ayant pris connaissance du
projet de d�cret minist�riel de r�forme de l��valuation des professeurs
� d�nie aux chefs
d��tablissement toute comp�tence en mati�re p�dagogique et disciplinaire : il
revient aux inspecteurs de chaque mati�re de juger la mani�re dont cette mati�re
particuli�re est enseign�e ;
� s�oppose � l�introduction, sur
le mod�le du priv�, tel qu�il s�est g�n�ralis� par exemple � la Poste (et avec
quels d�g�ts humains !) d�un � entretien professionnel � avec le chef
d��tablissement, a fortiori � partir dune � auto-�valuation � culpabilisante et
d�gradante ;
� d�nonce l�accroissement
extraordinaire des pr�rogatives des chefs d��tablissements qu�un tel projet sous
tend, accroissement qui, dans le cadre de l�autonomisation des �tablissements
d�enseignement, ne peut que favoriser l�arbitraire local ;
� refuse que l�avancement de
leur carri�re soit suspendu au jugement du seul chef d��tablissement ;
� condamne fermement la baisse
de salaire qu�une telle contre-r�forme engendrerait et rappelle leur
revendication : augmentation g�n�rale des salaires par l�augmentation du point
d�indice ;
� exige le respect int�gral de
leurs statuts de fonctionnaires d�Etat not�s sur des crit�res nationaux par une
double hi�rarchie, administrative et p�dagogique ;
� s�adresse aux directions
syndicales nationales (et en particulier � celle du SNES, syndicat majoritaire)
pour qu�elles engagent une action commune pour le retrait, en commen�ant par
boycotter toute concertation � ce sujet ainsi que le comit� technique
minist�riel qui le met � l�ordre du jour."
Nous publions cette motion qui nous a �t� communiqu�e par des militants de
Marseille qui ne sont pas membres du courant Front Unique.
MOTION � �VALUATION DES
ENSEIGNANTS �, COLL�GE ANDR� MALRAUX DE MARSEILLE
Les enseignants du coll�ge Andr�
Malraux de Marseille r�unis en assembl�e g�n�rale avec leurs sections syndicales
SNES et CGT, ont pris connaissance des projets de d�cret et d�arr�t� relatifs �
l��valuation des enseignants.
Ce projet pr�voit :
-
L�introduction � compter de la
rentr�e 2012 d�un entretien professionnel
conduit (dans le second degr�) tous
les trois ans par le chef d��tablissement, apr�s auto-�valuation des
enseignants. Il provoquera :
-
Des baisses de salaires
g�n�ralis�es :
augmentation de la dur�e des nouveaux �chelons, avancement � l�anciennet� pour
la majorit� des enseignants, remplacement des promotions au choix et au grand
choix par des r�ductions limit�es en mois (2 ou 5 mois). Gel de toute promotion
jusqu�en 2015.
Et constitue :
-
Une attaque contre le statut
des enseignants : sous
la tutelle des chefs d��tablissements, perdant toute libert� p�dagogique, ils ne
seraient plus jug�s sur un enseignement disciplinaire, mais sur diverses t�ches
autres que les heures de cours et des crit�res tel la �
pratique professionnelle
dans
l�action collective de
l��cole ou de l��tablissement, en lien avec les parents d��l�ve et les
partenaires
�.
-
Une pouss�e d�cisive vers
l�autonomie des �tablissements
: augmentation des pouvoirs des
chefs d��tablissement, le projet d��tablissement sera de fait la r�f�rence
ultime en lieu et place des programmes nationaux.
Face � un tel projet, la r�ponse
s�impose d�elle m�me :
Retrait pur
et simple du projet de d�cret et d�arr�t� relatif � l��valuation des enseignants
Boycott de
toute concertation avec L.Ch�tel sur l��valuation, boycott des groupes de
travail sur l��valuation des enseignants
Alors qu�une gr�ve est annonc�e
pour le 15 D�cembre, il faut tout faire pour r�aliser l�unit� des enseignants et
de leurs organisations syndicales sur ces revendications.
A ce titre, nous pensons n�cessaire
d�organiser une AG des �tablissements et �coles de Marseille pour discuter des
modalit�s d�action dans les prochaines semaines.
27 signataires
Marseille, le
25/11/11
Motion des
enseignants du coll�ge Tavan r�unis en Heure d�Information Syndicale �
l�initiative de la section SNES le 24 novembre 2011
Les enseignants du coll�ge
Tavan r�unis en Heure d�Information Syndicale � l�initiative de la section SNES
le 24 novembre 2011 ont pris connaissance des projets de d�cret et d�arr�t�
r�formant l��valuation des enseignants.
Ces projets constituent une
attaque majeure contre le statut et les salaires des enseignants. Ils ne
contiennent rien qui soit � n�gocier.
En outre, la date choisie pour
les pr�senter en CTM (le 20 d�cembre 2011) indique la volont� du gouvernement de
faire passer son projet � un moment o� les enseignants ne pourront pas r�agir.
C�est pourquoi, afin d�obtenir
le retrait pur et simple de ces projets de r�forme, les enseignants du coll�ge
Tavan s�adressent � tous les syndicats, et en premier lieu � la direction du
SNES :
-
Boycottez le CTM du 20 d�cembre !
-
Appelez d�s aujourd�hui � une manifestation
centrale nationale de toute la profession, au minist�re, le 15 d�cembre.
Pour :
16
Contre : 0
Abstentions : 0
Motion des
enseignants r�unis sur l�heure d�information syndicale, au lyc�e S. Apollinaire
(Clermont-Ferrand) le25/11
Les enseignants r�unis sur l�heure
d�information syndicale, au lyc�e S. Apollinaire le25/11, ayant pris
connaissance des projets d�arr�t� et de d�cret portant sur � l�entretien
professionnel �, consid�rent
- qu�il s�agit d�une nouvelle
attaque contre les salaires, et un ralentissement g�n�ral de la progression
de carri�re.
-Ils consid�rent que � l�entretien
professionnel � vise � introduire les m�thodes manag�riales d�entreprise, par
les chefs d��tablissement en dehors des crit�res disciplinaires, c�est donc une
nouvelle attaque contre le statut des enseignants.
C�est pourquoi nous nous adressons
aux directions syndicales de l�enseignement :
-afin d�obtenir le retrait
effectif de ces projets il est de votre responsabilit� d�organiser la
mont�e � Paris, pour aller manifester au minist�re, le 15 d�cembre.
- afin de barrer la route au
gouvernement il est de
votre responsabilit� d�annoncer d�s maintenant le boycott du CTM
auquel le projet sera soumis, le 20 d�cembre.
Pour :11
contre :1 abstentions :9
MOTION des enseignants du lyc�e Virlogeux
(Riom) r�unis sur l�heure d�information syndicale le 22 novembre 2011
Les enseignants
r�unis sur l�heure d�information syndicale, au lyc�e Virlogeux, le 22/11, ayant
pris connaissance des projets d�arr�t� et de d�cret portant sur
� l�entretien professionnel �, consid�rent qu�il s�agit d�une nouvelle attaque
contre les salaires, et un ralentissement g�n�ral de la progression de carri�re.
Ils consid�rent que � l�entretien professionnel � vise � introduire les m�thodes
manag�riales d�entreprise, par les chefs d��tablissement en dehors des crit�res
disciplinaires, c�est donc une nouvelle attaque contre le statut des
enseignants.
C�est pourquoi
nous nous adressons aux directions syndicales de l�enseignement,
-afin d�obtenir
le retrait effectif de ces projets il est de votre responsabilit� d�organiser la
mont�e � Paris, pour aller manifester au minist�re, le 15 d�cembre.
- afin de barrer
la route au gouvernement il est de votre responsabilit� d�annoncer d�s
maintenant le boycott du CTM auquel le projet sera soumis, le 20 d�cembre.
adopt�e � l'unanimit� des 15 pr�sents
Motion des professeurs du lyc�e Jean-Jaur�s de Montreuil
(Seine-Saint-Denis)
r�unis en Assembl�e G�n�rale ce 16 mars
En d�fense du statut
Nous, professeurs
du lyc�e Jean-Jaur�s de Montreuil (Seine-Saint-Denis)
� l�unanimit� moins une
abstention, r�unis en Assembl�e G�n�rale ce 16 mars,
avec nos sections
syndicales CGT, FO et SNES,
Attach�s au statut de la
Fonction publique, statut qui � la fois assure la qualit� du service d��ducation
et participe � l��galit� des citoyens sur le territoire national�
� Nous r�it�rons
notre opposition totale au dispositif ECLAIR -dispositif qui entend, par le
biais de l�autonomie des �tablissements, remettre en cause le principe m�me
d�une Education nationale et d�truire de l�int�rieur les garanties li�es
au statut de fonctionnaire- et demandons son retrait imm�diat, et
notamment au coll�ge Lenain-de-Tillemont qui appartient � notre district;
� Nous avons pris
connaissance du contenu du protocole d�accord dit de � r�sorptions de
pr�carit� � soumis par le ministre Tron � la signature des organisations
syndicales.
� Nous relevons que, si
l�article 3 du statut de la Fonction publique stipule que chaque emploi
permanent doit �tre pourvu par un fonctionnaire, le protocole, quant � lui,
dit que � chaque fonctionnaire doit occuper un emploi permanent �. Nous ne
sommes pas dupes de ce tour de passe-passe : par ce biais, le Minist�re cherche
� remettre en cause notre statut de fonctionnaire d�Etat en institutionnalisant
partout la pr�carit� -comme cela a pu se faire � la Poste.
� Nous mandatons, par
cons�quent, nos repr�sentants syndicaux, en d�fense de la Fonction
publique et du statut qui en assure la p�rennit�, pour refuser leur signature
� un tel texte, mortel pour ce statut;
� Nous rappelons
qu�il existe des voies pour r�sorber la pr�carit� sans toucher au statut :
que le Ministre ouvre massivement les postes au concours qu�il a ferm�s !
qu�il organise la titularisation de ceux qui ont aujourd�hui un contrat
pr�caire !
Motion des personnels du lyc�e Virlogeux, Riom
(63) r�unis le 1er f�vrier en heure mensuelle d�information syndicale
Rythmes
scolaires :
Les
personnels du lyc�e Virlogeux r�unis le 1er f�vrier en heure mensuelle
d�information syndicale,
sont
conscients que le dispositif � conf�rence sur les rythmes scolaires et comit� de
pilotage �
est un
dispositif d�attaques destructrices du gouvernement contre l�enseignement
public, donc la jeunesse et le statut d�enseignant.
Dans le
rapport de la commission parlementaire et dans la synth�se du comit� de pilotage
sur les rythmes scolaires
Se profilent
nettement :
-
-
la r�duction des heures d�enseignement, des programmes
et des options,
-
-
La destruction du baccalaur�at comme dipl�me national et
premier dipl�me universitaire,
-
-
La suppression massive de postes (16000 sont pr�vues au
budget 2011!)
-
-
La destruction du statut de l�enseignant (modification des
obligations de service, annualisation, polyvalence, diminution des vacances
d��t�).
C�est
pourquoi les personnels r�unis en H.M.I demandent � la direction SNES de :
-
-
rejeter le rapport de synth�se du comit� de pilotage,
-
-
Se retirer de la concertation qui cherche � les associer
aux attaques gouvernementales
-
-
et d�appeler les autres syndicats � faire de m�me.
Unanimit�
des 17 pr�sents
Motion des personnels du lyc�e S. APOLLINAIRE
(Clermont-Fd) r�unis le 28-1-11 en heure mensuelle d�information syndicale
Rythmes
scolaires :
Les
personnels du lyc�e S. APOLLINAIRE r�unis le 28-1-11 en heure mensuelle
d�information syndicale,
sont
conscients que le dispositif � conf�rence sur les rythmes scolaires et comit� de
pilotage �
est un
dispositif d�attaques destructrices du gouvernement contre l�enseignement
public, donc la jeunesse et le statut d�enseignant.
Dans le
rapport de la commission parlementaire et dans la synth�se du comit� de pilotage
sur les rythmes scolaires
Se profilent
nettement :
-
-
la r�duction des heures d�enseignement, des programmes
et des options,
-
-
La destruction du baccalaur�at comme dipl�me national et
premier dipl�me universitaire,
-
-
La suppression massive de postes (16000 sont pr�vues au
budget 2011!)
-
-
La destruction du statut de l�enseignant (modification des
obligations de service, annualisation, polyvalence, diminution des vacances
d��t�).
C�est
pourquoi les personnels r�unis en H.M.I demandent � la direction SNES de :
-
-
rejeter le rapport de synth�se du comit� de pilotage,
-
-
Se retirer de la concertation qui cherche � les associer
aux attaques gouvernementales
-
-
et d�appeler les autres syndicats � faire de m�me.
Pour : 16 ,
abstentions : 3 , Contre : 0 , NPPV :0
Motion des personnels du
coll�ge Alphonse Tavan r�unis en heure d�information syndicale le 11.01.11
Les personnels du coll�ge Alphonse Tavan r�unis en heure
d�information syndicale le 11.01.11 ont pris connaissance du rapport de la
mission parlementaire sur les rythmes scolaires pr�sid�e par Mme Tabarot.
Les propositions contenues dans ce rapport
constituent une attaque frontale contre le syst�me �ducatif dans son ensemble et
le statut des enseignants :
- R�duction du nombre d�heures de cours au profit
d�activit�s financ�es par les communes,
- Remise en cause de la d�finition actuelle du service des
enseignants et des maxima de service hebdomadaires,
- Red�finition de l�ann�e scolaire,
- Transformation des � modalit�s d�attribution du
baccalaur�at �, en recourant aux � unit�s capitalisables sur l�ann�e �.
Dirigeants du SNES et de la FSU, ces propositions ne sont
pas � discuter : nous vous demandons de rompre la concertation sur les rythmes
scolaires.
POUR : 13
CONTRE : 0
ABSTENTION : 1
Motion des
personnels de l��ducation nationale et les
organisations syndicales CGT-Educ, FSU, FNEC-FP-FO, SUD-Educ r�unis en assembl�e
g�n�rale � Montlu�on le 02 septembre 2010
Les personnels de l��ducation
nationale et les organisations syndicales CGT-Educ, FSU, FNEC-FP-FO, SUD-Educ
r�unis en assembl�e g�n�rale � Montlu�on le 02 septembre 2010 s�adressent aux
directions des conf�d�rations et organisations qui se r�uniront en
intersyndicale le 8 septembre:
Pour qu�elles exigent le retrait pur
et simple de la contre r�forme des retraites ;
Pour qu�elles appellent, avant le
vote, � une grande manifestation nationale unitaire � l�Assembl�e Nationale afin
d�en obtenir le retrait.
Pour :11
Contre :0 Abstention : 2 NPPV : 3
Motion des sections SNES et SNEP du lyc�e G. Faur� d'Annecy r�unies le 2
septembre 2010,
adopt�e � l'unanimit� des 9 participants :
Les sections SNES et SNEP
du lyc�e G. Faur� d'Annecy s'adressent � l'intersyndicale du 08/09/2010 : il n'y
a plus que quelques jours pour exiger le retrait pur et simple du projer de loi
sur les retraites. Il vous est encore possible d'appeler � la gr�ve g�n�rale
avec manifestation centrale devant l'assembl�e nationale pour interdire aux
d�put�s UMP de voter cette loi sc�l�rate. Il faut affronter le gouvernement pour
lui imposer cette d�faite.
Motion des enseignants r�unis au lyc�e Virlogeux
(Riom) le 08 06 2010
Les enseignants r�unis au lyc�e Virlogeux (Riom) sur l'heure d'information
syndicale, le 08 06 2010 s'adressent aux directions des f�d�rations et syndicats
de l'enseignement :
-exigez le retrait du projet de r�forme des retraites, publi� par le
gouvernement ;
-cessez de discuter de ce projet avec le gouvernement, notamment dans le cadre
des groupes de travail de la fonction publique.
-adressez vous aux conf�d�rations pour qu'elles en fassent de m�me.
8 pour, 1 abstention.
Adresse des personnels du coll�ge lyc�e Blaise
Pascal (Clermont-Fd) aux directions des organisations syndicales. le 7 juin 2010
Nous avons ont pris connaissance du projet gouvernemental de contre r�forme des
retraites.
Il n y a aucune ambigu�t� sur le contenu de la dite r�forme.
Allongement de la dur�e de cotisation.
Recul de l��ge l�gal du d�part en retraite.
Remise en cause de ce qui reste du code des pensions.
Comme en 2003, le gouvernement entend s�appuyer jusqu�au bout sur les directions
des organisations syndicales via le COR et les groupes de travail pour parvenir
� ses fins.
Nous estimons qu�il est de la responsabilit� des directions des organisations
syndicales d�avancer clairement la revendication :
- retrait du projet gouvernemental.
unanimit� des 12 pr�sents
Obtenir le retrait, c�est affronter le gouvernement et non l�accompagner.
En cons�quence, nous nous adressons aux directions des organisations syndicales
:
- retirez vous du COR.
- retirez-vous des groupes de travail sur les retraites.
6 Pour 5 Contre 1 NPPV
Motion des enseignants du lyc�e Sidoine
Apollinaire (63) r�unis le jeudi 3 juin 2010
Motion sur le projet de r�forme des retraites
Les enseignants du lyc�e Sidoine Apollinaire (63) r�unis le jeudi 3 juin 2010 en
heure d'information syndicale ont pris la d�cision de s'adresser aux directions
des organisations syndicales, pour leur dire:
Les orientations du gouvernement sont maintenant �crites. C'est l'augmentation
du nombre d'annuit�s pour b�n�ficier d'une retraite � taux plein, le report de
l'�ge l�gal de d�part � la retraite et la remise en cause des dispositions du
Code des pensions qui ne sauraient �tre "intangibles".
Voil� le cadre dans lequel le gouvernement entend poursuivre la concertation
avec les organisations syndicales en s'appuyant sur de pr�tendues mesures de
taxation des hauts revenus qui sont totalement marginales.
Notre position est claire: les directions syndicales n'ont pas pour mandat de
s'associer � la d�termination des modalit�s de la liquidation de nos droits
comme les y invite le gouvernement.
Aucune concertation dans le cadre du document d'orientation du gouvernement!
C'est la seule position conforme � la d�fense des acquis qui nous restent. Il ne
faut pas discuter avec ce gouvernement mais l'affronter.
C'est la position que vous devez prendre: D�noncez le document d'orientation du
gouvernement! Annoncez que vous ne participerez ni au niveau des conf�d�rations,
ni au niveau de la fonction publique � la concertation pr�vue dans ce cadre!
Exigez le retrait du plan gouvernemental sur les retraites!
Adopt� � l'unanimit� des 11 pr�sents.
Motion sur Isra�l
Les enseignants du lyc�e Sidoine Apollinaire (63) r�unis le jeudi 3 juin 2010 en
heure d'information syndicale ont pris la d�cision de s'adresser aux directions
des organisations syndicales, pour qu'elles appellent:
� la condamnation de la politique de l'�tat d'Isra�l, �tat colonisateur et
oppresseur du peuple palestinien, ce qui implique le boycott de toute relation
avec Isra�l.
Adopt� � l'unanimit� des 9 pr�sents.
Motions des enseignants du coll�ge Tavan r�unis
en heure de vie syndicale le 25 mai 2010
Motion sur les retraites
Le projet de contre-r�forme des retraites propos� par le gouvernement est
d�sormais connu�: le document d�orientation indique clairement que
��l�augmentation de la dur�e d�activit� est le socle d�une r�ponse durable�� et
que ��les r�gles de la Fonction Publique ne sont pas intangibles��.
Cette remise en cause de nos acquis en mati�re de retraite n�est pas � discuter,
elle est � combattre.
Or le document d�orientation conclut que pour ��assurer le succ�s de la r�forme
dans la dur�e��, le gouvernement s�engage � ��organiser des rencontres
p�riodiques avec les partenaires sociaux��.
Les enseignants du coll�ge Alphonse Tavan, r�unis en heure de vie syndicale le
25 mai 2010 demandent � la direction de la FSU�:
de se prononcer clairement pour le retrait du projet gouvernemental de r�forme
des retraites tel qu�il est pr�sent� dans le document d�orientation,
de quitter imm�diatement la table de la n�gociation,
d�appeler les autres organisations � faire de m�me afin de r�aliser un front uni
contre le projet du gouvernement
Motion adopt�e � l�unanimit� des 7 pr�sents
Motion sur les C.L.A.I.R
Au titre du ��droit � l�exp�rimentation�� institu� par la loi Fillon de 2005
doit �tre mis en place d�s la rentr�e 2010 un dispositif baptis� C.L.A.I.R
(Coll�ges et Lyc�es pour l�Ambition, l�Innovation et la R�ussite) dans 150
�tablissements.
Dans les �tablissements concern�s par le dispositif C.L.A.I.R�:
La r�f�rence aux programmes nationaux serait abandonn�e au profit du seul
��socle�commun� .
Le chef d��tablissement s�lectionnerait lui-m�me son �quipe p�dagogique sur des
postes � profil.
Les enseignants du coll�ge Tavan r�unis en heure de vie syndicale le 25 mai 2010
demandent � la direction du SNES�de se prononcer pour le retrait du dispositif
CLAIR, qui constitue une menace pour le statut de tous les enseignants.
Motion adopt�e � l�unanimit� des 7 pr�sents
Motion des enseignants du lyc�e polyvalent
Raspail, syndiqu�s SNES FSU, SUEP FSU ou non syndiqu�s, r�unis le 6 mai 2010
Les enseignants du lyc�e polyvalent Raspail, syndiqu�s SNES FSU, SUEP FSU ou non
syndiqu�s, r�unis ce 6 mai s'adressent � la direction de la FSU et de ses
syndiats pour leur demander instamment
- de se prononcer pour le retrait du projet de r�forme des retraites
- de quitter les quatre groupes de travail au travers desquels cette r�forme
progresse
Unanimit� des 14 pr�sents
Motions adopt�es au lyc�e Sidoine Apollinaire
(Clermont-Fd) le 18-3-2010
Reforme des lyc�es
Les enseignants du lyc�e Sidoine Apollinaire (63) r�unis le jeudi 18 mars 2010
en heure d'information syndicale, s'adressent aux directions nationales des
syndicats et en particulier � celle du SNES
- pour qu'elles appellent au boycott national des Conseils P�dagogiques (outils
de mise en �uvre de la r�forme des lyc�es) entra�nant suppressions de postes et
destruction du statut de l'enseignant,
- et pour qu'elles s'opposent � toute suppression de poste et � toute
transformation de poste en heures suppl�mentaires.
(Votes Pour 20, contre 0, abstention 2 et NPPV 1)
Retraites
Les enseignants du lyc�e Sidoine Apollinaire (63) r�unis le jeudi 18 mars 2010
en heure d'information syndicale, se prononcent:
- pour le maintien de l'�ge l�gal de d�part � la retraite � 60 ans,
- contre tout allongement de la dur�e de cotisation,
- pour le maintien du calcul des pensions sur les six derniers mois de salaire,
- pour la d�fense du syst�me de retraite par r�partition,
- pour la d�fense du r�gime des pensions de la Fonction Publique et le maintien
de tous les acquis en mati�re de retraite,
et appellent les directions des organisations syndicales (FSU, CGT, FO) � rompre
toute participation aux discussions sur la r�forme des retraites et � quitter le
COR.
(Votes Pour: 18, Contre: 0)
Motion du personnel du lyc�e G. Faur� d'Annecy,
le jeudi 04/03/10
Le personnel du lyc�e G. Faur� d'Annecy, r�uni le jeudi 04/03/10 s'adresse aux
directions nationales des syndicats pour leur demander qu'elles se prononcent
pour:
- le r�tablissement de tous les postes supprim�s (dont 5 postes au lyc�e G.
Faur�) ;
- le retrait de la r�forme des lyc�es ;
- l'abrogation des d�crets de r�forme de la formation des ma�tres.
Consid�rant que dans de nombreux �tablissements une gr�ve contre les
suppressions de postes est d�j� en cours, la responsabilit� des syndicats est de
sortir les �tablissements scolaires de l'isolement. Nous demandons donc que les
directions syndicales acad�miques convoquent une assembl�e acad�mique de
d�l�gu�s d'�tablissement �lus et mandat�s pour d�terminer collectivement nos
revendications et nos moyens d'action pour infliger une d�faite au gouvernement.
8 pour, 10 abstention, 0 contre
Motion des enseignants du lyc�e coll�ge Blaise
Pascal le 18 01 2010
Les enseignants du lyc�e coll�ge Blaise Pascal r�unis avec leurs organisations
syndicales (Snes FSU, FO, Sud) en heure d'information syndicale le 18 01 2010
s'adressent aux directions de leurs syndicats.
Prononcez-vous dans l'unit� pour:
- le retrait pur et simple de la r�forme des lyc�es.
- le retrait du d�cret EPLE.
Unanimit� des 14 pr�sents
- Appelez par cons�quent au boycott des journ�es banalis�es sur la mise en �uvre
de la r�forme des lyc�es.
9 Pour 2 Contre 3 Abstentions
- Appelez � la gr�ve jusqu'au retrait de la r�forme du lyc�e et du d�cret EPLE
5 Pour 0 Contre 9 Abstentions
Interventions en 2008-2009
Interventions en 2007
Interventions en
2005-2006
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