LETTRE DE LIAISON


des militants combattant
pour le FRONT UNIQUE
des syndicats de l'enseignement public


On nous communique - interventions des militants du courant Front Unique en 2005-2006



Motion adoptée au lycée et collège Blaise Pascal, Clermont-Fd le 15 décembre 2006

Les enseignants des Lycée et Collège Blaise Pascal réunis le 15 décembre, informés du projet de modification des décrets de 1950:

- Quasi-suppression de l'heure de 1ère chaire,
- Instauration de la bivalence,
- Possibilité d'être nommé sur 3 établissements,
- Affaiblissement du sport scolaire dans les établissements,
- Suppression de l'heure de cabinet et de laboratoire,
donc augmentation du temps de travail et diminution des salaires, déqualification du métier,

rejettent ce projet de modification.

Ils s'adressent à la direction de leurs organisations syndicales:

Ce projet n'est pas négociable.

Indiquez dès maintenant que vous ne vous rendrez pas au CTPM du 18 décembre qui doit entériner le projet de décret.

Pour: 17
Contre: 0
Abstentions: 4




Motion adoptée au collège Trémonteix (Clermont-Fd) le 14 décembre

Des professeurs du collège de Trémonteix de Clermont-Ferrand réunis le jeudi 14 décembre 2006 ont adopté la position suivante:

"Nous prenons acte de l'appel à la grève du 18 décembre.

Aux directions syndicales du SNES, du SNEP et d'autres syndicats, nous demandons de boycotter le CTPM DU 18/12."

17 pour, 4 abstension.




Adresse signée par 33 enseignants du lycée de Riom (63) les 7 et 8 décembre.

ADRESSE AUX DIRIGEANTS DES SYNDICATS ET FEDERATIONS DE L'ENSEIGNEMENT. (EN PARTICULIER DE LA FSU)

Le 26 septembre, le gouvernement a annoncé son projet de modifications des décrets de 1950 qui prétend augmenter le temps de travail, faire diminuer les salaires, faire compléter les services par des heures dans d'autres matières.

Le 20 octobre l'intersyndicale de l'enseignement s'est prononcée pour le retrait de projet de modifications des décrets de 1950.

Le 29 novembre les représentants syndicaux ont été reçus au ministère et qu'en est-il ressorti? Le 18 décembre, le CTPM doit adopter la modification des décrets de 1950, afin de la faire appliquer à la rentrée 2007.

Dirigeants des syndicats et fédérations de l'enseignement, nous nous adressons à vous: pour nous il n'est qu'une question qui vaille, obtenir le retrait du projet de modification des décrets de 1950! Il est temps d'appeler à la mobilisation pour permettre le retrait du projet de modification des décrets! Vous refusez de siéger au CTPM du 11 décembre, mais pour quelle raison vous y rendre le 18?

Aujourd'hui prenez comme position:

-Boycott du CTPM du 18/12!

-Organisez et appelez à une manifestation de l'ensemble des enseignants au ministère, contre la tenue du CTPM;

-Appelez à une journée de grève pour permettre une telle manifestation.





Adresse aux directions syndicales de l'enseignement signée au lycée de Briey par 86 collègues entre le 4 et le 8 décembre

Adresse aux directions syndicales de l'enseignement pour la défense inconditionnelle des décrets de 1950.

Le gouvernement a reçu l'intersyndicale de second degré le 29 novembre au soir sur ses projets de modification des décrets de 1950.

Pour rappel:

-conditions drastiques d'attribution de l'heure de 1ère chaire qui revient à en priver l'immense majorité des collègues,
-service augmenté d'une heure pour les enseignants ayant des "effectifs inférieurs à 20 élèves",
-possibilité de compléter un service sur trois communes, dans une autre discipline (pour les TZR possibilité d'effectuer la totalité du service dans une autre discipline).

Si ce projet passe, les enseignants, dès la rentrée 2007, verront leur salaire diminuer et/ou leur temps de travail augmenter.

Le ministre a répondu par une fin de non recevoir à la demande de retrait du projet de décret. Il a d'ores et déjà inscrit le décret à l'ordre du jour du Comité Technique Ministériel (CTPM) qui se tiendra probablement le 18 décembre.

Il y a urgence.

Dès à présent, dirigeants syndicaux:

- Déclarez que vous boycottez le Comité Technique Paritaire Ministériel qui doit entériner ce projet de décret

- Appelez à une manifestation nationale le jour de la convocation de ce CTP et à la grève pour nous permettre de nous y rendre





L’adresse suivante a reçu 21 signatures le mardi 21/11/06 au lycée Montdory de Thiers (63)

Adresse aux directions syndicales de l’enseignement

Le gouvernement vient de rendre public un projet de modification des décrets de 1950 définissant le temps de travail et le statut des enseignants. Le projet n’est rien d’autre qu’un projet d’augmentation du temps de travail et/ou de diminution du salaire, qui doit permettre la fermeture de milliers de postes!

Aussi nous, enseignants du lycée Montdory (Thiers) nous adressons aux directions syndicales, tout particulièrement au Snes et à la FSU:

-Vous vous êtes prononcés pour le retrait du projet du gouvernement

-Mener réellement le combat pour ce retrait exige donc: déclarez immédiatement que vous refusez de participer à la concertation que le gouvernement a annoncé et dont il a besoin pour mettre en œuvre ces décrets.

-Le rôle des organisations syndicales ne peut être de «négocier» ou « discuter» de l’augmentation du temps de travail, de la baisse des salaires!




Motion adoptée en réunion syndicale, à l'unanimité des 13 présents le 20 novembre 2006 au Lycée Louis Bertrand de BRIEY

Adresse aux directions syndicales de l'enseignement: Défense inconditionnelle des décrets de 1950

Le gouvernement a récemment annoncé ses projets de modification des décrets de 1950. L'attaque contre nos statuts saute aux yeux:

-conditions drastiques pour attribuer l'heure de 1ère chaire, qui revient à en priver l'immense majorité des collègues,
-service augmenté d'une heure pour les enseignants ayant des "petits effectifs",
-possibilité de compléter un service sur trois communes, dans une autre discipline (pour les TZR possibilité d'effectuer la totalité du service dans une autre discipline).

Si ce projet passe, les enseignants, dès la rentrée 2007, verraient leur salaire diminuer et/ou leur temps de travail augmenter. Cela permettrait au gouvernement la fermeture de milliers de postes.

Dans une lettre à de Robien, signée de toutes les organisations syndicales, les directions syndicales déclarent le 20 octobre: "Le projet de décret sur les obligations de service des enseignants du second degré est inacceptable…Nous demandons le retrait de ce projet".

Si les organisations syndicales demandent le retrait du projet, alors leur orientation doit être: refus de toute concertation sur la réécriture des décrets de 1950!

-Déclarez dès aujourd'hui: défense inconditionnelle des décrets de 1950!
-Retrait pur et simple du projet de décret gouvernemental
-Annoncez dès aujourd'hui que vous refuserez toute concertation sur leur réécriture!




Motion adoptée par l'assemblée des collègues du Lycée Sidoine Apollinaire de Clermont Ferrand, réunie le mardi 14 Novembre 2006, et adressée aux dirigeants des syndicats enseignants du second degré, en particulier le SNES

"Compte tenu des objectifs de ce gouvernement,

- exigez le retrait pur et simple du projet de décret gouvernemental

-et donc ne participez à aucune concertation pour la "réécriture" du décret de 50"

Pour: 26 nppv: 2




Adresse aux directions syndicales de l'enseignement.

Le gouvernement vient de rendre public un projet de modifications des décrets de 1950 définissant le temps de travail et le statut des enseignants. Le projet n'est rien d'autre qu'un projet d'augmentation du temps de travail et /ou une diminution du salaire, qui doit permettre la fermeture de milliers de postes!

Dans une lettre à de Robien signée de toutes les organisations syndicales, vous déclarez le 20 Octobre: "Le projet de décret sur les obligations de service des enseignants du second degré est inacceptable…Nous demandons le retrait de ce projet".

Compte tenu des objectifs avoués du gouvernement (supprimer des milliers de postes), nul ne peut imaginer un seul instant que la "concertation" qu'il annonce à ce sujet ait d'autre objectif que de faire passer sous une forme ou sous une autre le projet de décret.

C'est pourquoi nous, enseignants du lycée .... nous adressons à vous, directions syndicales de l'enseignement, tout particulièrement au SNES , à la FSU et à ses syndicats concernés:

Puisque vous demandez le retrait du projet de décret du gouvernement, déclarez dès maintenant que vous refusez de participer à la concertation que le gouvernement a annoncé et dont il a besoin pour mettre en oeuvre ces décrets. Ce serait là le premier acte permettant de faire reculer le gouvernement par la mobilisation du personnel.

Le rôle des organisations syndicales ne peut être de "négocier" ou "discuter" de l'augmentation du temps de travail, de la baisse des salaires!

adresse signée par

46 enseignants au lycée Sidoine Apollinaire, Clermont,

20 au Lycée Blaise Pascal, Clermont

10 au collège d'Aubière (63),

15 au Lycée Jeanne d'Arc, Clermont

20 au Lycée JB Dumas, Alès





Pétition signée par 40 enseignants du lycée Virlogeux (RIOM, 63)

Adresse aux directions syndicales de l'enseignement.

Le gouvernement vient de rendre public un projet de modifications des décrets de 1950 définissant le temps de travail et le statut des enseignants. Le projet n'est rien d'autre qu'un projet d'augmentation du temps de travail et /ou une diminution du salaire, qui doit permettre la fermeture de milliers de postes!

Aussi, nous enseignants du lycée Virlogeux, Riom, nous adressons, aux directions syndicales de l'enseignement, tout particulièrement au Snes et à la FSU afin:

-qu'elles se prononcent clairement pour le retrait du projet de décret du gouvernement!

-qu'elles déclarent dès maintenant qu'elles refusent de participer à la concertation que le gouvernement a annoncé et dont il a besoin pour mettre en oeuvre ces décrets.

-le rôle des organisations syndicales ne peut être de "négocier" ou "discuter" de l'augmentation du temps de travail, de la baisse des salaires!




Texte adopté au lycée Jeanne d'Arc (Clermont-Fd) le 4 octobre 2006

Conseils pédagogiques:

La position des sections syndicales SNES, SUD, F0, SNALC du lycée Jeanne d'Arc


La méthode insidieuse par laquelle ces conseils sont institués, méthode soft qui veut laisser accroire que ces conseils ne vont rien changer, ne doit pas nous égarer ni nous tromper sur la gravité de ce qui se joue:

- Il s'agit bien de l'instauration d'une nouvelle hiérarchie -calquée sur le modèle des super-profs qui ont fait leurs preuves en Grande Bretagne, aux Etats-Unis et en Allemagne- qui donne -et c'est nouveau- autorité pédagogique au chef d'établissement par l'intermédiaire des membres de ce conseil. En clair, des enseignants, désignés par le chef d'établissement, seront chargés d'imposer à leurs collègues les décisions du conseil présidé par le même chef d'établissement. On mesure tout l'intérêt d'une telle structure à la lumière du poids de l'avis du chef d'établissement dans le cadre d'un avancement au mérite, On mesure également combien l'instauration de cette nouvelle hiérarchie vise à briser toute unité du corps enseignant dans les établissements et à faire sauter ce point nodal de résistance si préjudiciable à l'application des décisions ministérielles et par conséquent si redouté des chefs d'établissements, lesquels ont au contraire tout intérêt à cette "caporalisation" des enseignants.

- Il s'agit bien d'une menace contre la liberté pédagogique en ce que le Conseil Pédagogique est chargé d'établir le volet pédagogique du projet d'établissement et, à terme -sinon pourquoi l'installer 7- de le faire appliquer dans les faits, En clair il donne au projet d'établissement -voté par le conseil d'administration- force de loi impérative, on est loin du volontariat jusqu'ici admis... On perçoit aussitôt que cette mesure donne en droit et en fait un rôle pédagogique au conseil d'administration et soumet les enseignants aux desiderata de ses membres majoritairement non enseignants (élus locaux, parents...) en matière de pédagogie et de programmes.

- Il s'agit bien en effet d'un cheval de Troie contre le caractère national des programmes et des horaires d'enseignement, et sa véritable fonction doit être comprise comme un maillon essentiel de la mise en oeuvre de l'autonomie des établissements; autonomie dont le sens s'éclaire au regard des restrictions budgétaires et de la concurrence entre établissements si visiblement dans l'air du temps.

Ces enjeux, à notre avis redoutables, sont la raison pour laquelle les proviseurs ont été conviés à installer les Conseils Pédagogiques "sans avoir l'air d'y toucher". Lorsqu'ils auront été installés, ils pourront porter tous leurs fruits et réaliser leur fonction: mise au pas pédagogique, adaptation avec -cerise sur le gâteau- caution pédagogique, des programmes et horaires, en toute "autonomie ", aux conditions budgétaires et aux volontés singulières du chef d'établissement et des membres du conseil d'administration.

L'urgent est d'empêcher ce tour de passe-passe et l'installation subreptice de ces conseils qui ne répondent en rien à la revendication légitime des enseignants de disposer de temps de concertation et de réflexion pédagogiques, mais dont le caractère pernicieux est évident dès qu'on se demande à quoi ils vont pouvoir servir, La méthode par laquelle les chefs d'Etablissement. les mettent en place montre le caractère inopérant d'une résistance individuelle, établissement par établissement,

Ce que nous attendons de nos Syndicats Nationaux et de nos Fédérations et leur demandons instamment au regard des enjeux de l'instauration des Conseils Pédagogiques n'est pas qu'ils invitent les enseignants à une résistance émiettée, établissement par établissement, qui n'empêchera rien mais qu'ils exigent le retrait de la circulaire qui institue un Conseil Pédagogique dans chaque établissement de second degré, et qu'ils donnent nationalement, et dans la plus grande unité, le mot d'ordre de boycott des conseils pédagogiques, seules conditions pour que ces conseils ne soient effectivement pas mis en place.




Motion de la section SNES du lycée Talma, Brunoy (91), le 28 septembre 2006

Camarades,

La section SNES-FSU du lycée Talma, à Brunoy (91), réunie ce 28 septembre, vous demande à l'unanimité de convoquer, dans l'unité avec les autres fédérations de l'enseignement, et au delà avec celles de fonctionnaires, une manifestation nationale, à l'Assemblée nationale, au moment de l'ouverture de la discussion budgétaire, contre ce projet de budget.

Pour la section, le secrétaire de S1,

Olivier Lestang

A vous lire




Motion des enseignants du lycée Sidoine Apollinaire (Clermont-Fd), le 21 septembre 2006

Les enseignants du Lycée Sidoine Apollinaire réunis en HMI le 21 septembre 2006 considèrent:

- que toute la Fonction Publique étant touchée par l'offensive du budget 2007, contre le budget 2007, c'est l'unité de l'ensemble des fédérations de la Fonction Publique qui doit se réaliser sur les mots d'ordre suivants: contre le budget 2007, remplacement poste par poste de tous les fonctionnaires qui partent en retraite, aucune suppression de poste, rétablissement du pouvoir d'achat perdu depuis 2000 soit 6% d'augmentation du point d'indice

- que c'est au moment où le budget est discuté au Parlement qu'il faut rassembler la force de tous les fonctionnaires et au-delà de la jeunesse, des travailleurs, qu'il est donc nécessaire qu'à l'ouverture de la discussion budgétaire, une manifestation nationale soit organisée par les fédérations de fonctionnaires, l'UNEF, les confédérations syndicales en direction de l'Assemblée Nationale sur les mots d'ordre énoncés ci-dessus

Pour 17 Abstention 1 Contre 0 Refus de vote 1




Motion des enseignants du lycée Bristol de Cannes, le 22 septembre 2006

Motion NON AU BUDGET 2007!

Les enseignants rassemblés lors de l'heure d'information syndicale réunie à l'initiative de la section SNES du lycée Bristol s'adressent aux directions du SNES et de la FSU pour qu'elles adoptent les mots d'ordre suivants:

- A bas le budget 2007!
- Pas une seule suppression de postes!
- rétablissement du pouvoir d'achat!

Votre responsabilité est de dresser dans l'unité l'ensemble des fédérations de fonctionnaires, l'UNEF, les confédérations syndicales dans une puissante manifestation à l'Assemblée Nationale contre le budget du gouvernement UMP-UDF au moment de l'ouverture de la discussion budgétaire.

Sur 14 présents:

POUR: 14 CONTRE: 0 Abst.: 0 NPPV: 0




Motion du lycée Sidoine Apollinaire (Clermont-fd), le 15 septembre 2006

Les professeurs du Lycée Sidoine Apollinaire réunis à l'initiative de la section SNES s'adressent au Conseil National réuni ce jour:

- Exigez le retrait de la circulaire ministérielle instaurant le Conseil Pédagogique
- Appelez tous les collègues au plan national au boycott des conseils pédagogiques, c'est à dire à refuser toute participation à leur mise en place

Adopté à l'unanimité des treize présents




Motions de la section SNES du Lycée Louis Bertrand (Briey), réunie mardi 12 septembre

La section syndicale SNES du Lycée Louis Bertrand, réunie mardi 12 septembre

2006, demande à la direction du SNES de se prononcer:

- contre le projet de budget du gouvernement,
- contre toutes les suppressions de postes prévues dans le budget 2007
- pour le rattrapage du pouvoir d'achat des fonctionnaires.

La direction du SNES doit s'adresser à celle de la FSU pour:

- qu'elle appelle les personnels à manifester à l'assemblée nationale au moment
de l'ouverture de la discussion budgétaire sur ces mots d'ordre
- qu'elle s'adresse aux autres organisations syndicales de fonctionnaires sur cette ligne.

Motion adoptée à l'unanimité par les 4 présents

__________________________________________________________________________

La section syndicale SNES du Lycée Louis Bertrand, réunie mardi 12 septembre 2006, demande à la direction du SNES de lancer au plus vite un appel national au boycott des conseils pédagogiques.

Motion adoptée à l'unanimité par les 4 présents





Motion présentée à la CA académique du SNES de Nancy-Metz le 1 juin 2006

La CA académique du SNES de Nancy-Metz, réunie aujourd'hui, attend que le conseil national du SNES:

se prononce clairement sur:

- l'abrogation du décret instaurant la note de vie scolaire au collège
- le retrait du projet de décret sur l'apprentissage dès 14 ans
- l'instauration du conseil pédagogique
- le maintien en l'état des décharges horaires

lance des mots d'ordre nationaux pour empêcher leur application:

- boycott des notes de vie scolaires
- boycott des conseils pédagogiques

cesse et refuse de discuter toutes ces mesures.

Résultat des votes

Ca académique: pour: 2 ; contre: 14 ; abstention: 8

Ca élargie aux S1: pour: 3 ; contre: 14 ; abstention: 9




Prises de position de l'assemblée générale des enseignants, surveillants, ATOS du Lycée Sidoine Apollinaire le 6 avril

Les organisations syndicales se prononcent pour l'abrogation de la loi instaurant le CPE avant le 17 avril, date des vacances parlementaires.

Dans ces conditions, nous nous adressons à la direction des organisations syndicales CGT,FO,FSU, UNEF:

Appelez dans les plus brefs délais, en tout état de cause avant le 17 avril à une manifestation massive à l'Assemblée Nationale pour cette abrogation.

55 pour 5 abstentions 1 contre


Chérèque et Thibault ont déclaré que l'UMP avait refusé de se prononcer pour l'abrogation du CPE Dans ces conditions l'ensemble des organisations syndicales doivent rompre immédiatement toute concertation avec l'UMP.

40 pour 16 abstentions 5 contre




L'appel suivant a été signé par 27 enseignants du lycée Virlogeux (Riom) le 6 avril au matin

Le 4 avril, une fois de plus, les travailleurs, en manifestant massivement, ont montré qu'ils sont disponibles pour le combat contre le gouvernement Chirac-Villepin-Sarkozy, pour obtenir le retrait du CPE.

Nous, soussignés, nous adressons aux directions des organisations syndicales pour leur demander:

-La CGT et la CFDT se sont rendues à l'invitation de l'UMP. Accoyer n'a pas annoncé le retrait du CPE. Le gouvernement cherche uniquement à gagner du temps. Dirigeants de FO, de la FSU, de l'UNEF, ne vous rendez pas à la concertation Sarkozy-Accoyer!

-Dirigeants de la CGT, de la FSU, de FO, de l'UNEF, appelez dès maintenant, dans l'unité, à une manifestation centrale à l'Assemblée Nationale la semaine prochaine pour imposer aux députés l'abrogation du CPE.




Adresse des personnels du lycée JB Dumas, Ales réunis en AG lundi 3 avril 2006, 8 heures.

Nous considérons que la déclaration de Chirac maintient le principe du CPE.

La proposition de concertation ne vise qu'à jouer l'essoufflement des grèves des étudiants et des lycéens.

Dans le même temps De Robien utilise la menace contre les jeunes et les enseignants.

Le 28 mars 3 millions de jeunes et travailleurs ont manifesté, une nouvelle journée de manifestation s'annonce massive.

Nous refusons la concertation proposée par Chirac Sarkozy.

Il est urgent que les confédération:

- appellent et organisent dans les plus brefs délais une journée de grève nationale pour permettre une montée massive à Paris.

- Refusent la concertation Chirac Sarkozy et continuent d'exiger le retrait du CPE.


87 pour, 1 contre, 3 abstentions




Motion adoptée le 29 mars au matin au Lycée Sidoine Apollinaire, Clermont-Fd

L'Assemblée Générale du Lycée Sidoine Apollinaire demande aux dirigeants syndicaux réunis cet après midi, après la manifestation réunissant trois millions de personnes le 28 Mars d'appeler sans délai à la grève générale pour le retrait du CPE.

Pour: 35
Contre: 3
Abstentions: 9

La même prise de position a reçu 13 signatures au Collège de Decize (58)




Motion adoptée le 29 mars au matin au Lycée Jeanne d'Arc de Clermont-Ferrand

Devant la mobilisation du 28 mars et l'obstination du pouvoir, l'Assemblée Générale des personnels du lycée Jeanne d'Arc de Clermont-Ferrand, demande de la façon la plus pressante aux organisations syndicales réunies ce mercredi 29 mars à Paris, d'appeler immédiatement à la grève générale pour le retrait du CPE.

23 pour, 7 contre, 9 abstentions.




Motion adoptée par les grévistes du 1er degré de l'Éducation nationale réunis à Montpellier le 28 mars 2006 au matin

L'assemblée s'adresse aux directions des syndicats nationaux, des fédérations et des confédérations:

Si le 28 au soir le gouvernement n'a pas retiré le CPE, alors votre responsabilité est d'appeler ensemble à la grève générale interprofessionnelle pour permettre la montée en masse à Paris et imposer l'abrogation du CPE.

(18 pour ; 0 contre ; 18 abstentions)




Le texte suivant a obtenu 25 signatures le 23 mars aux lycées Blaise Pascal (Clermont-Fd) et Virlogeux (Riom, 63)

Villepin dans un courrier envoyé ce jour invite les directions syndicales (CGT, FO) ainsi que celles de la CFDT, CFTC, CGC à une concertation.

Il en fixe clairement le cadre:

"Je souhaite également que nous puissions évoquer sans a priori des mesures propres à lever les inquiétudes et les interrogations qui se sont exprimées ces dernières semaines au sujet du contrat premier embauche."

Autrement dit,

a) premièrement le CPE est maintenu.
b) la concertation porte sur sa mise en œuvre.
c) les directions syndicales sont chargées au compte du gouvernement de "lever les inquiétudes et les interrogations".

Nous nous adressons aux directions syndicales CGT, FO, FSU, UNEF:

Depuis des semaines la jeunesse est unie sur l'exigence: Retrait du CPE, aucune négociation sur sa mise en œuvre.

Participer à une telle concertation, ce serait trahir la jeunesse, ce serait aller à l'encontre des intérêts de tous les travailleurs, ce serait voler au secours du gouvernement.

DIRIGEANTS CGT, FO, FSU: vous avez vous-même déclaré: "Le retrait du CPE est un préalable".

PRONONCEZ VOUS CONTRE TOUTE CONCERTATION DE MISE EN ŒUVRE DU CPE!

DIRIGEANTS CGT, FO: NE VOUS RENDEZ PAS A L'INVITATION DE VILLEPIN!





Le texte suivant a obtenu 30 signatures le 21 mars au Collège de Chamalières (63)

Le gouvernement Chirac Villepin Sarkozy a décidé de maintenir le Contrat Première Embauche. La coordination nationale étudiante réunie le 19 mars 2006 à Dijon s'est une nouvelle fois adressée aux directions des organisations syndicales:

"Elle appelle à une manifestation centrale à Paris le jeudi 23 mars vers l'assemblée nationale. Elle appelle les organisations syndicales à se joindre à cette manifestation et à aider à la montée à Paris des manifestants de province".

Ce n'est pas avec une énième journée d'action décentralisée comme celle prévue le 28 mars que le gouvernement pourra être défait mais en répondant rapidement et positivement à la demande de la coordination nationale des étudiants.

Nous soussignés, personnels du Collège T de Chardin nous adressons aux directions syndicales CGT, FO, FSU, tous les syndicats, pour qu'elles répondent à la demande de la coordination étudiante réunie à Dijon: appelez à la grève et à une manifestation centrale, à Paris, vers l'Assemblée nationale pour obtenir le retrait du CPE.




Texte de la section SNES du lycée JB Dumas à Ales, adopté le 20 mars

La coordination étudiante, composée de délégués élus et mandatés, qui s'est réunie avec l'UNEF les 11 et 12 mars a adopté la position suivante:

"Nous sollicitons les syndicats pour que le 23 mars soit une journée de grève interprofessionnelle et de manifestation centrale à Paris"

Après les manifestations massives du 18, les étudiants réitèrent leur demande et envisagent d’appeler à une nouvelle journée jeudi 23 avec manifestation nationale à Paris.

Le S1 de JB Dumas ales considère qu'effectivement, il est possible d'infliger une défaite au gouvernement sur le CPE et la loi dite "pour l'égalité des chances" en concentrant toutes les énergies par la manifestation nationale et centrale à Paris le plus rapidement possible avec ce jour-là une grève interprofessionnelle.

Nous nous adressons à la direction nationale de la fsu pour qu'elle réponde favorablement à la sollicitation de la coordination nationale et de l'Unef et qu'elle s'adresse elle-même aux directions des confédérations syndicales pour qu'elles prennent aussi position en ce sens.




Motion adoptée au Lycée Louis Bertrand de BRIEY (54)

Les enseignants, présents le 18 Mars à 15 heures en salle des professeurs au Lycée Louis Bertrand de BRIEY (54) exigent avec les lycéens et étudiants le retrait du CPE et de la loi "sur l'égalité des chances".

Ils s'adressent aux directions syndicales (CGT, FO, FSU) pour qu'elles répondent positivement à la demande de la coordination étudiante de Poitiers:

"Nous sollicitons les syndicats pour que le 23 Mars soit une journée de grève interprofessionnelle et de manifestation centrale à PARIS"

Pour: 13
Abstention: 1
Contre: 5



Motion adoptée au lycée Sidoine Apollinaire (Clermont-Fd) le 16 mars 2006

Les enseignants, surveillants, personnels d'Education réunis le 16 Mars exigent avec les lycéens et étudiants le retrait du CPE et de la loi "sur l'égalité des chances". Ils s'adressent aux directions syndicales (CGT, FO, FSU) pour qu'ils répondent positivement à la demande de la coordination étudiante de Poitiers:

"Nous sollicitons les syndicats pour que le 23 Mars soit une journée de grève interprofessionnelle et de manifestation centrale à PARIS"

Pour: 40
Abstention: 1
Contre: 0




Pétition du lycée Virlogeux, RIOM (63) qui a recueilli 43 signatures dans les journées du 16 et 17 mars

ADRESSE URGENTE AUX DIRECTIONS SYNDICALES DE LA FSU, CGT, FO

-Le 11 mars, la coordination nationale étudiante réunie à Poitiers, avec la participation de l'UNEF a adopté à l'unanimité la position suivante: "Nous sollicitons les syndicats pour que le 23 mars soit une journée de grève interprofessionnelle et de manifestation centrale à Paris".

-Le 13 mars, l'AG des étudiants de l'université Clermont II (Blaise Pascal) adoptait à l'unanimité une position pour "un appel clair et public à la manifestation centrale et nationale à Paris pour imposer le retrait du CPE", pour que "la CGT, FO, la FSU (…) reprennent cette position, qu'elles appellent à la grève et à la manifestation le 23 mars à Paris, aux côtés des étudiants et des lycéens, et organisent la montée en masse"

Nous enseignants du lycée Virlogeux soussignés, syndiqués et non syndiqués, nous adressons à la direction de la FSU, de ses syndicats, du Snes, aux confédérations CGT et FO, vous vous réunissez le 18 mars au soir en intersyndicale, votre responsabilité est totale: vous devez répondre positivement à cette demande! Appelez à la grève, pour réaliser une manifestation centrale à Paris, organisez la montée en masse!

Seule une telle mobilisation puissante et unitaire peut permettre l'abrogation du CPE, seule une telle démonstration au siège du pouvoir peut permettre d'infliger une défaite au gouvernement Chirac-Villepin-Sarkozy!




Motion de la réunion intersyndicale du 9 mars 2006 des enseignants du lycée Jeanne d'Arc, Clermont-Fd

Il y a eu les journées du 6 février... du 7 mars. Le CPE est passé en force.

Il n'y a rien à négocier. Cette loi qui instaure la précarité pour les jeunes comme un disposition législative doit être abrogée, et pour cela il faut construire un rapport de force avec les étudiants en grève contre le CPE.

Les manifestations régionales n'ont pas suffi.

Nous demandons aux organisations syndicales

-d'organiser une manifestation unitaire et nationale à Pris pour l'abrogation du CPE.

-et d'appelerunitairement à la grève pour permettre cette manifestation.




Motion à l'adresse des directions syndicales des enseignants du collège Jean Maumus et du lycée Louis Bertrand de BRIEY (54), le 10 février 2006


Le premier ministre Villepin a annoncé hier soir que la loi dite sur l'égalité des chances intégrant l'apprentissage à 14 ans, le contrat première embauche serait adoptée par l'article 49.3, c'est-à-dire sans vote.

En conséquence, la loi sera considérée adoptée ce soir!

La grève massive des étudiants de Rennes, réunis en assemblée générale à plus de 2000 et leur manifestation massive avec les lycéens (plus de 6000), hier, montrent que la jeunesse n'accepte pas.

Aucun travailleur, aucun jeune ne peut l'accepter.

La responsabilité des dirigeants syndicaux est d'appeler à manifester à l'Assemblée Nationale, dès la réouverture de la session parlementaire (interruption la semaine prochaine) pour:

- l'abrogation de la loi sur l'égalité des chances

- l'abrogation du CPE

- pour infliger une défaite et défaire ce gouvernement.

Il va de soi qu'un appel franc à la grève le jour de cette manifestation nationale pour permettre la montée en masse à Paris en découle.

Les enseignants du collège Jean Maumus et du lycée Louis Bertrand de BRIEY (54), réunis le 10 février 2006, s'adressent aux directions syndicales pour qu'elles prennent leur responsabilité.

Motion adoptée par 15 voix pour, 4 contre et 1 abstention.




Motion adoptée au LP Amédée Gasquet (Clermont-Fd) le 31 janvier 2006

Les organisations syndicales ont dans une déclaration commune du 24 janvier 2006 indiqué leur exigence du retrait du CPE (contrat première embauche).

En conséquence de quoi:

considérant que le CPE est intégré dans le projet de "loi sur l'égalité des chances".

considérant que le projet de loi sur l'égalité des chances est discuté du 31 janvier au 9 février 2006 et qu'il doit être voté par l'Assemblée nationale le 21 février 2006.

Les enseignants du Lycée Professionnel Amédée Gasquet de Clermont-Ferrand réunis le 31 janvier s'adressent aux directions des organisations syndicales pour leur demander d'appeler à une manifestation nationale unitaire à l'Assemblée nationale, au moment du débat sur le projet de loi ou en dernier recours au moment du vote de la loi, pour le retrait du projet de "loi sur l'égalité des chances".

Unanimité des 14 présents.




Motion adoptée au collège T. de Chardin de Chamalières (63) le 31 janvier 2006

Les organisations syndicales ont dans une déclaration commune du 24 janvier 2006 indiqué leur exigence du retrait du CPE (contrat première embauche).

En conséquence de quoi:

considérant que le CPE est intégré dans le projet de "loi sur l'égalité des chances".

considérant que le projet de loi sur l'égalité des chances est discuté du 31 janvier au 9 février 2006 et qu'il doit être voté par l'Assemblée nationale le 21 février 2006.

Les personnels du collège T. de Chardin de Chamalières réunis le 31 janvier s'adressent aux directions des organisations syndicales pour leur demander d'appeler à une manifestation nationale unitaire à l'Assemblée nationale, au moment du débat sur le projet de loi ou en dernier recours au moment du vote de la loi, pour le retrait du projet de "loi sur l'égalité des chances".

Adopté par 18 pour et 7 abstentions.




Prise de position de la section SNES du lycée Talma

(adoptée à l'unanimité moins une voix le 27 janvier)

Appel urgent aux directions des syndicats de l'enseignement public

Le "Contrat Première Embauche", annoncé par de Villepin, voue la jeunesse dans son ensemble à la précarité. Le gouvernement n'a pas caché que son adoption ouvrirait une nouvelle étape vers la destruction pure et simple du contrat de travail à durée indéterminée.

Le gouvernement UMP a niché ce projet dans une loi dite "égalité des chances" - laquelle met entre autres mesures un terme à la scolarité obligatoire jusqu'à 16 ans.

Ce projet passe au parlement du 31 janvier au 9 février et devrait être voté le 21 février - le gouvernement ayant accéléré la procédure pour prendre de vitesse l'opposition à ce projet.

Vous avez formé un front commun contre ce dispositif et vous êtes prononcé pour le retrait du CPE. Mais J-F.Copé, porte-parole du gouvernement, a clamé ce mardi 24 janvier que le gouvernement ne reculerait pas! Dans ces circonstances, votre responsabilité est claire: infliger une défaite au gouvernement.

C'est pourquoi, nous, soussignés, enseignants, personnels de l'éducation nationale, nous adressons à vous:

Appelez à une manifestation nationale, centrale, massive, devant l'Assemblée, le jour du vote, pour interdire à la "majorité" UMP d'adopter le "C.P.E."

Adressez-vous aux directions des organisations syndicales ouvrières et étudiantes pour qu'elles appellent dans l'unité à la manifestation nationale et à la grève le jour du vote, pour le retrait du projet de loi instaurant le "C.P.E"!




L'appel suivant a recueilli (au 27 janvier 2006) 36 signatures au lycée Virlogeux, RIOM (63)

ADRESSE AUX SYNDICATS DE L'ENSEIGNEMENT.


Le gouvernement Chirac, Villepin, Sarkozy, Robien voue la jeunesse à la précarité!

-Dès le mois de novembre, le gouvernement a annoncé un projet de loi dit "égalité des chances", dont la mesure phare est la fin de l'obligation scolaire à 16 ans, au travers de la mise en œuvre de l'apprentissage à 14 ans; par ce projet de loi il entend aussi supprimer les allocations familiales aux familles de "délinquants".

-le 16 janvier, le gouvernement a pris l'initiative d'ajouter à ce paquet, le CPE, contrat première embauche, qui met en place une période d'essai de deux ans, pour les jeunes de moins de 26 ans! Il s'agit de la généralisation à toutes les entreprises du CNE adopté cet été, d'une période de précarité légale allongée.

Le gouvernement a accéléré la procédure d'examen du projet de loi "égalité des chances", qui doit commencer à l'assemblée nationale le 31 janvier. Dirigeants des syndicats de l'enseignement, Snes-FSU etc, votre responsabilité est particulièrement engagée, dès maintenant prononcez vous:

-A bas le CPE!

-Retrait du projet de loi "égalité des chances"

-appelez dans l'unité avec les confédérations, CGT, FO, le syndicat des étudiants UNEF, et le PS et le PCF, à une manifestation à l'assemblée nationale sur ces mots d'ordres!





La section SNES Sidoine Apollinaire (Clermont Ferrand) considère que le "projet de loi sur l'égalité des chances" du gouvernement concentre les plus graves attaques contre le droit au travail et le droit à l'instruction de la jeunesse:

- liquidation de l'obligation scolaire jusqu'à 16 ans

- apprentissage et surexploitation dès 14 ans

- élargissement du CNE ("contrat nouvelle embauche") avec le projet Villepin de création du CPE (Contrat Première Embauche, deux ans de période d'essai…) dans la perspective ouvertement affirmée de liquidation du CDI (Contrat à durée indéterminée) et de généralisation de la précarité.

Les attaques du gouvernement contre le code du travail sont sans précédent et répondent aux exigences du patronat (et de son représentant le MEDEF), qui réclament toujours plus de déréglementation.

Qui plus est, le gouvernement a décidé de précipiter l'adoption de la loi dans le cadre de la procédure d'urgence.

La section SNES s'adresse aux responsables nationaux des syndicats réunis ce jour pour qu'ils en exigent le retrait immédiat et appellent ensemble à une manifestation massive des travailleurs et de la jeunesse à l'Assemblée Nationale pour le retrait du projet de loi au moment de l'ouverture de la discussion au Parlement le 31 Janvier 2006.

Adopté à l'unanimité des neuf présents le mardi 24 Janvier à 13 heures




Motion présentée au CDFD de la FSU 63, le mardi 24 Janvier 2006 à 19 heures

Le CDFD de la FSU considère que c'est au moment de la discussion à l'Assemblée nationale qu'il faut mobiliser pour le retrait du projet de "loi sur l'égalité des chances" c'est-à-dire - selon les informations fournies par la FSU nationale elle-même - le 31 janvier 2006.

Il invite la direction nationale de la FSU à reprendre contact avec les dirigeants nationaux de la CGT, de FO, de l'UNEF pour un appel commun ce jour-là à une manifestation nationale à l'Assemblée Nationale pour le retrait du projet de loi.

Pour: 5; Contre: 8; Abstention: 1




Motions adoptées au lycée Virlogeux, RIOM (63), le 29 novembre 2005

Loi dite "sur l'égalité des chances"


La section SNES du lycée Virlogeux réunie le 29/11 à pris connaissance du "projet de loi sur l'égalité des chances" prévu par Villepin et constate que le gouvernement, non content d'augmenter constamment les moyens de répression, profite des derniers évènements dans les banlieues pour supprimer l'obligation scolaire jusqu'à 16 ans.

Cette mesure permettrait de livrer les jeunes à la surexploitation patronale dès 14 ans via l'apprentissage et ainsi de chasser de l'école des centaines d'élèves.

Le gouvernement a commencé à recevoir les syndicats dès le 28 novembre.

Nous nous adressons à la direction du SNES, à celle de la FSU pour qu'elles condamnent une telle mesure, et rompent toute discussion préparant la loi dite "sur l'égalité des chances", loi de déscolarisation et de surexploitation de la jeunesse.

Adressez-vous aux dirigeants de la CGT, de FO pour que se réalise l'unité sur cette position.

Adopté à l'unanimité des 8 présents.

Motion état d'urgence

La section Snes du Lycée Virlogeux de Riom (63), réunie le 29-11 constate:

-Le gouvernement Chirac-Villepin-Sarkozy, prétextant les affrontements récents dans de nombreux quartiers -affrontements dont il porte l'entière responsabilité par sa politique antisociale et ses provocations policières- vient de se donner les moyens de s'en prendre aux libertés démocratiques par l'instauration d'un état d'urgence pour trois mois.

-Plusieurs centaines de jeunes ont été condamnés à de la prison ferme sans moyens de se défendre devant des tribunaux menant des procédures plus qu'expéditives.

-L'utilisation de la loi de 1955, adoptée en pleine guerre d'Algérie, survient après toute une série de répressions de la part de la police et de la justice contre des mouvements de grève (Postiers de Bègles, SNCM, RTM).

-Afin de prolonger un tel climat répressif, et sous prétexte cette fois de terrorisme, le gouvernement s'apprête à faire adopter un nouvel arsenal s'en prenant aux libertés publiques.

La section Snes du lycée Virlogeux se prononce pour le retrait immédiat de la loi prolongeant l'état d'urgence, pour le retrait du projet de loi Sarkozy.

Elle s'adresse à la direction du Snes, de la FSU, pour qu'elles adoptent la même position, et se tournant vers les confédérations CGT et FO, le PS et le PCF pour qu'ils réalisent le front unique pour le retrait immédiat de l'état d'urgence, qu'ils préparent la mobilisation autour de cette exigence.

Pour 6, abstentions 2.



Motion présentée au conseil syndical du Snuipp de l'Hérault le 14 novembre 2005

Le gouvernement Chirac-Villepin-Sarkozy, prétextant les affrontements récents dans de nombreux quartiers - affrontements dont il porte la responsabilité par sa politique anti-sociale et ses provocations racistes - vient de s'en prendre directement aux libertés démocratiques par l'instauration de l'état d'urgence.

La loi de 1955, adoptée en pleine guerre d'Algérie, survient après de nombreuses interventions policières et judiciaires contre des mouvements de grève.

Le C.S. du Snuipp34 se prononce contre l'état d'urgence, pour son retrait immédiat. Le C.S. s'adresse aux directions syndicales nationales pour qu'elles exigent le retrait immédiat de l'état d'urgence et organisent la mobilisation nécessaire à la satisfaction de cette exigence.

Pour: 2 Contre: 10 Abstention: 2 Refus de vote: 3

Motion présentée au C.D.F.D de la Fsu de I'Hérault le 15 novembre 2005

Le gouvernement Chirac-Villepin-Sarkozy, prétextant des affrontements récents dans de nombreux quartiers - affrontements dont il porte la responsabilité par sa politique anti-sociale et ses provocations - vient de se donner les moyens de s'en prendre aux libertés démocratiques par l'instauration de l'état d'urgence.

L'utilisation de la loi de 1955, adoptée en pleine guerre d'Algérie, survient après toute une série de répressions policières et judiciaires contre des mouvements de grève. (Postiers de Bègles, SNCM, RTM ...)

Le C.D.F.D de la Fsu34 se prononce contre l'état d'urgence et pour son retrait immédiat. Le C.D.F.D s'adresse aux directions syndicales nationales pour qu'elles organisent un front uni pour imposer au gouvernement la levée immédiate de l'état d'urgence.

Pour: 3 Contre: 14 Refus de vote: 2



Texte adressé aux directions nationales des syndicats de l'enseignement (Collège T. de Chardin, Chamalières (63)).

Les enseignants du collège T. de Chardin de Chamalières (63), réunis le jeudi 29 septembre 2005 sur l'heure d'information syndicale, dénoncent et rejettent les décrets d'application de la "loi d'orientation" que le gouvernement, veut mettre en œuvre en cette rentrée, et tout particulièrement le décret sur les remplacements, atteinte intolérable à notre statut.

Ils remarquent que le gouvernement entend mettre en application ce décret par la "concertation" avec les équipes pédagogiques et entend soumettre le protocole à la discussion du Conseil d'Administration.

Pour empêcher la mise en œuvre de ces décrets, nous nous adressons aux directions des organisations nationales des syndicats (SNES-FSU, SNETAA, UNSA éducation, FO, CGT …tous les syndicats) afin qu'elles prennent une position claire et rapide comme c'est leur responsabilité pour:

-l'abrogation des décrets d'application de la loi d'orientation et notamment celui sur les remplacements.

Nous demandons aux directions syndicales de se prononcer explicitement au niveau national comme l'ont fait les directions départementales du Puy de Dôme en indiquant:

-pas un enseignant pour participer à l'élaboration des protocoles dans les établissements .

-boycott des CA sur la question des protocoles.

Pour 24 ; Contre 0 ; Abstention 1 ; NPPV 2.


Motion des enseignants du lycée Montdory, Thiers (63)

Les enseignants du lycée Montdory, (Thiers, 63) réunis le mardi 20 septembre 2005 sur l'heure d'information syndicale dénoncent et rejettent les décrets d'application de la "loi d'orientation" que le gouvernement Chirac-Villepin-Sarkozy, veut mettre en œuvre en cette rentrée, et tout particulièrement le décret sur les remplacements.

Afin d'empêcher la mise en œuvre de tels décrets, nous nous adressons aux directions des organisations syndicales, (Snes-FSU, etc …) afin qu'elles prennent position clairement et rapidement comme c'est leur responsabilité pour:

-l'abrogation des décrets d'application de la loi d'orientation et notamment celui sur les remplacements.

Dans l'immédiat, afin de bloquer les protocoles sur les remplacements, les dirigeants des organisations syndicales (Snes-FSU etc…) doivent lancer un appel clair, urgent et national:

-pas un enseignant pour participer à l'élaboration des protocoles dans les établissements;

-boycott des CA sur la question des protocoles.

Unanimité des 11 présents.

COURRIER AUX DIRECTIONS DES ORGANISATIONS SYNDICALES.

EXPEDITEURS:

PROFESSEURS DU COLLEGE JEANNE D'ARC (Clermont-Fd) PRESENTS A L'HEURE SYNDICALE DU jeudi 15 septembre 2005


Les professeurs présents à l'heure syndicale ont décidé:

o De faire signer la pétition intersyndicale sur le retrait du décret sur les remplacements, mais tenons à préciser:

o Que vous devez appeler au boycott de toute participation à la mise en oeuvre du décret, y compris dans les CA, où il sera présenté.

o Nous vous demandons de ne participer à aucune concertation sur la remise en cause du décret de 1950, dont nous exigeons la défense inconditionnelle.

Votre responsabilité est grandement engagée sur ce dossier.

Les personnels attendent de vous, directions syndicales, un discours officiel clair, une réponse à la hauteur de nos attentes.

Décevoir sur le traitement de ce dossier, mettant en cause, nos statuts, et les conditions d'exercice de notre métier, serait sans nul doute, extrêmement lourd de conséquences, non seulement pour l'avenir du service public d'éducation, mais aussi quant à la confiance que nous vous portons.


Nous communiquons les décisions des enseignants réunis à l'initiative du SNES du Lycée Sidoine Apollinaire de Clermont Ferrand dans le cadre de l'heure d'information syndicale

Texte envoyé aux directions nationales des organisations syndicales

Les enseignants du Lycée S.Apollinaire se prononcent:

-pour l'abrogation de l'ensemble des décrets d'application de la loi Fillon

- particulièrement pour l'abrogation du décret sur les remplacements, atteinte intolérable à notre statut (fléxibilité et augmentation des horaires, instauration de la polyvalence au mépris de la discipline de qualification).

Ils demandent aux directions syndicales (SNES, SNETAA,FO,CGT) de se prononcer clairement, explicitement pour l'abrogation de ces décrets au niveau national comme l'ont fait les directions départementales du Puy de Dôme.

Ils remarquent que le gouvernement entend mettre en application ce décret par la "concertation" avec les équipes pédagogiques et entend soumettre le protocole à la discussion du Conseil d'Administration.

Il n'y a rien à discuter sur la mise en place de ce décret que nous rejetons en bloc.

En conséquence de quoi nous demandons aux directions syndicales d'appeler nationalement au boycott de toute discussion sur ce protocole, au boycott de tout Conseil d'Administration qui aurait à l'ordre du jour ce "protocole". En aucun cas le Conseil d'Administration ne peut délibérer sur le service des enseignants.

23 pour, 1 abstention

Décision d'informer l'administration locale (fait immédiatement après l'AG)

L'Assemblée générale décide d'informer l'administration pour qu'elle refuse toute participation à la mise en œuvre du protocole remplacements dans le cadre des réunions d'équipes pédagogiques.

Unanimité

Demande adressée aux représentants locaux du personnel et aux sections syndicales de l'Etablissement

Les personnels présents en Assemblée générale demandent que les sections syndicales et leurs représentants ne participent en aucune manière à la mise en place du protocole concernant l'organisation du remplacement des enseignants.

Unanimité moins une abstention



Motion du lycée Virlogeux, Riom (63)

Les enseignants du lycée Virlogeux, (Riom, 63) réunis le mardi 13 septembre 2005 sur l’heure d’information syndicale dénoncent et rejettent les décrets d’application de la «loi d’orientation» que le gouvernement, veut mettre en œuvre en cette rentrée, et tout particulièrement le décret sur les remplacements.

Afin d’empêcher la mise en œuvre de tels décrets, nous nous adressons aux directions des organisations syndicales, (Snes-FSU, etc …) afin qu’elles prennent position clairement et rapidement comme c’est leur responsabilité pour:

-l’abrogation des décrets d’application de la loi d’orientation et notamment celui sur les remplacements.

Dans l’immédiat, afin de bloquer les protocoles sur les remplacements, les dirigeants des organisations syndicales (Snes-FSU etc…) doivent lancer un appel clair, urgent et national:

-pas un enseignant pour participer à l’élaboration des protocoles dans les établissements;

-boycott des CA qui auront le protocole à l’ordre du jour;

(unanimité des 11 présents)


Motion adoptée à l'unanimité lors de la réunion Snes de rentrée (14 participants) au lycée Bristol de Cannes

les enseignants du lycée Bristol réunis le 8 septembre 2005 à l'initiative de la section SNES de l'établissement rejettent catégoriquement les remplacements De Robien et les considèrent comme une offensive grave contre les personnels de l'éducation nationale. En conséquence ils s'adressent aux directions du SNES et de la FSU:

- prononcez-vous clairement et nationalement pour l'abrogation des décrets d'application de la loi Fillon

- appelez nationalement au boycott de la concertation portant sur le protocole concernant les remplacements de Robien

- appelez nationalement au boycott des conseils d'administration destinés à l'adoption du protocole sur les remplacements



Motion de la section SNES de Briey soumise à la CA académique élargie aux S1 du 12/09/05:

La section SNES de la cité scolaire de briey, réunie le 9/9/05, estime que nous ne réussirons pas à empêcher la mise en œuvre du dispositif de remplacement de courte durée par une résistance locale, en ordre dispersé et selon des modalités variables d'un établissement à l'autre.

C'est une opposition nationale qu'il faut organiser.

C'est à la direction du SNES qu'il revient de lancer, au plan national, le mot d'ordre de boycott des CA.

Motion adoptée à l'unanimité des 5 présents

Motion soumise à la CA académique du SNES le 12/09/05 par Mireille Schneider:

La CA académique du SNES demande à la direction nationale de cesser toute discussion avec le ministre sur l'écriture des décrets d'application de la loi d'orientation et d'exiger le retrait de la loi Fillon et ses décrets d'application.

Résultats des votes à la CA:

Motion section de Briey:

CA académique CA académique + les S1 présents
POUR 0 1
Contre 33 34
Abstention 4 6
Refus de vote 0 1
TOTAUX 36 42


Motion présentée par MS:

CA académique CA académique + les S1 présents
POUR 6 10
Contre 29 30
Abstention 1 1
Refus de vote 0 1
TOTAUX 36 42




retour à l'accueil